Les malheurs de Sophie – Chapitre 04

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LES MALHEURS CHEZ MONSIEUR MARCEL

Le lundi, après la traditionnelle fellation prodiguée à son boss, l’adjointe est invitée par celui — ci à se relever et, toujours dénudée, à s’asseoir de l’autre côté du bureau.

Heureusement, pense-t-elle, j’ai fermé la porte et celle de mon bureau.

M. Christophe prend la parole :

– Réjouis-toi, j’ai réussi à prolonger ton contrat pour six mois! Malgré tes nombreuses erreurs survenues à tes débuts! Mais comme tu as fait preuve de bonne volonté et, surtout, d’une obéissance totale à mon égard, tu mérites une nouvelle chance. Signe ton nouvel engagement, qui est rédigé en trois exemplaires.

La jeune assistante s’exécute, avant que son chef ne lui tende un nouveau document, tout en la regardant avec des yeux méprisants et ne supportant pas le moindre refus :

– C’est un avenant un peu spécial, rien que pour moi. Lis-le, même si tu seras quand même obligée de le signer!

A la lecture dudit contrat, elle blêmit et manque de s’évanouir. Il lui semble que son cœur va sortir de son corps et que sa tête va exploser, sous le choc de ce qu’elle vient de lire :

« Je suis une bonne secrétaire particulière », car :

– Je prodigue toujours une pipe à mon supérieur, à la demande de celui-ci ;

– Je rencontre une fois par semaine mon collègue, Monsieur Paulus ;

– Je porte une tenue ultra sexy lorsque je vais « astiquer » ledit chef de production ;

– Lorsque je fais une turlute à un homme, je dois la faire à genoux, en regardant mon amant droit dans les yeux durant tout le temps où je lui dégorge le poireau. Avant d’avaler, je sors la langue afin de lui montrer que j’ai bien tout pris dans ma bouche ;

– J’offre systématiquement mes trois trous à celui avec qui je vais baiser ;

– Je suis d’une propreté impeccable. Ma chatte doit être lisse, constamment épilée, afin qu’il ne reste qu’un simple ticket de métro. Ce qui permet à mon soupirant de m’identifier comme une salope ;

– J’ai l’obligation de crier lorsque je couche avec un homme. Je dois d’abord le sucer longuement, pour que sa queue devienne bien dure, puis demander poliment à mon séducteur s’il accepte que j’enfourne sa bite dans mon vagin. Je ne peux forniquer que dans deux positions : à cheval sur mon partenaire ou en levrette. Celle du missionnaire m’est interdite. Une fois que j’ai joui, car je suis obligée de le faire, j’implore mon mâle de m’enculer et de se vider dans mes intestins ;

– J’accepte sans discuter une double ou une triple pénétration ;

– Durant la copulation, je dois m’exprimer avec des mots vulgaires, là encore pour renforcer mon image de chienne ;

– Je dois remercier systématiquement et crûment tout « amant » pour m’avoir permis de lui sucer la queue, puis de m’avoir baisée et enculée ;

– J’accepte les punitions de mon patron et maître si je me conduis en mauvaise secrétaire particulière.

La subalterne, interloquée, articule péniblement : – Mais… ce n’est pas possible… Monsieur, s’il vous plaît…

Son Directeur la reprend de volée : – Tais toi! Indique la date, écris « lu et approuvé » et signe au-dessus de ton nom complet! Bien sûr, on pourra rajouter des choses au fur et à mesure. Mais je crois que c’est un bon début. Et voici, pour le mois qui vient, ton nouvel horaire : tu commences, comme d’habitude à 8h30 du matin.

Avant d’ajouter, d’un air mystérieux : – Après ta pipe journalière, tu travailleras normalement. Et désormais, tu ne me feras plus de shampoing à la salive, et ce, kahramanmaraş escort ni le mercredi ni le vendredi.

– Pourquoi, Monsieur?

– Le mercredi, j’ai arrangé les choses pour que tu puisses te libérer le temps de midi. Tu réserveras, à ton nom, une chambre pour les quatre prochaines semaines à cet hôtel, dont voici l’adresse. Nous nous y retrouverons de 12h à 14h, afin que je puisse profiter longuement de tes charmes. On commence après-demain. Ce jeudi, tu iras en fin de journée chez un tatoueur qui pratique le piercing. Tu lui demanderas de te placer un brillant dans la narine droite et, toujours du même côté, un autre au-dessus de la lèvre supérieure de ta bouche. Enfin, tu t’en feras installer un dernier dans la langue, histoire de donner du plaisir à tes futurs mecs!

– Mais… mais… que vais-je dire à mon compagnon?

– C’est ton problème! Dis-lui ce que tu veux! Que tu as fait cela pour l’exciter!

Sophie est horrifiée par ce qu’elle entend. Mais ce n’est pas terminé. Son chef lui annonce une dernière obligation :

– Tu te souviens de ce que tu as dit à Monsieur Paulus lors de ta promenade dans les champs? Répète-moi ce que tu lui as proposé! Et souviens-toi des mots que tu as utilisés!

– Je… je lui ai dit… que je voulais… sucer… sa queue et avoir sa bite… dans mon cul…

– Et bien j’ai décidé d’exaucer ton vœu! Là encore, je me suis arrangé avec ton horaire. Tu quitteras, chaque vendredi, l’usine à 16h au lieu de 17h30. Et tu te rendras chez mon ami Marcel! Durant cette heure et demie de gagner, tu feras exactement ce qu’il te dit et tu lui obéiras sans discuter! Et gare à toi si ce n’est pas le cas : tu seras sévèrement châtiée! Chaque lundi matin, pendant que tu me suces, tu me raconteras en détail ce qu’il t’a fait! Cela m’excitera à mort, d’autant qu’il m’aura fait un rapport complet par téléphone dès le samedi matin! Va et file travailler!

Incapable de se concentrer sur son job, la jeune femme vit une semaine horrible. Pour la première fois, le mercredi, elle se rend à l’hôtel, demande la clé de la chambre réservée et, une fois son patron arrivé, se soumet péniblement à tous ses caprices. Méthodiquement, chacun de ses orifices est lentement investi. Tandis qu’elle est obligée de le chevaucher sensuellement, son supérieur claque durement ses fesses, la couvrant de propos injurieux : — C’est bien, salope, bouge ton cul! Putain, tu es vraiment douée avec une queue! Pas étonnant que tu ne saches rien faire d’autre! Mais t’inquiète, je vais faire de toi un vrai garage à bites!

Sa collaboratrice, de peur d’être punie, n’a pas oublié les consignes. Elle l’encourage, même si le cœur n’y est pas : – Merci, Monsieur, de me bourrer ma chatte avec votre grosse pine! Je vais bientôt jouir, si vous le permettez! Puis-je vous demander respectueusement de me fourrer ensuite votre queue dans mon cul?

Le sourire aux lèvres, car il sait que tout est faux dans les propos de l’assistante, mais dont l’abaissement l’excite au plus haut point : – Bien sûr, chienne! Tes désirs sont des ordres!

Au sortir de cette intense séance, elle n’est pas autorisée à s’essuyer et, penaude, tandis qu’elle retourne sur son lieu de travail, sent, comme lors de la promenade avec Paulus, le sperme de son patron couler le long de ses jambes. Elle est anéantie, d’autant que des rumeurs commencent à circuler au sein de la société. Des travailleurs masculins lui adressent d’ailleurs des remarques plus que salaces.

Après kastamonu escort le jeudi, où s’est rendue chez le tatoueur, le vendredi tant craint arrive inexorablement.

Complètement déprimée et stressée, Sophie arrive chez son vieux collègue, qui habite près de chez elle. De peur d’être vue, elle sonne immédiatement à la porte. Une voix bien connue, malheureusement, lui répond via le parlophone :

– Qui est-ce?

– Bonjour, Monsieur… Ouvrez-moi, s’il vous plaît!

– C’est pourquoi? interroge le chef de production, sur un ton pervers.

– C’est Sophie, ici! Ouvrez-moi, vite!

– Moi, je veux bien, mais c’est pourquoi exactement?

– Pour me faire baiser!

– Et c’est tout?

– Non! Pour me faire sauter! Mais aussi pour vous sucer la queue et avoir votre bite dans mon cul!

– Dans ce cas, je t’ouvre, Sophie!

La jeune femme s’engouffre dans la maison, dont l’entrée donne directement sur le salon.

Marcel l’attend déjà, nu, vautré dans le canapé. Tout de suite, il aboie : – A poil, petite salope! Défais très frusques et viens vers moi, en te déplaçant à quatre pattes!

La créature de rêve s’empresse d’obéir. Se déshabiller lui prend peu de temps, depuis que son boss l’oblige uniquement à porter des chemisiers avec des minijupes, sans sous-vêtements.

Elle enlève ses hauts talons.

– Quelle vicieuse! Tu ne portes même pas de dessous! Ramène tes fesses près de moi!

Désormais à genoux devant le sexagénaire, elle remarque son membre tendu à l’extrême. En très fâcheuse situation, elle n’a guère le temps de réfléchir à sa condition.

– Allez, chienne, viens prendre ta pâtée! Et ne fais pas ta mijaurée! Oui, cela fait deux jours, rien que pour toi, que je ne me suis pas lavé le jonc! Mais je suis sûr que tu vas aimer le renifler et le sucer comme une bonne femelle! Maintenant, au turbin!

N’ayant aucune alternative, l’employée s’exécute docilement, touchant le sexe dressé devant sa bouche, fermant les yeux pour se donner du courage face au mélange insoutenable de sueur, de sperme et d’urine. Elle sort sa langue pour lécher la hampe de Paulus de haut en bas, avant de la faire tourner sur le gland violacé.

– Garde les yeux ouverts et fixe-moi pendant tu me turlutes! Je veux voir ta gueule de pétasse! Et n’oublie pas mes couilles!

L’humiliation de la secrétaire est à son comble. Elle est obligée de gober les testicules velus, qui sentent fort la transpiration. L’odeur est écœurante mais la fille doit se forcer à le faire. Elle espère que son collègue va bientôt jouir, mais celui-ci se retient et, la prenant par les cheveux, l’oblige à enfourner son dard au fond de la gorge, s’enfonçant sans pitié. Sophie manque de s’étouffer et de vomir mais le vieil homme s’en moque :

– Alors, connasse, tu la sens bien ma queue?

L’adjointe constate amèrement qu’elle est de plus en plus réduite à l’état d’animal. L’auxiliaire est à nouveau tirée par la crinière, le chef de production se levant et l’entraînant sans ménagement vers la fenêtre située juste à côté de la porte d’entrée.

– Penche-toi! Les mains contre la vitre! Debout, jambes bien écartées! Je vais te sauter! On va voir si tu vas couiner!

La subalterne se souvient des consignes données par son patron. Elle doit les respecter, sous peine d’une sévère correction. Alors, elle l’encourage, tandis qu’il s’introduit brutalement dans sa chatte : – Oh oui, Monsieur Paulus, je vais crier! J’aime votre grosse bite kayseri escort qui coulisse dans mon vagin! Puis-je déjà me soulager? Comme cela, vous pourrez ensuite vous vider dans mon trou du cul! Le regard inquiet, tandis qu’elle simule bruyamment un orgasme, elle scrute, par la fenêtre, l’extérieur, espérant que personne ne vienne sonner, car elle serait immanquablement vue.

Le gros porc écarte les fesses de Sophie avec la paume de ses mains, et présente son sexe devant l’anus de la pure beauté. Crachant sur deux de ses doigts, il humidifie l’entrée du petit trou tant désiré. Il pousse d’un coup, rentre de quelques centimètres et arrache un cri à sa collègue, qui est sèche et sent la bite du vieux la perforer douloureusement. Pendant vingt longues minutes, celle-ci est sauvagement enculée, son tourmenteur ne manquant pas de s’exprimer vulgairement : – Putain, je suis en train de te l’élargir, ton œillet! Je vais en faire une roue de moto! Ah oui, je vais me vider les burnes dans tes boyaux, espèce de chaudasse!

Un liquide chaud se répand soudain dans les entrailles de l’adjointe du Directeur. Elle est soulagée que tout soit enfin terminé et n’oublie pas de remercier, comme il se doit, le vieil homme :

– Merci de m’avoir rempli le cul!

– De rien! A présent, tu dégages et tu rentres chez toi. Mais avant de partir, une fois que tu te seras rhabillée, tu essuieras ma pine sur ton chemisier et tu me nettoieras le gland avec ta langue. Après tout, s’il y a de la merde dessus, c’est la tienne!

Et l’homme de rire de son bon mot, avant, tandis que la fille quitte la maison, de lui asséner une claque sur sa fesse gauche : – A vendredi prochain, mon joli postérieur!

Exténuée, déshonorée comme jamais, elle rentre chez elle, prend un bain chaud, avant de vider une demi-bouteille de vodka. Elle se met tout de suite au lit, sans manger et malgré l’heure précoce. Quelques heures plus tard, elle se réveille, lorsqu’elle entend son compagnon rentrer en fin de soirée et la rejoindre dans leur couche. Elle se blottit dans ses bras et, assaillie de remords, lui prodigue une langoureuse fellation. Tandis qu’il éjacule abondamment, elle lui murmure un tendre « je t’aime ».

Et aussitôt, de peur qu’il soit surpris par sa nouvelle apparence, elle lui annonce qu’elle s’est fait mettre un piercing sur la langue pour lui offrir encore plus de plaisir. Les amoureux, pour une fois réunis le temps d’un week-end, passent leur temps à faire l’amour, l’employée ayant un besoin frénétique de se faire pardonner, même si son ami, ignorant tout, est heureux de cette sensualité exacerbée.

Dès le lundi, le retour au travail rompt cette parenthèse enchantée et ce répit temporaire. Pendant un mois, elle apprend à vivre avec une sordide routine : tout en faisant un pompier à son Directeur, elle est contrainte de lui raconter au retour de chaque week-end ce que Marcel lui a fait subir le vendredi précédent, avant de sortir sa langue pour bien montrer le sperme récolté, puis de l’avaler. Si le mardi et le jeudi, son patron se contente d’une simple fellation, le mercredi, durant deux heures, elle doit le satisfaire à la perfection. M. Christophe ne manque pas de rappeler à sa subordonnée que ce qu’il aime par-dessus tout, c’est de la baiser et de l’enculer « à couilles rabattues ». Mais son moment le plus pénible reste, tous les vendredis, sa visite hebdomadaire chez son vicieux collègue.

Celui-ci, chaque semaine, trouve toujours de nouveaux tourments à faire subir à la secrétaire, l’obligeant à faire, cuisses ou fesses écartées, des photos plus que pornographiques.

Par exemple, elle est contrainte de se branler avec un concombre ou encore de le faire bander en se servant de ses pieds. Et toute séance se termine de la même manière : Sophie est sauvagement enculée pendant une demi-heure avant d’être congédiée.

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Qui suis-je vraiment? 01

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Bdsm

Je m’appelle Laurence, et je suis âgée de 35 ans. Je suis divorcée depuis 4 ans maintenant, et vis seule avec mon fils de 8 ans. Je réside depuis ma séparation dans un 4 pièces au 3eme étage d’un ensemble immobilier en banlieue parisienne.

Ma vie depuis mon divorce se concentre autour de mon enfant et de mon travail, en tant qu’assistante comptable au sein d’une grande Société.

Par contre, côté cœur c’est le désert ou plutôt c’était …

En fait, il y a deux ans je m’étais décidé à mettre un terme à mon célibat. Pour être honnête, les relations physiques commençaient à me manquer. D’autant plus que mon ex-mari n’était pas mauvais sur ce plan. Il avait même le don de pimenter nos relations sexuelles de scénarii originaux que ma passivité complice encourageait.

Celui qui me revenait le plus souvent s’était produit lors d’un week-end en Normandie en automne. Habillée d’une jupe à bouton et d’un chemisier, nous nous baladions dans le bocage quand lui prît l’idée de jouer à un jeu.

L’idée en était simple, j’avais 15 secondes pour répondre à des questions tout en marchant. Si je trouvais j’obtenais le droit qu’il fasse le dîner et la vaisselle un soir. Dans le cas inverse, je devais déboutonner un bouton.

Certes, j’eu le droit à 6 jours de dîner servi par monsieur, mais je me retrouva en collant et seins nus.

Il me proposa alors un quitte ou double. Je me rhabillais entièrement si je gagnai ou je me mettais totalement nue et il me photographiait dans les champs, selon des positions dictées par son choix. Je relevai le défi et … perdis. La suggestivité des postures et les commentaires crus, me proposant de diffuser la dizaine de photos sur le net pour me faire plein « d’amis », finirent de m’exciter.

Le soir se poursuivit dans la chambre où après m’avoir longuement massée, mon cher mari décida de lécher tendrement mon clitoris. Cette caresse ainsi que les évènements de l’après-midi me donnèrent envie d’embrasser son pénis.

Il en profita pour disposer son sexe au dessus de moi et ainsi débuter un 69. Je lui proférai alors la fellation la plus sensuelle que je pus, alternant le titillement de son bout, avec la mise en bouche de tout son sexe.

Position qu’il stoppa 5 minutes plus tard pour me demander de me mettre à 4 pattes afin d’admirer mon « joli fessier », comme il le disait souvent. Il me pénétra doucement mais contrairement à d’habitude il me donna quelques claques sur mes fesses.

Cette nouveauté, a priori gênante, me dérangea sur l’instant, mais associée à la pénétration elle m’excita et déclencha un orgasme singulier. Mon visage et mon buste affalé sur le lit, mon mari prit alors son pied en éjaculant sur mes fesses, mais en me demandant de rester ainsi un petit instant. Je compris trente secondes plus tard que c’était pour immortaliser l’instant avec son appareil photo.

Malheureusement la monotonie du couple et les déplacements réguliers de mon mari ont mis cet aspect au second plan. Le divorce fût alors la seule solution que nous trouvions avec pour moi la garde de notre garçon tandis que mon ex partait deux mois plus tard en Italie refaire sa vie.

Néanmoins, avec le temps vous conservez que les bons moments en tête. Pour moi c’était ce souvenir qui revenait souvent, d’autant plus que j’étais seule depuis un bon moment.

Je pris alors un jour la décision de trouver quelqu’un. Sur le conseil d’amies, je m’étais tourné vers Internet et les réseaux de rencontres, où j’avais enregistré mon CV sur plusieurs sites connus de chacun. Il y eut quelques rencontres mais seule une se clôtura par une nuit à deux qui me fît regretter mon ex-mari.

Les prétendants n’étaient pas nombreux et chaque échec me pesait lourdement, rabaissant mon moral déjà bien fragile. Un mois après mon adhésion à un des sites, j’étais toutefois tombé sur un homme énigmatique et fascinant que je surnommerais « Nietzsche » (son surnom se rattachait à la psychologie).

Après des débuts classiques nos échanges étaient réguliers et de plus en plus intimes. Je lui décrivais mais joies, mes peines, mais aussi mes passions, choses que je n’avais que rarement faite même avec mes quelques amies. Je ne le connaissais pas et pourtant je me sentais en sécurité, en confiance, faisant disparaître cette barrière qu’est Internet. Je souhaitais le rencontrer mais je sentais chez lui le besoin d’aller plus de l’avant dans cette relation « épistolaire ».

Au cours d’un de nos échanges, nous nous sommes penchés sur nos goûts et aspirations érotiques. Après une heure d’échange, les choses prirent une tournure inattendue.

Il me demanda si j’étais coquine et comment j’aimais m’habiller.

Après un certain étonnement de voir des propos aussi directs, je me lançais en prenant la décision de l’aguicher un peu (peut-être désirerait-il me rencontrer rapidement ainsi?).

Je lui répondis donc :

– Moi : Avec mon 1,70 m et avec un 95 C on a des atouts pour aiguiser les envies. Oui, il m’arrive de mettre des vêtements sexy. A ta disposition pour te montrer kuşadası escort un échantillon un de ces jours.

– Nietzsche : Lesquels?

– Jupes, tailleurs, ou robes avec des petits hauts échancrés, … cela te convient-il?

– Cela pourrait, mais décris moi ce que tu porterais en été et en hiver pour m’exciter?

– Jupe légère dans les tons ivoire laissant ainsi deviner mon string et mes jambes à contre-jour. Quant au haut, un petit chemisier plongeant blanc et bien serré moulant ma poitrine. L’hiver serait plutôt un tailleur avec des collants à couture finalisé par des escarpins.

Cette description commençait à m’échauffer moi-même quand :

– Nietzsche : À voir pour l’été mais l’hiver manque franchement de sensualité. Les sous-vêtements sexy tels que les guêpières, porte-jarretelles, culottes fendues ou dentelles, ne semblent pas être ta spécialité. Quant à ce qui le cache c’est très classique.

Le coup fût rude et me déstabilisa. Je me sentais nulle. Mes réponses furent alors simples sans aucune connotation. De son côté, en fin psychologue, il en profita pour être de plus en plus direct. J’aurais pu néanmoins en rester là mais la confiance qu’il avait suscitée en moi me forçait à rester connectée.

– Nietzsche : En as-tu au moins porté dans ta vie?

– Moi : Oui pour faire plaisir.

– Si je te demandais d’en porter constamment avec des mini-jupes laissant deviner des atours, le ferais tu?

– Pourquoi pas?

– Ce n’est pas une réponse, c’est une fuite çà …

– Si je me sens en sécurité avec quelqu’un, alors oui.

– Aimes tu te dévoiler à l’extérieur? L’as-tu déjà fait?

Me rappelant instantanément mon aventure normande je répondis par l’affirmative au deux questions.

– Nietzsche : Prouve le moi!

Cette mise au défi me laissa pantelante. Que faire? Cet échange ne me choquait pas en soit, mais il me poussait au-delà des limites que je m’étais fixé. Après 10 minutes de réflexion sans aucun message venant de sa part, je me décidai d’envoyer les seules photos érotiques de moi.

En réfléchissant, je franchissais le pas car j’avais peur de le perdre.

– Nietzsche : Merci, j’attends que demain tu m’envoies un fantasme que tu souhaiterais réaliser.

Le jour suivant je lui envoyai depuis le bureau comme demandé un petit texte indiquant l’envie de faire l’amour avec un inconnu en forêt. Ce fantasme n’était en fait qu’un mélange entre l’excitation d’être découverte nue dans un endroit public et que l’inconnu soit mon interlocuteur du net.

Par la suite, nos échanges furent plus aléatoires, me laissant dans une attente difficilement supportable. Puis plus aucun mail de sa part. Il connaissait presque tout de moi et il avait disparu. Je le maudis d’autant que je m’aperçus que je n’avais plus aucune relation excepté lui.

Courrier :

Je me remis donc dans le train-train travail école maison, lâchant pour un tant les sites de rencontres. Je me disais que les bonnes années amoureuses étaient en fait derrière moi.

Quand un mardi, je récupérai dans ma boîte aux lettres un courrier à mon intention. Une fois chez moi je l’ouvris et faillit m’écrouler. Dedans, se trouvaient 4 photos très explicites de moi nue dans la campagne normande. Elles étaient assorties du texte dactylographié suivant :

« Quel outil magnifique qu’Internet … Je ne savais pas, Mme XXXXX, que vous étiez adepte de l’exhibitionnisme. Je souhaiterais donc avoir l’occasion d’en bénéficier moi aussi personnellement. A 22 heures ce soir une fois votre enfant couché vous allumerez la lumière et laisseraient les rideaux ouverts. Et vous ferez votre repassage entièrement nue. Demain vous recevrez un courrier comme celui là, je vous demande de bien vouloir faire tout ce qu’il y aura d’écrit.

Si vous souhaitez contacter la police faites bien attention, la Société YYYYY, vos voisins voire les copains d’écoles de votre fils seraient sûrement heureux de voir de telles images.

Merci d’avance …

Je ne savais plus que faire. Je pris la décision d’appeler le commissariat mais je raccrochai au dernier moment. Qui cela pouvait-il être? Mr. Nietzsche, mon ex-mari, ou un inconnu qui aurait profité que mon mari « tienne parole » en diffusant les photos sur le net? Et si oui, quel est cet inconnu, un voisin, un collègue de bureau?

J’étais perdu, je passai la soirée à laver, nourrir puis coucher mon enfant tel une zombie. Quand tout d’un coup je vis qu’il était 21H55. Résignée je pris la décision de « faire du repassage ». Néanmoins, je décida de ne montrer que le haut, et donc de porter un caleçon moulant. Comme cela si quelqu’un hormis le maître chanteur m’observait je pourrait laisser croire qu’il faisait chaud chez moi (difficile au mois d’octobre si j’avais eu encore les moyens de raisonner).

Pendant ce strip-tease, je scrutais les appartements me faisant face mais du fait du manque de clarté, il m’était impossible de repérer mon « admirateur ».

Une heure plus tard je partais kocaeli escort me coucher pour ne m’endormir que très tard dans la nuit.

Le lendemain, après y avoir pensé, je parti au commissariat. Toutefois, par peur d’avouer toute l’histoire j’indiquai qu’une amie avait peur de venir voir la police par rapport à des lettres de chantages et que je souhaitais savoir comment cela se passait pour pouvoir l’aider à franchir le pas.

Je passais la journée anxieuse au bureau, n’attendant que de récupérer mon garçon et … rentrer chez moi pour n’espérer voir aucun courrier à mon attention.

Mais il y avait bien une lettre similaire à celle du mardi. Une fois assise et mon enfant dans sa chambre, je l’ouvris :

« Tu ne souhaites pas t’exhiber sous mes yeux et tu vas voir les policiers!!! Ce n’est vraiment pas bien. Tu as deux solutions, sois tu fais ce qu’il y a écrit au verso de cette lettre soit tu seras connue dans le quartier. »

J’étais donc surveillée de très prés. Je décidai donc de tourner ce terrible courrier.

« Tu as pris une sage décision :

Tu vas mettre une robe et descendre aux vides ordures.

Derrière la poubelle N°2 se trouve une petite caméra. Tu la poseras sur le renfort du mur et tu l’allumeras.

Ensuite tu commenceras à danser et à te déshabiller.

Mais cette fois-ci je te veux nue.

Une fois terminée tu remettras tes sous-vêtements mais tu laisseras ta robe et la caméra bien sûr.

Tu remonteras chez toi ainsi.

Attention je te surveille. »

Dépitée je pris donc la première robe qui me vint (fort peu sexy je doit l’admettre) et je descendis pour effectuer ma séance d’exhibition. Mais au moment d’ôter ma culotte, j’entendis descendre quelqu’un je me précipita alors entre 2 poubelles bien caché avec la maudite caméra.

Un homme à priori (un pas lourd) resta quelques secondes pour déposer ses ordures puis repartit sans s’apercevoir à priori qu’il y’avait plus que des poubelles. Le stress passé je reprenais mon déshabillage, et finissais la séance en me caressant les seins et le sexe histoire de montrer mon assurance et mon courage, mais en fait cette situation m’excitait aussi un peu.

2 minutes plus tard, après une écoute attentive des bruits de couloirs vêtue de mon soutien gorge et de ma culotte je remontai par l’escalier de service afin de retrouver mon appartement. Fatiguée par la nuit précédente et satisfaite de ne pas avoir été découverte je pu mieux dormir.

Jeudi soir rien ; mais vendredi je retrouvais à nouveau un courrier que j’ouvris dans l’entrée sans prendre soin de le lire chez moi. Il y contenait une photo extraite de la vidéo de la nuit précédente et une missive indiquant ceci :

« Merci pour cette performance artistique. Demain à 9 heures tu iras dans le parc d’à côté, vêtue d’une jupe. Comme cela ton fils en profitera pour faire une grasse matinée.

Tu iras t’asseoir sur le banc en face de la statue. S’il est pris tu prendras le suivant sur la droite.

Tu auras alors 10 minutes pour enlever ta culotte et la déposer sous le banc.

Tu resteras ensuite 15 minutes jambes écartées. Pour me permettre de profiter pleinement de la vue de ton entrecuisse tu liras un livre que tu tiendras bien devant toi.

Enfin tu te lèveras et te baladeras dans le parc. Je veux que tu te penches lentement à trois reprises sans plier tes jambes afin de montrer sous un autre angle tes fesses. Après tu pourras rentrer. »

Samedi matin donc je me levai comme d’habitude vers 8 heures mais au lieu de réveiller mon fils, je pris une douche et m’habilla d’un Tanga et d’une jupe droite pour que je puisse passer les mains dessous et retirer au plus vite mon dessous.

J’avais une appréhension très forte mais par contre je n’étais pas effrayé ou dégoûté par ce qu’on me demandait de faire.

Arrivée dans le parc je trouvai le banc vide, par contre il y avait déjà du monde, notamment des joggeurs et des personnes passant par cet espace vert pour aller au marché. Au bout de 5 minutes je me lançai. Je retroussai ma jupe à mi-cuisse et passa mes mains sur les côtés. Je soulevai mes fesses et tira sur le tissu. Malheureusement, ma culotte fût rebelle et je dû m’y reprendre à plusieurs reprises avant qu’elle soit au niveau de mes genoux. Sûr on devait avoir tout vu.

C’est alors qu’un coureur arriva dans le chemin à 50 mètres de moi. Je me penchai immédiatement afin de cacher la position scabreuse dans laquelle j’étais, laissant croire que je cherchai quelque chose par terre, enfin je l’espérai. Rouge de honte je finis d’enlever ce Tanga que je posai par terre comme demandé.

J’ouvris mon livre et commençai à lire ou du moins à laisser paraître. Les jambes écartées je sentais l’air frais caresser mon sexe. Je m’imaginais alors mon voyeur inconnu se délectant du spectacle. Cela me fit partir dans un songe où mon inconnu arriverait derrière moi et d’un coup m’embrasserait fougueusement tout en me caressant les seins. A mon retour à la réalité je réalisais que konya escort j’étais dans cette position explicite depuis plus de 20 minutes.

Une fois levée, je commençai ma marche l’interrompant comme écrit dans la lettre d’inclinaison permettant à ma jupe de remonter à la lisière de mes fesses. La dernière fois, le vent s’invita sous celle-ci remontant la partie arrière au-dessus de mes fesses. Je remis promptement la jupe et me retourna.

Je découvris 4 hommes marchant derrière moi. Ne sachant pas s’ils avaient aperçus mon intimité je partis honteuse et humiliée de ce que je venais de faire.

L’après-midi je me demandais jusqu’où cela irait, ou jusqu’où je serais prête à aller, tout en me promenant dans Paris avec mon garçon.

De retour chez moi j’ouvris la porte et découvris une feuille m’indiquant de soulever mon paillasson. Une fois mon enfant éloigné je soulevais donc le dit objet et vis ma culotte laissée dans le parc, sur lequel était marquée : « Va dans le vide ordure récupérer un sac bleu dans la poubelle N°1. »

Téléphone :

Je courus pour récupérer le sac. Dedans, se trouvait la caméra de l’argent, de nouveaux des photos de ma séance du matin et une feuille de papier.

« Tu sembles y prendre plaisir… 20 minutes au lieu de 15. Je te laisse en tout cas voir tes exploits … plutôt bien pour une novice. L’argent doit servir à 3 choses :

1. Achète un portable et une recharge téléphonique que tu déposeras dans la poubelle de l’immeuble mardi matin à 9H00 précise.

2. Lundi midi tu iras t’acheter aussi 2 strings dont un en dentelle et l’autre ficelle pour seul rempart de tes fesses.

3. Enfin je veux que tu t’achètes un porte-jarretelles ainsi que deux paires de bas dont une avec couture apparentes.

Sur la boîte d’emballage tu inscriras tes numéros de téléphone (portable, maison et bureau).

En attendant film toi : remonte ta jupe et caresse toi mais plus langoureusement et longtemps que la dernière fois.

Bon massage et bonnes courses lundi. »

J’avais oublié de remettre ne serait-ce qu’un string sur mon sexe!!! Il allait encore une fois penser que j’apprécier ces requêtes. Je ne me défilais pas et me caressai ouvertement devant l’œil de métal. Mon sexe suintait indiquant clairement que j’y prenais un certain plaisir. A la limite de tremblements signe d’un orgasme proche je m’arrêta (pour mieux conclure cette masturbation dans ma chambre où je ne pus réprimer un cri évocateur). Auparavant je laissai la caméra, cachée comme demandée sous la poubelle.

Les achats réalisés, le portable déposé comme convenu la journée de mardi fût horrible. J’étais dans l’attente et l’indécision.

Appeler au secours auprès de la police pour mettre fin à ce chantage avec tous les risques que cela comporte, car j’avais tout de même acceptée certaines séances assez chaudes. Ou bien poursuivre ce jeu dangereux mais néanmoins excitant.

Après avoir mis au lit mon enfant je reçus enfin l’appel.

– Inconnu : Bonsoir Laurence.

– Moi : Bonsoir, qui êtes vous?

– Inconnu : Ce n’est pas à toi de poser des questions … J’ai pu encore découvrir tes exploits et je constate que tu dépasses la plupart de mes souhaits … Bon, as-tu achetées tout ce que je t’ai demandé?

– Moi : Oui.

– Bien, je vais te poser trois questions toutes simples. Attention à ce que tu vas répondre … Voici la première question : As tu aimé ces petits jeux érotiques?

Pas le temps de réfléchir et de méditer à la réponse la plus adéquate face à ce maître chanteur. Je pris le parti de dire ce que j’avais sur le cœur.

– Votre chantage est inadmissible vous n’avez pas le droit de faire cela!!!

– As-tu appréciée ce que tu as fait???

– Oui!!!

– Alors pourquoi t énerves tu? Bon réfléchis bien à ce que tu vas dire maintenant, je n’accepterais qu’une réponse …… Veux tu continuer? Si la réponse est non je te remettrais l’ensemble des preuves vidéo indiquant que tu as appréciée ça, et tu n’entendras plus jamais parlé de moi. Alors?

Je pris une minute cette fois-ci pour répondre. Au fond de moi j’avais apprécié la séance du parc, et donc je dis :

– Oui je veux bien

– Es tu prête alors à te soumettre à toutes mes demandes et envies?

– Oui je suis prête.

– C’est bien Laurence. Pour fêter cela tu vas immédiatement rassembler tes culottes et tes collants et les mettre dans le sac que tu avais récupéré. Jusqu’à vendredi tu ne pourras uniquement mettre que ton porte-jarretelles et l’un des deux strings achetés dernièrement. En ce mois d’octobre cela ne devrait pas être trop dur. Attention!!! si je vois que tu désobéis je mettrais immédiatement fin à notre relation.

– C’est d’accord.

– Pour pimenter le jeu, tu ne vas pas fermer le sac et tu vas le jeter par la fenêtre. Si tu as de la chance on ne verra qu’un sac dans le parc de l’immeuble, sinon, on risque d’apprécier tes goûts en termes de dessous, haha ha!!!

Je rassembla mes effets et les jetai par-dessus le balcon. Le choc fit apparaître quelques unes de mes culottes mais heureusement la nuit était déjà bien tombée. Tout d’un coup le téléphone retentit.

– Inconnu : Tu n’as pas oublié quelque chose?

– Moi : Non?

– Relève ta jupe immédiatement!

– Oh pardon j’avais oublié celle que je porte.

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La Panne de Métro

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Amateur

C’est le soir, il est même assez tard. Je ne suis pas rentrée directement de ma journée de travail, je suis allée « traîner » seule sur St-Denis et prendre une bière en écoutant le blues qui se joue dans un petit bar. Ça m’arrive quelquefois.

Dans le métro, à cette heure-ci, il y a relativement peu de monde. Deux ou trois stations plus loin je me retrouve seule avec un homme à l’abord fruste qui me regarde en coin. Je vois son regard et malgré moi ça me fait de l’effet. Mais je ne le montre pas parce que par ailleurs il n’est pas le genre d’homme que je souhaiterais faire entrer dans ma vie, pas le genre d’homme auprès duquel je serais fière de me montrer. Or je ne me vois pas commencer une aventure avec quelqu’un à qui je devrais ensuite expliquer le plus posément possible qu’il ne m’a jamais intéressée.

Bref, je reçois avec plaisir ses coups d’œil appuyés sur mes jambes, mes hanches, mes seins. J’ouvre même en moi quelque chose qui accueille le désir que je sens sourdre de lui et qui m’excite. Je vais jusqu’à bouger négligemment d’une façon peut-être un peu provocante… Mais j’affiche un air indifférent, je ne regarde pas vers lui, et même je me reprends – prise de honte en me disant que je me comporte en allumeuse. Pourtant je ne suis pas inquiète puisque je descends bientôt et retrouverai davantage de monde. Que peut-il m’arriver dans le métro où tout va si vite?

Je me lève parce que la prochaine station est la mienne. Puis, soudainement, entre les deux stations, le métro s’arrête. J’ai une pointe de panique au fond de moi mais je me reprends. Il va sûrement redémarrer bien vite…

Je suis debout face à la porte, la main accrochée à la barre et, pour la forme, je pousse un soupir qui se veut d’impatience. Je veux comme prendre à témoin l’homme qui se tient pas très loin de moi, une façon comme une autre, j’imagine, de vite replacer notre rapport sur un plan plus ordinaire. Je lui adresse un petit sourire mais il ne bronche pas. Il est toujours assis au même endroit, les yeux fixés sur moi, ses grandes mains posées sur ses cuisses épaisses, et au lieu de me renvoyer mon sourire, il promène son regard sur mes seins, mon ventre, mes cuisses… Je me sens rougir et me détourne de lui, me sentant même nue tout à coup parce que je ne peux lui cacher mon cul mis en évidence par ma robe moulante.

Ensuite, ce sont les lumières qui flanchent d’un seul coup. Là, j’angoisse pour de bon.

Je tends l’oreille vers cette présence proche, mon cœur bat plus vite.

Le bruit est imperceptible. Comment est-ce possible d’un homme si massif? Mais il a bougé. Les muscles de tout mon corps sont tendus. Quand je comprends qu’il est tout près de moi je n’ai même plus le temps de m’éloigner. Déjà, son souffle est sur moi. Je veux réagir mais son corps lourd me bloque: je suis entre la porte et lui.

Je voudrais dire quelque chose mais rien d’intelligent ne me vient. Lui ne dit rien non plus. Et je sais bien déjà que contre lui je n’ai aucune chance, sinon que le métro redémarre. Mais il reste obstinément bloqué et nous sommes toujours dans l’obscurité.

J’ai le corps plaqué contre la porte du métro, je sens le pénis de l’homme à travers le tissu contre mes fesses. Je m’arc-boute et tente de le repousser mais mes efforts sont dérisoires. Ses mains, sans perdre de temps, s’insinuent sous ma jupe et remontent le long de mes cuisses. Je lui crie de me lâcher et je prends en même temps conscience du fait qu’il est bien sûr seul à m’entendre. Évidemment il ne tient pas compte de mes mots ; il me traite de salope et c’est la première fois que j’entends sa voix, sourde, grave.

Il me retient les mains derrière le dos…. Je sens un objet sur mes poignets… la froidure du métal… il me menotte!

Puis, il me retourne face à lui et se presse contre moi. Je ne peux maintenant lutter qu’avec mes jambes. Tout s’est fait si vite… Je suis certaine qu’il attendait ce moment depuis longtemps.

Qui est-il? Un employé de banque? Un simple commis au physique ingrat qui a peu de succès avec les femmes et qui se tourne vers les films pornos où il se délecte de scènes de viol en fantasmant qu’il baise ces femmes ligotées livrées à sa langue, ses doigts, sa queue? Depuis combien de temps arpente-t-il les corridors et les rames du métro à la recherche d’une jeune femme pour assouvir ses instincts? Suis-je sa première victime? En a-t-il violé d’autres avant moi? Comme j’ai été stupide de l’aguicher….

– Tu sais que tu es bandante….

Sa voix me ramène à la réalité. Je sens son eskişehir escort haleine fétide: cigarette et alcool… Il a une main sur mes fesses, l’autre palpe mon sein gauche par dessus mon pull.

Il est interrompu par la voix nasillarde du contrôleur provenant du haut-parleur de la rame:

— Suite à une panne majeure, nous serons immobilisés pendant environ 30 minutes. Nous vous remercions de votre patience.

De petites ampoules d’urgence jetant une lueur blafarde s’allument au plafond des wagons.

– 30 minutes, nous avons le temps de faire connaisance, non?

Je me débats, j’essaie sans succès de le frapper avec mes jambes…

— Ça s’habille comme une petite putain. Ça joue à l’allumeuse et ça ne voudrait pas se faire toucher… Tu n’es qu’une petite salope et je vais te montrer ce qui arrive aux petites salopes comme toi qui jouent à faire la putain…

— Lâchez-moi, non, non, je ne veux pas… vous n’avez pas le droit…

Je crie en essayant d’échapper à son étreinte.

— C’est ça, débats-toi, petite salope, ça me fait bander encore plus! Vous êtes toutes pareilles… vous ne demandez qu’à vous faire baiser…

Il m’empoigne par les cheveux alors que de son autre large patte, il cherche le chemin entre mes cuisses.

— Comment tu t’appelles, hein? C’est quoi ton nom?

— A… Anne, lui dis-je, lâchez-moi, je vous jure, je ne dirai rien…

— Bien sûr que tu ne diras rien, ma petite Anne et tu sais pourquoi? Parce que je vais mettre ma grosse queue dans ta bouche et que tu vas la sucer, tu m’entends bien?

Sa main me retenant toujours par les cheveux, je ne peux que lui souffler: “noooooon… pas ça….je ne veux pas…”

Il me dégoûte… Je ne peux croire à ce qui m’arrive…

— À genoux, salope.

Il me force à m’agenouiller devant lui. Mon visage n’est à quelques pouces de son entrejambe. La fermeture-éclair de son pantalon forme une bosse qui cache son érection.

— Tu vas bien me sucer et tu vas avaler tout mon jus… sinon…

Je n’ose penser à ce que ce “sinon” veut dire. Je suis effrayée mais ne peux détourner mon regard de son entrejambe. Il y a plusieurs mois que je n’ai pas été avec un homme.

Il descend sa fermeture-éclair. Sa main s’enfonce dans l’ouverture de son pantalon, écarte les pans de son caleçon, empoigne le sexe bandé. Son gland apparaît devant mon visage. De couleur violacée, la forme est arrondie, les rebords relevés, le méat, au bout duquel perle déjà une goutte de sperme, est long et bien dessiné. Le reste de son pénis jaillit bientôt devant moi. Longue, sa queue est épaisse, très rigide. De grosses veines bleutées et saillantes courrent le long de sa verge. Tenant toujours sa bitte en main, il se met à frotter son gland sur mes joues, mon nez, mon front, mon menton.

— Suce, suce-moi, salope… m’ordonne-t-il en appuyant son dard sur mes lèvres.

Il cherche à glisser son gland entre mes lèvres. Je sens son odeur musquée. Je recule la tête, je ne veux pas… ce qu’il me demande là est ignoble…

— Suce, suce-moi… crie-t-il, d’un ton hargneux.

En me retenant par les cheveux, il ramène ma figure vers sa queue. Je ne peux échapper à la fellation qu’il m’oblige à lui faire. Résignée, je le laisse me pénétrer… Déjà, son gland s’appuie contre mon palais. Je dois me résoudre. Il ne me laissera pas avant d’avoir obtenu son plaisir…

À contrecoeur, mes lèvres se referment sur son gland. Les mains menottées derrière le dos, à genoux devant lui, je suce le sexe de cette brute, de cet abuseur. Cette caresse, je la procure à un homme qui me viole, qui veut éjaculer dans ma bouche en me prenant de force. Ultime outrage, il m’obligera aussi à avaler son sperme… cette caresse que je n’ai toujours réservée qu’à mes plus proches amants…

– Ah ouiiiiii…ouiiiiiii….

Son pénis est maintenant bien engagé dans ma bouche. Son va-et-vient s’accélère…

— Salope, tu vas me faire venir… T’aime ça, hein, avoir un gros gland dans sa bouche? Suce, putain, suce…

Sa verge se durcit dans ma bouche. Son plaisir est tout proche. Il va jouir. Je sens sa queue se raidir davantage et se contracter entre mes lèvres prête à faire gicler sa semence.

— Aaaaaaaaaahhhhhhhhhhh…….. salope!!!

Le premier jet de sperme atteint le fond de ma gorge. Les deuxième et troisième sont presque tout aussi puissants. Je me force à tout avaler. Je me souviens de sa menace… mais son éjaculation est trop abondante gaziantep escort et sa semence au goût acre coule sur ma joue.

Son pénis est encore bandé lorsqu’il le retire d’entre mes lèvres. Je reprends mon souffle. Je ne peux encore y croire… ce salaud a violé ma bouche…

Je me relève péniblement en m’appuyant sur la porte du wagon…

– Détachez-moi maintenant…

Ma voix est faible, mon ton suppliant.

— J’ai fait ce que vous vouliez.

Je veux rentrer chez moi, prendre une bonne douche et effacer de ma mémoire ce cauchemar…

— Te détacher? Mais, il nous reste encore 20 bonnes minutes… et tu sais qu’on peut faire plein de choses en 20 minutes…

De nouveau, il me plaque contre la porte. Sa queue à moitié bandée se presse contre ma cuisse nue. Le sperme qui continue à s’en échapper glisse sur ma peau.

Il m’empoigne encore par les cheveux. Son autre main, se referme sur mon sein droit qu’il commence lentement à malaxer par dessus mon pull…

— Non, non… vous m’aviez promis.

— Promis? promis?… mais je ne t’ai rien promis, moi. Crois-tu vraiment que je vais te laisser partir avant de t’avoir vue à poil, salope?

Je supplie, je gémis, je crie, rien n’y fait. Ma résistance et mes protestations ne font que l’attiser davantage. Déjà son pénis a repris toute sa vigueur. Je sens les veines saillantes de sa verge sur ma cuisse…

Il a relevé mon pull. Mon petit soutien-gorge en dentelle noire qui recouvre à peine mes seins est maintenant le seul obstacle entre la nudité de ma poitrine et sa grosse main rude.

— T’as de belles boules fermes, putain. Laisse-moi les voir…

Sa main est maintenant dans mon dos. Avec agilité, il dégrafe ma brassière. Le souffle court, la bouche entrouverte, me regardant dans les yeux, son visage à quelques pouces du mien, il enveloppe de sa grosse patte rugueuse mon sein rond et ferme dont la pointe est dressée bien plus de honte et de peur que de plaisir…

Mon soutien-gorge et mon pull relevés à la hauteur de mon cou, sa main courre bientôt partout sur ma poitrine, malaxant, pressant, palpant, pincant mes petits mamelons rosés.

— Hummmm ….magnifiques… de beaux seins fermes. De beaux petits mamelons durs. Je suis sur que ton copain bande lorsqu’il les caresse. Je sais que t’aimes ça te faire toucher, salope…

Sa bouche est sur mes seins, il les lèche, les suce, les mordille. Ma poitrine est couverte de salive. Je me débats mais il me retient fermement par les cheveux…

Pendant que sa bouche passe d’un mamelon à l’autre, sa main a soulevé ma jupe et se plaque sur mes fesses pour les caresser…

— Quel beau petit cul tu as, putain… De belles petites salopes dans ton genre, je dois d’habitude les payer ou les prendre de force. Mais toi, j’aurai pas besoin de te payer… je vais te violer, ma petite Anne…

Viol… ce mot mot tabou raidit mon corps. Je cherche à atteindre son entrejambe avec mes genoux mais il me retient fermement contre lui, me prévenant de toute attaque. Le salaud a du se caresser toute la journée, se délectant du matériel pornographique qui l’excite tant.

Le sperme qui a rempli ma bouche n’était là qu’une partie de la semence qui gonfle encore ses testicules…

Il me retourne violemment. Je suis maintenant arqueboutée, penchée vers l’avant sur un des bancs de l’allée centrale, le ventre appuyé sur le dossier, les mains sur le siège. Il a fait tomber son pantalon jusqu’à ses chevilles et il est nu à partir de la taille.

— Viens, viens me montrer ta petite fente…

Ma jupe est relevée. J’entends le tissu qui craque alors qu’il déchire ma culotte.

Il a maintenant complètement accès à mon anus et à mon vagin.

Je ne peux refermer les jambes sous peine de perdre l’équilibre. D’un de ses bras, il me retient penché vers l’avant. Sa main libre est déjà sur ma toison.

— Hummmmmm… Tu es mouillée, salope. T’aimes ça, hein? T’aimes te faire mettre comme ça? Ça te plait de te faire enfiler de force?

J’ai honte de la moiteur qu’il trouve entre les lèvres de mon sexe. Honte d’avoir à afficher devant un inconnu la traîtrise de mon corps.

Il ne faut pas qu’il sache qu’un frisson a couru sur mes reins lorsqu’il m’a forcée à le sucer… que mon sexe s’est contracté pendant qu’il mordillait mes mamelons. Je n’ai pas envie de lui. Toutes les sensations que j’ai ressenties n’étaient qu’involontaires…

— Non.. non.. lâchez-moi… je ne veux pas…

giresun escort Salope… toi, tu me dis non mais ta petite fente chaude et humide me dit oui, elle…

Un de ses gros doigts est en moi…. puis un deuxième…

Son pouce frotte mon clitoris déjà gonflé alors que ses doigts entrent et sortent de mon vagin.

Je gémis à nouveau:

— Nooooon.. Noooooon…

Non, je ne veux pas qu’il me touche. Non, je ne veux pas ressentir de plaisir…

Pourtant, c’est là le fantasme qui m’habite depuis que je suis adolescente… Toutes ces fois où je me suis donnée du plaisir en pensant à une scène semblable, où jai demandé à mes partenaires de m’attacher et de me prendre de force…

Mais toute cela n’était que fantasme, que jeu. Rien à voir avec cet homme qui me viole…

Je ne devrais pas… il ne faut pas que je lui montre…

Il continue à jouer avec mon sexe….

— Ah ouiiiiii… mouille encore plus, ma putain. Tu sais que tu n’es pas la première que je viole et qui aime ça?… Dis-moi: lorsque tu es seule dans ton lit, te branles-tu en pensant qu’un homme t’oblige à sucer sa grosse bitte? Jouis-tu en pensant que tu te fais enfiler de force?

D’un geste vif, il glisse son gland entre les lèvres gonflées de ma vulve.

— Ahhhhhhhhh….

Je gémis de honte, de peur… et de plaisir. Ces émotions mêlées, troubles m’amènent à contracter de nouveau mon vagin…

Je sens sa queue me remplir complètement. Son poil est sur mes fesses, ses grosses couilles molles se frottent sur mes cuisses.

— Ah oui, serre-là bien ta petite fente étroite, Anne. Sais-tu que je te viole et que je vais venir dans ta chatte???…

— Noooon… noooooon… Je ne veux pas… noooooon…

Je me déhanche… Est-ce pour me libérer de cette ignoble pénétration ou est-ce plutôt pour m’ajuster à son rythme?… je ne sais pas… je ne sais plus… j’ai la tête qui tourne… Il a entré un pouce dans son anus et de l’autre main, il frotte mon clitoris qui, malgré moi, s’allonge encore…

Je sens ses violents coup de butoir contre mes fesses. Jamais, chez tous les hommes qui m’ont baisée, n’ai-je senti un tel désir, une telle urgence de me posséder…

Il va jouir dans mon sexe… Il me force et, malgré moi, je mouille….

Il me ramone le sexe, me fouille, me remplit…

— Prends-la bien ma queue… tu te fais fourrer par en arrière comme un animal… Ahhhhhhhh…. petite chienne…. je jouiiiiiiiiis……

Je le sens éjaculer en moi… sa semence gicle au fond de mon ventre.

Même après avoir longuement éjaculé, il continue à me pénétrer dans un lent va-et-vient… Il laisse sa queue dans mon vagin pendant de longues minutes, dure, bandée… savourant l’étroitesse et la moiteur de mon sexe.

— Petite salope, tu m’as fait bien venir. Et toi aussi, je sais que tu as aimé. Avec tes airs de ne pas y toucher, tu n’es qu’une petite putain qui ne demande qu’à être violée. Il faudra bien se revoir à nouveau. J’ai des copains qui l’aimeraient bien ta petite chatte étroite. Je suis certain que tu aimes qu’on la lèche… Ça te plairait d’être attachée sur un lit, qu’on déchire tes vêtements et que 3 ou 4 hommes te baisent, hein? dit-il, en se penchant en avant pour m’empoigner les seins et me pinçer les mamelons…

Sous cette caresse, mon vagin se contracte encore… À nouveau, j’ai honte de lui montrer mon plaisir…

— Salope, tu en voudrais davantage, hein? Peut-être que le conducteur de la rame aimerait bien aussi venir t’enfiler…

Flash… Je le vois venir me pénétrer ce vieux cochon, ventru, à la queue courte et large. La réalité, mes fantasmes… tout se mêle dans ma tête… Il faut que tout cela se termine…

Mon souffle est court… je respire avec peine… je n’arrive plus à penser clairement…

Lentement, il se retire de mon vagin. Sa queue est luisante de mes sécrétions.

Je sens son gland contre mon clitoris… Je sais que s’il avait eu plus de temps, il m’aurait aussi enculée…

Son sperme coule sur mes cuisses.

Soudain, les lumières se font plus vives. L’électricité revient alors qu’il est en train de me libérer de mes menottes.

Brusquement, le métro se remet en marche.

Dès que je le peux, je me dégage de son étreinte et je courre vers le fond du wagon. J’attache mon soutien gorge, replace mes vêtements et glisse ma culotte déchirée dans mon sac à main.

Je sens ses yeux sur moi lorsque le métro entre en gare. Les portes s’ouvrent. Je courre vers la sortie. Dans le reflet d’une fenêtre, je le vois. Il me regarde partir en passant sa langue sur ses lèvres…

Je ne l’ai jamais revu… sauf dans mes rêves érotiques où lui et ses copains me violent encore et encore…

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Le Club – Partie 32

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CHAPITRE 32

EMILY

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, hatay escort sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Serena prit une grande inspiration et tapa à la porte du bureau d’Antonin Marius.

– Entrez, fit la voix puissante du commissaire.

Toujours aussi nerveuse à l’idée de rencontrer cette pourriture, la procureure poussa la porte et entra.

Marius l’attendait assis derrière son grand bureau d’ébène, Anna Belknik, assise en face de lui dans sa blouse de technicienne qu’elle portait en permanence quand elle se trouvait au commissariat central. Serena ferma la porte derrière elle et s’avança pour aller prendre la place à côté d’Anna. Les deux femmes n’échangèrent aucun regard et restèrent silencieuses, attendant les consignes du commissaire.

– Anna, fit-il, tu as les résultats des tests que j’ai demandés?

– Oui, répondit la technicienne. Ils sont positifs. Les corps retrouvés dans le hangar incendiés ont été identifiés comme étant ceux des membres de l’unité de William Fossett. Il ne manque qu’Emily Proctor et bien entendu Shemar Morgan.

– Tu en es certaine?

– Tout à fait, j’ai pratiqué moi-même les prélèvements et les comparaisons génétiques à partir du fichier national des officiers de police. Il n’y a pas d’erreur possible. Pour être sure, j’ai également comparé les empreintes digitales et dentaires quand elles étaient identifiables et les résultats ont tous été positifs. La dernière victime a également été identifiée à partir du même fichier : il s’agit de l’inspecteur Hugo Galliano, porté disparu depuis presque deux mois suite à l’attentat perpétré contre le palais de justice.

Marius s’adossa contre son siège et poussa un soupir. Certes, il restait encore à retrouver le dénommé Serfati qui rendait nerveux la totalité de ses collègue du Club mais savoir que Fossett ne se mettrait plus jamais sur sa route constituait une véritable libération. Il chassa cependant rapidement Fossett de ses pensées pour se concentrer sur l’autre raison de cette rencontre et il se tourna vers Serena.

– Tu as monté le dossier que je souhaitais?

– Oui, confirma la procureure. Il est accablant et je ne connais pas un seul juge qui ne signera pas les mandats de dépôt à l’encontre de Michel Ordoz. Je ne sais pas comment vous avez eu ces preuves mais…

– Et tu n’as pas à le savoir, la coupa Marius. Ton boulot c’est d’exécuter mes ordres pas de poser des questions malvenues.

Serena afficha une expression choquée. En dépit du traitement de choc qu’elle subissait depuis plusieurs semaines, elle ne s’était toujours pas totalement faite à ce nouveau rôle d’esclave que Marius voulait lui faire endosser et il aimait la voir se plier à contrecœur à son diktat.

– Décidemment, tu ne comprends rien à rien, souffla-t-il. Il faut vraiment te répéter les choses mille fois pour que tu les acceptes. Debout!

Serena se crispa devant cet ordre, elle soupçonnait qu’il sous-tendait une sanction. Depuis qu’elle dû se soumettre à la volonté de ce salopard, elle était devenue la victime privilégiée de ses défoulements pervers. Elle se leva en fixant Marius du regard, craignant sa réaction.

– Enlève ta jupe, ordonna-t-il.

Elle se tendit devant cet ordre et elle hésita de longues secondes avant de s’exécuter à contrecœur. Elle fit glisser la jupe grise de son tailleur strict jusque au niveau de ses chevilles pour dévoiler un string en dentelle noire qu’elle était contrainte de porter en permanence. Tentant d’oublier sa gêne de se retrouver fesses nues, elle reporta son attention sur Marius. Cependant, elle ne se concentrait pas sur la bonne personne puisque dans son dos, Anna s’était redressée en s’emparant d’une cravache qui était cachée sous sa chaise. Serena tourna la tête une seconde trop tard pour voir la technicienne lever son instrument de torture en direction de son fessier. A sa grande stupeur, le cuir vint frapper sa fesse gauche et elle se retourna pour croiser le regard froid et déterminée de celle qu’elle avait un jour considérée comme une amie.

– Retourne-toi! Lui intima Marius, et penche-toi ığdır escort bien! La punition ne fait que commencer.

Marius la sentait hésitante mais il était aussi enchanté par la détermination affichée par la jeune technicienne. Depuis qu’il avait soumis Serena à sa volonté, il s’amusait de ces petits jeux de punitions croisées qui entretenaient l’animosité entre les deux femmes. En effet, chacune accusait l’autre d’être responsable de sa situation actuelle et en faisant alternativement l’une la tortionnaire de l’autre, ils les empêchaient de concentrer réellement leur haine envers le véritable responsable de leur déchéance : lui.

Serena se retourna vers lui et il eut le plaisir de lire la détresse dans son regard. Bien entendu, il se montra inflexible et elle finit par abandonner toute résistance et se pencha sur le bureau offrant ainsi ses fesses à la vindicte d’Anna. Cette dernière ne se fit pas prier pour faire abattre le feu de sa rage sur la seule personne contre qui elle pouvait se défouler. Au premier coup de cravache, la jeune procureure fit une grimace qui se transforma en un rictus de douleur au troisième. Au cinquième, elle se coucha sur le chêne du bureau et des larmes apparurent au coin de ses yeux. Marius profitait du spectacle de cette punition et d’ailleurs, il sentait monter en lui une excitation qu’il allait devoir assouvir.

Il se leva et fit le tour du bureau. Il attrapa le poignet d’Anna alors que celle-ci avait relevé le bras pour donner un nouveau coup. L’expression de colère qu’affichait la technicienne se mua immédiatement en peur dans l’attente de la décision de celui qui la tourmentait depuis de longs mois. Cependant, il semblait avoir décidé à ce que Serena soit la seule victime expiatoire de cette journée et il se contenta de repousser Anna pour prendre sa place dans le dos de la procureure. Il passa le revers de la main sur ses fesses marquées par le traitement et il la sentit frissonner de peur. Il écarta alors le fil de son string pour libérer sa raie culière et insinua son pénis entre ses deux globes fessiers si parfaits. Elle se redressa en comprenant qu’il se préparait à la sodomiser mais elle réagissait bien trop tard. Pour éviter qu’elle ne tente de se dérober au dernier moment, il pesa de tout son poids sur son dos pour l’obliger à retrouver sa position pliée en deux sur le bureau. Son gland pressa alors contre le sphincter de son anus et il en força l’entrée avec vigueur. Elle redressa la tête en criant. Ce n’était pas la première fois qu’il la sodomisait. Contrairement à Anna, il n’avait pas attendu bien longtemps avant de s’emparer de cette virginité de peur de se voir voler sa privauté comme cela était arrivé avec la technicienne. Cependant son canal rectal était loin d’être habitué à ce genre d’invasions barbares et il continuait à lui serrer le pénis d’une manière fabuleusement jouissive. Il fit coulisser doucement son sexe dans ses intestins, goûtant autant au plaisir du rapport en lui-même qu’à l’humiliante douleur qu’il induisait chez sa partenaire contrainte. Il finit par l’emmancher totalement et ses bourses se plaquèrent contre sa peau si douce. Il prit un instant de respiration avant de commencer à la pistonner. Les cris de la procureure redoublèrent alors d’intensité ; le sexe de son violeur allait et venait dans son rectum ressortant presque totalement pour se réenfoncer au plus profond de ses entrailles avec une énergie encore plus forte. Marius continua ce petit jeu pendant de longues minutes mêlant ses râles de plaisir aux cris et pleurs de Serena. Finalement, il se sentit au bord de la jouissance et décida de mettre Anna à contribution. Il se retira brutalement de l’anus de la procureure dans un « flop » presque comique pour plaquer son pénis contre la bouche de la jeune technicienne qui, par pur réflexe conditionné, ouvrit la bouche pour l’accueillir. Elle commença donc à sucer ce sexe en pleine érection et dut avaler le sperme qu’il lui déversa au fond de la bouche seulement quelques secondes plus tard. Le commissaire enserra sa tête entre ses mains pour l’empêcher de l’écarter et ainsi la contraindre à ingurgiter la totalité du liquide séminal. Quand il la libéra, elle prit une grande respiration entrecoupée de quinte de toux qui lui permirent de recracher quelques gouttes de spermes qui lui restaient accrochées à la gorge.

Comblé Marius retourna vers le siège de son bureau et s’y assis.

– Réservez votre soirée, mes petites, déclara-t-il. Ce soir, nous participons à une petite fête entre amis.

Anna releva la tête et afficha de nouveau son sourire mauvais. Sans rien dire, elle posa la main sur la fesse droite de Serena et cette dernière ferma les yeux en sentant ce contact en comprenant ce que cela signifiait : elle avait déjà eu l’occasion de voir la marque au fer rouge gravée sur la fesse droite de la jeune technicienne.

CHAPITRE 2

Lorna assista impuissante à l’entrée des hommes de Marie-Pierre dans l’enceinte de la villa. Elle avait espéré que le système de défense de cette forteresse résiste bien plus longtemps aux tentatives d’intrusion ısparta escort même d’hommes aussi expérimentés que les commandos du réseau. Elle soupira en se demandant ce qui pouvait expliquer une telle défaillance mais se rassura en se disant qu’au moins maintenant elle pouvait suivre l’évolution des envahisseurs.

Elle en avait dénombré 6 qui s’étaient séparés en 3 groupes de 2 afin de couvrir plus de surface. Elle comptait bien profiter de cet éparpillement des forces. A 2 contre 1, elle avait bien plus de chances qu’à une contre 6. Elle décida donc de quitter la salle des commandes pour prendre ses ennemis à revers. Elle s’empara d’un GPS directement relié à l’ordinateur central de la salle des commandes qui lui permettrait de suivre les mouvements de ses ennemis et d’ainsi conserver son avantage tactique.

Elle sortit de la salle et emprunta un escalier qui lui monter d’un étage. La villa était immense et représentait un véritable labyrinthe. Jusqu’à ce soir, vivre dans une telle maison lui avait parut ridicule mais maintenant elle en comprenait l’avantage. Jamais ses adversaires ne se seraient séparés si l’espace à couvrir n’avait pas été aussi vaste. Elle observa son GPS et vit que deux de ses adversaires se trouvaient à seulement trois mètres d’elle dans un couloir voisin. Elle se plaqua dans un renflement de la paroi afin de se rendre la plus invisible possible et attendit. Tant qu’ils restaient en mouvement, ils étaient bien plus vulnérables qu’elle. Elle entendit le bruit de leur pas ; ils étaient silencieux mais pas encore assez pour surprendre une femme aussi expérimentée qu’elle. Quand ils furent à seulement un mètre d’elle, elle sortit de sa cachette et ouvrit le feu. Ils furent totalement pris au dépourvu et les balles sorties de son arme munie d’un silencieux firent mouche. Ils s’écroulèrent lourdement sur le sol et Lorna se détendit une seconde…et ce fut une seconde de trop.

Elle ne sentit la troisième présence qu’une fois qu’elle fut sur elle. Elle se retourna pour parer le premier direct du droit de son agresseur mais elle prit quand même un coup de genoux dans le ventre qui lui coupa la respiration. Elle recula de deux pas pour s’offrir plus d’espace pour lutter et vit que son adversaire était une femme.

– Marie-Pierre, comprit-elle.

Marie-Pierre Pomi ne dit rien et continua à avancer froidement vers elle telle la veuve noire qu’elle était toujours au fond d’elle.

CHAPITRE 3

Le juge de Saint Servier aimait toutes ses petites visites à l’école Oscar Bono mais celle-ci promettait d’être la plus savoureuse de toutes. Le directeur Laroquette avait affirmé au téléphone que les petites étudiantes étaient désormais toutes parfaitement formées et n’attendaient plus que le bon vouloir des membres du Club.

– Vous êtes sûr de ce que vous affirmez, mon ami? Demanda-t-il. Elles sont toutes prêtes?

– Jugez-en par vous-même, fit Laroquette. Allons les voir.

– Très bien!

Le juge se leva mais Laroquette resta immobile en dévisageant Morgan assis à côté du juge.

– Un problème? S’étonna de Saint Servier. Monsieur Morgan est désormais l’un des nôtres comme vous le savez.

– C’est que ce n’est pas tout à fait vrai, réfuta Laroquette assez gêné. Il n’a pas encore rempli toutes les conditions pour devenir un membre à part entière du Club et donc…

– Alors disons qu’il est mon invité, s’énerva le juge.

Laroquette se crispa. Le juge était une personnalité influente et celui qui avait rendu possible son entrée au sein du club et la dernière chose qu’il souhaitait était bien de le froisser. Il décida donc d’accéder à sa requête même si voir ce noir sorti de nulle part obtenir sans aucun effort des privilèges qu’il avait dû suer sang et eau pour acquérir le rendait malade.

Les trois hommes rejoignirent donc le dortoir des jeunes étudiantes. Au moment où ils passèrent la porte principale, une sonnerie s’enclencha et il ne fallut qu’une minute pour voir toutes les portes des chambres s’ouvrir et une dizaine de jeunes filles s’aligner le long du mur du couloir. De Saint Servier reconnut sans problème la plus proche d’entre elle : Sonia Ordoz. Il avait déjà sauté plusieurs fois cette jeune salope qui était la plus ancienne des esclaves de Laroquette mais il fut attiré par un détail intéressant : la tenue vestimentaire de l’étudiante qui était visiblement aussi celle de toutes ses petites camarades. En plus de son collier de chien — ustensile désormais banal chez les esclaves de Laroquette, elle portait une jupe écossaise très courte qui révélait la naissance de ses fesses visiblement nues en dessous ainsi qu’un chemisier blanc à manche courte qui lui laissait le nombril à l’air.

– Superbe uniforme, complimenta le juge. Excellente idée!

– N’est-ce pas, répondit fièrement le juge. Je voulais maintenir une certaine discipline et puis ainsi, elles sont bien plus… accessibles.

Il jeta un regard en direction de Sonia qui se figea avant de se retourner et de se cambrer outrageusement vers l’avant en écartant les jambes. Sa petite jupe se retroussa naturellement dévoilant toute son intimité à la vue des trois hommes. Laroquette ne se gêna pas pour glisser sa main entre ses cuisses ainsi offertes mais il ne s’attarda pas sur la jeune fille qui ne représentait aucunement une nouveauté pour ces hommes venus en quête de chair très fraîche.

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L’enseignante, Ma Chienne Ch. 04

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Anal

Traduction d’un récit de Erlikkhan.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Karen est furieuse. Carl n’a pas seulement baisé sa fille, il l’a transformée en esclave sexuelle. Elle prend un couteau et se dirige vers la porte. Elle n’a aucune idée de ce qu’elle va faire. Elle est tellement en colère qu’elle ne peut penser correctement. Et sa colère est décuplée quand elle voit pendre la culotte de Katie au doigt de Carl. Elle s’avance vers lui.

Tout se passe si vite que Karen n’a pas le temps de réagir. Carl lui tord le bras dans le dos la débarrasse du couteau. Puis il claque son visage contre le capot de la voiture. Il tire son autre main derrière son dos et attache les deux avec sa ceinture.

– Est-ce le moyen de remercier quelqu’un qui a montré ce qu’est la vie à votre fille? Vous devriez me remercier Mme O’KEEFE. Je crois que Katie n’a jamais été aussi bien baisée et je suis sûr qu’elle n’a jamais eu de bite dans son cul avant ce soir.

Carl tire sa tête en arrière par les cheveux. Il frotte la culotte tâchée de sperme sur le visage de sa professeure puis il la fourre dans sa bouche. Avec le couteau, il coupe son petit haut en coton et il l’attache autour de sa bouche pour maintenir la culotte en place. Karen se débat mais elle n’arrive pas à se dégager et elle ne peut pas demander de l’aide.

– Vous pouvez goûter le jus de chatte de votre fille mélangé avec mon sperme. Katie est une vraie femme fontaine, tout comme sa mère.

Karen cesse de se débattre pour pouvoir contrôler sa respiration par le nez. Le goût fort du sperme et du jus féminin emplit sa bouche, confirmant ce que Carl lui dit. Puis elle sent que son short est coupé par le couteau. Il va la baiser dans son allée et il n’y a rien qu’elle puisse faire pour l’arrêter.

Un fois qu’il a complètement retiré le short de sa victime, Carl arrache sa culotte. Il fourre deux doigts dans la chatte chaude et déjà juteuse et il les remue. Puis il pousse son pouce dans le trou du cul.

– Mme O’KEEFE, vous êtes une femme très vilaine. Vous êtes venu ici pour que je vous baise. Sinon pourquoi votre chatte coulerait-elle comme une chienne en chaleur?

Elle sait qu’il a raison. La plus grande partie de sa colère n’est pas de la faute de Katie. Mais c’est plutôt sa chatte qui veut la queue de son élève et elle y a pensé toute la nuit. Les doigts du garçon quittent son corps et elle sent le gros gland à l’entrée de son sexe. Il pousse et remplit rapidement le gros vide dans son ventre. Elle voudrait le haïr mais c’est peine perdue. Elle veut sa bite, elle veut être baisée.

Carl coupe son soutien-gorge avec le couteau et saisit ses seins. Sa queue martèle brutalement sa chatte. Le jeune homme sait qu’elle aime ça car elle incline son cul pour qu’il la pénètre plus profondément. Il pince les tétons, les tire de plus en plus jusqu’à ce qu’elle ressente de la douleur. Karen laisse échapper un gémissement étouffé à travers la culotte dans sa bouche.

Karen est en feu. Elle se plaque contre sa queue à chaque fois qu’il l’enfonce en elle. Elle veut cette bite au plus profond de sa chatte. Quand il tire et pince ses mamelons, ça agit comme un aphrodisiaque. La pression dans son ventre est insupportable. Karen sait qu’elle va bientôt avoir un orgasme.

Carl sent le corps de sa professeure se tendre. Il pousse son membre profondément dans la chatte humide et chaude. D’une main il tire sa tête en arrière et de l’autre il pince un des mamelons. Du jus de la chatte de Karen coule sur sa bite et ses couilles. Mme O’KEEFE gémit et halète avec la culotte dans sa bouche. Carl continue de marteler sa chatte. Il tire sur l’autre téton. Un autre orgasme déchire le corps de la femme.

Carl remarque un mouvement du rideau au premier étage. Katie est debout derrière sa fenêtre. Elle sait que rien ne va. Elle sait qu’elle devrait réveiller son père ou appeler la police, mais elle est figée sur place. Elle s’aperçoit que Carl la regarde et qu’il sait qu’elle le voit baiser sa mère. Elle sait comment doit se sentir sa maman avec la bite du garçon dans sa chatte. Elle voudrait ressentir la même chose. Elle porte une main sur un de ses tétons et une autre entre ses jambes.

Carl sort sa queue de la chatte de sa professeure dont le corps tremble encore sous l’orgasme. Il presse son gland contre le trou de cul. Karen se raidit quand il s’enfonce dans son anus d’un coup dur. Trois coups plus tard, il est complétement enterré dans le cul de sa victime. Carl saisit ses hanches et commence à pilonner sans relâche le petit trou serré.

Karen grimace sous la douleur. Le garçon n’a rien fait pour la préparer à cette sodomie brutale. Elle se débat, mais avec ses mains attachées derrière son dos, elle ne peut rien faire alors que la bite déchire son cul encore et encore. Des larmes coulent sur ses joues. elazığ escort La douleur commence à se calmer.

Dans sa chambre, Katie glisse une main derrière elle et entre ses fesses. Bientôt son doigt trouve son trou du cul encore endolori. Elle le masse tout autour puis elle enfonce la pointe de son doigt dans l’ouverture. Lentement, tout son doigt trouve son chemin dans le tunnel sombre. Son autre main est sur sa chatte. Carl est toujours en train de la regarder.

– Vous avez un cul serré Mme O’KEEFE. Tout comme Katie. Elle n’a pas aimé au début non plus, mais ensuite elle a joui si fort que sa chatte a éclaboussé partout.

Karen se sent sale et humiliée d’être sodomisée. Et c’est désagréable de se faire baiser par la même queue qui était dans le cul de sa fille plus tôt dans la nuit. Alors qu’elle réfléchit, elle sent qu’elle se détend et que sa chatte commence à couler.

Carl continue avec méthode d’enculer sa professeure. Puis il accélère. Il tire le bâillon dans la bouche et le resserre. Il lève les yeux vers Katie alors qu’il sert fort et lève la tête de Karen. Katie regarde sa mère avec la culotte imbibée de sperme dans sa bouche. Elle est excitée de savoir que sa mère peut goûter le jus de sa chatte avec le foutre du garçon.

Karen est soulevée du capot de la voiture par le cou. Carl la sodomise debout. Il soulève le couteau et pose le bout pointu sur les mamelons durs. Karen sent des soubresauts de plaisir et de douleur traverser son corps. Carl pique la peau aux points sensibles tout en faisant attention de ne pas l’égratigner. Il voit que Katie regarde attentivement.

– Je pense que vous êtes sur le point de jouir Mme O’KEEFE. Peut-être devrais-je titiller votre clitoris?

Karen sent la lame froide descendre sur son ventre. Carl pousse la poignée du couteau dans sa chatte. Elle est si proche de l’orgasme. Elle veut désespérément en finir. Quand il ressort le couteau et pique son clito avec la pointe, elle explose. Ses jambes deviennent toutes molles. Du jus gicle de sa chatte et dégouline sur la lame du couteau. Elle veut crier mais le garçon l’étrangle trop fort pour qu’un bruit puisse s’échapper.

Katie ramasse ces ciseaux à ongles sur sa table de chevet et passe le bout pointu sur ses mamelons durs, tout en regardant le spectacle dans l’allée. Elle a maintenant deux doigts dans son cul. Son corps la brule tandis qu’elle regarde ce que fait Carl à sa mère. Elle déplace le bout des ciseaux jusqu’à son clitoris. Elle regarde sa mère jouir. Quelques instants plus tard elle halète. Son jus intime coule de sa chatte sur ses cuisses.

Carl tire sa professeure et la force à s’agenouiller. Il attrape ses cheveux et fourre sa queue entre ses lèvres. Son gland se presse dans la gorge. Il maintient la tête de la femme et continue à pousser jusqu’à ce qu’il voie sa bite pénétrer plus profondément. Finalement ses couilles tapent le menton de Karen. Sa queue est bien au fond de sa gorge.

Karen ne peut pas respirer et elle est impuissante à faire quoi que ce soit avec les mains attachées dans le dos. Elle étouffe sur la bite et lutte désespérément pour trouver de l’air. Finalement le garçon se retire. Puis il remet sa queue et baise son visage rapidement et brutalement, enfonçant parfois son membre tout au fond et le tenant là quelques secondes. De la bave coule des lèvres et mouille les couilles.

Carl coupe le bout de son doigt avec le couteau et laisse goutter le sang sur sa bite alors qu’elle entre et sort de la bouche de sa professeure. Le goût du sang est stimulant. Karen ressent des picotements dans sa chatte. Elle veut toucher son clitoris mais ses mains sont toujours attachées dans son dos. Le sang coule sur ses lèvres et dans sa bouche. Soudain son corps se tend et sa chatte se contracte. Du jus recommence à couler sur sa cuisse.

Katie regarde par la fenêtre. Elle suce deux doigts tour en se masturbant. Elle a coupé l’un de ses doigts avec les ciseaux et elle suce son sang. Elle voudrait que la bite de Carl soit dans sa bouche, elle voudrait que Carl lui fasse ce qu’il fait à sa mère. Elle frotte sa gorge pour se souvenir quand le garçon avait forcé sa bite dedans.

Carl retire sa queue de la bouche de Karen et la pointe sur son visage. Il lève les yeux vers Katie. Karen sent la première giclée sur ses lèvres et son nez, la suivante sur un œil et la joue. Puis le sperme chaud éclabousse son front. Quand son élève a fini, elle a le visage qui dégouline de foutre. Carl remonte dans sa voiture et la laisse, agenouillée dans l’allée, les mains attachées dans le dos.

– Merci d’être venue me voir Mme O’KEEFE. C’est bien qu’une mère s’intéresse aux affaires de sa fille. Je vous reverrai bientôt toutes les deux.

Carl fixait Katie quand il a éjaculé sur le visage de sa mère. La jeune fille a eu un autre orgasme. Elle regarde le garçon partir en laissant sa maman sur les genoux dans l’allée avec de gros traits de sperme dégoulinant sur son menton. Karen essaie erzincan escort de se lever mais elle tombe. Après s’être débattue pendant plusieurs minutes, elle arrive à libérer ses mains.

Elle ramasse lentement ses vêtements déchiquetés et se dirige, nue, vers la porte de la maison. Ses genoux ont été égratignés sur le gravier de l’allée et sa gorge est douloureuse de ce que lui a imposé Carl. Mais malgré tout, son corps est satisfait. Elle était sortie pour se faire baiser. Le couteau n’était qu’une excuse.

Katie se glisse sous ses draps tout en réalisant que plus rien ne serait pareil. En une nuit, son monde a été bouleversé. Elle est devenue une esclave sexuelle d’un garçon qu’elle connait à peine. Elle s’est masturbée en regardant ce même garçon baiser sa mère sauvagement et lui provoquer orgasme sur orgasme comme il avait fait pour elle. Katie est à la fois effrayée et excitée par l’avenir.

******

Le jour suivant, Karen a une discussion sérieuse avec sa fille. Katie lui raconte tout ce que Carl lui a fait et pleure sur son épaule. Karen est surprise de la facilité avec laquelle sa fille accepte de rester loin du garçon à l’avenir.

Katie écoute sa mère et, pour certaines choses, est d’accord avec elle. Ses pleurs sont authentiques. Elle est effrayée. Mais maintenant qu’elle sait que sa mère est une pute, ça n’a plus d’importance. Elle acquiesce pour tout. Elle accepte de rester loin de Carl, mais elle n’a nullement l’intention de tenir sa promesse.

Après cette conversation entre mère et fille, Karen est partie voir Carl chez lui. Elle attend que les parents du garçon partent pour frapper à la porte. Il ouvre, elle entre et lui fait une proposition. S’il reste loin de Katie il pourra l’avoir quand il le voudra et comme il le voudra. Pour lui prouver sa résolution, elle ouvre son chemisier pour lui montrer ses seins.

En réalité Karen est excitée de lui faire cette offre. Bien sûr, elle veut garder Carl loin de Katie, mais elle est surtout venue pour se faire baiser. Carl est amusé et se montre hautain. Il n’a pas l’intention de laisser Katie, mais il décide de s’amuser un peu avec Mme O’KEEFE.

– C’est très généreux de votre part Mme O’KEEFE. Nous pourrions commencer… Je pense que j’aimerai… Voyons… De cette façon!

Carl attrape le bras de la femme et la plaque le visage contre le mur. Il lui tord le bras jusqu’à ce qu’elle grimace de douleur. Il passe une main sous la jupe et arrache sa culotte. Quelques instants plus tard, il sort sa bite bien raide de son pantalon et l’enfile dans sa chatte. Il pousse violemment.

Karen sent la grosse bite pénétrer profondément en elle. Il n’a pas besoin de la prendre ainsi, mais elle est contente qu’il l’ait fait. Elle aime être bousculée. Son bras est douloureux alors qu’il le tord encore plus haut dans son dos. Elle recule son cul pour mieux sentir sa queue et essayer de faire en sorte qu’elle s’enfonce plus profondément en elle. L’autre main du garçon pince et tire un de ses mamelons si fort que la douleur traverse sa tête. Quelques secondes plus tard elle jouit.

Carl la jette à terre, attrape ses cheveux et fourre sa bite dans sa gorge. Il baise sa bouche sans relâche. Elle peut à peine réagir. De la bave coule sur la queue, son menton et ses seins. Sa tête est inclinée dans son dos alors qu’il fourre sa queue dans sa gorge. Elle étouffe à chaque fois qu’il est au fond de sa gorge.

Carl peut bientôt sentit qu’il va éjaculer. Il se retire de sa bouche et se masturbe. La première giclée de sperme tombe sur le front et les yeux de Karen, la deuxième remplit sa bouche et couvre ses lèvres. Et avant qu’il finisse, il avait aussi souillé ses cheveux et le reste de son visage. Puis il remet sa bite au fonde de sa gorge pour ne pas perdre les dernières gouttes.

– Ne bougez pas Mme O’KEEFE! Et ne vous nettoyez pas!

Carl tend la main et prend un appareil photo numérique sur le guéridon du couloir. Il commence à prendre des photos. Karen ne sait pas pourquoi elle le laisse faire. C’est humiliant. Il pourra utiliser les photos pour la compromettre. Et pourtant…c’est excitant, exaltant bien que désagréable et dégradant.

Carl lui fait sucer sa bite avec du sperme dégoulinant encore sur son visage. Il prend une photo. Il la fait mettre à quatre pattes, le cul bien en l’air, la tête regardant en arrière et prend de nombreuses photos d’elle, de sa chatte et de son cul. Il lui demande de mettre un doigt entier dans son trou du cul et fait une photo. Il enfourne sa bite dans sa chatte puis dans son cul et il continue à faire des photos.

Enfin il pose l’appareil sur la table et il le met en mode automatique, une photo toutes les cinq secondes. Il attrape une chaise et s’assied dessus. Il fait s’assoir la professeure lentement sur sa queue tout en fixant la caméra. Il guide sa queue dans le trou du cul. Il lui ordonne de frotter son clitoris et de doigter sa chatte tout en le chevauchant. Il tend les mains et pince les erzurum escort tétons, les tordant jusqu’à ce qu’elle jappe. L’appareil photo continue d’enregistrer des images.

Karen ne peut se retenir. Elle frotte son clitoris de plus en plus vite jusqu’au moment où sa chatte gicle sous un orgasme. Quelques secondes plus tard, Carl grogne et éjacule dans le cul de sa professeure. La caméra photographie toujours tandis qu’il la relève lentement et que le sperme s’échappe de son trou du cul ouvert et tombe sur la queue et les couilles de Carl.

– Regardez les dégâts que vous avez faits Mme O’KEEFE! Nettoyez tout avec votre langue et regardez bien l’objectif pendant que vous le faites. Il la jette par terre et attire son visage sur son sexe. Karen sort sa langue et lèche sa bite pour la rendre propre. Elle n’oublie pas de regarder l’appareil photo. C’est la chose la plus dégoûtante et la plus humiliante qu’elle n’ait jamais fait. Pourtant elle aime ça. Elle est comme sa fille. Elle est son esclave sexuelle. Il peut faire tout ce qu’il veut et elle le laissera faire. Si seulement il pouvait rester loin de Katie.

– Ecoute Carl, j’ai fait tout ce que tu m’as demandé. Tu resteras loin de Katie d’accord?

– Pour ça alors, je veux t’avoir comme je veux. Et je veux te baiser devant ton mari, je veux qu’il voie à quel point tu aimes mon sexe.

Il lui dit ce qu’il compte faire. Elle n’aime pas ça, mais quel choix a-t-elle? Au moins Katie ne sera pas là quand ça arrivera. Elle doit passer la journée chez une amie. Karen est soulagée.

*****

Comme prévu, la porte arrière est ouverte quand Carl arrive. Il porte une cagoule. Il trouve le professeur O’KEEFE, le mari de Karen, dans son bureau.

– Bonjour professeur, vous ne me connaissez pas mais moi je vous connais. Ne bougez pas!

Le fusil qu’il approche de la tête de l’homme n’est pas chargé, mais le professeur ne le sait pas. Carl lui attache les mains et le bâillonne. Ensemble ; ils partent à la recherche de Mme O’KEEFE. Carl sait déjà qu’elle est dans la chambre à coucher. Il jette l’homme sur une chaise et lui attache les pieds.

– Bonjour Mme O’KEEFE, avez-vous déjà rêvé d’être baisée devant votre mari? Je parie qu’il a comme fantasme que ça se réalise. Enlevez vos vêtements!

Comme il lui avait dit la veille, elle essaie de courir. Carl attrape son bras et la jette sur le lit. Il arrache le chemisier puis le soutien-gorge. Ensuite il enlève la culotte et la jupe. Le mari se débat sur la chaise, mais il peut à peine bouger.

Karen n’arrive pas à croire les sensations qui traversent son corps. Elle devrait se sentit humiliée et en colère. Au lieu de ça, sa chatte dégouline. Elle peut sentir ses tétons nus gonfler. Elle aime ce que fait le garçon, et devant son mari ça l’excite encore plus.

– Je ne vous le dirai qu’une fois Mme O’KEEFE et vous feriez bien de comprendre. Si vous faites tout ce que je dis, je ne mettrai pas de balle dans la tête de votre mari. Une seule erreur et PAN il est mort.

Carl pose le canon du fusil sur la tempe de M. O’KEEFE et l’arme. Karen hoche de la tête affirmativement. Alors Carl la saisit par le bras et la jette sur le sol.

– Bon, tout d’abord vous allez vous mettre à genoux et sucer ma bite. J’espère pour votre mari que vous savez sucer une bite.

Karen s’agenouille et déboucle le pantalon du garçon. Elle est impatiente de voir la grosse queue et de s’en régaler, de sentir ses lèvres glisser sur le bâton de chair. Elle baisse le pantalon et admire le gourdin qui pend devant son visage. Elle en salive. Elle regarde son mari. Celui-ci hoche la tête pour l’encourager. Elle essaie de ne pas sourire.

Elle fait semblant de ne pas savoir comment faire. Elle sort sa langue et touche la bite, puis elle pose ses lèvres dessus. Elle la regarde alors qu’elle revient lentement à la vie. Finalement elle prend la queue dans sa bouche et la sent continuer à se développer. Quand le membre est bien raide, elle fait glisser ses lèvres dessus et elle fait tournoyer sa langue sur le gros gland.

– Je croyais vous avoir dit de sucer ma bite, pas de vous amuser avec Mme O’KEEFE. Votre mari ne vous a jamais rien appris alors je vais vous donner une leçon.

Carl attrape les cheveux de la femme et tire sa tête tout en tenant sa bite dans sa bouche. Elle n’a pas d’autre choix que d’ouvrir grande la gueule. Le garçon tient ses lèvres serrées contre son pubis jusqu’à ce qu’il sente qu’elle ne peut plus respirer. Il tire la tête en arrière. Karen halète et bave. Il remet sa bite au fond de la gorge en disant :

– C’est mieux comme ça, ouvre bien que je puisse baiser ta bouche.

A plusieurs reprises il claque sa queue dans et hors de sa bouche. A chaque fois il lui tient bien la tête pour coincer son membre au fond de la gorge. Karen bave partout et fait des bruits de succions. De temps en temps Carl bloque sa queue au fond de la gorge jusqu’à ce que sa professeure ait désespérément besoin d’air.

Karen est complètement excitée. Plus il lui baise la bouche violemment, plus sa chatte s’humidifie. Elle aime quand il l’étouffe avec sa bite. Elle n’en a jamais assez et elle aime que son mari soit forcé de regarder.

– Pourquoi ne montrez-vous pas à votre mari à quoi ressemble une pute avide de bites?

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De Mari à Esclave Ch. 28

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Babes

Après s’être exécuté Robert, Maitresse Jennifer lui passe autour du cou un collier d’esclave et lui demande à nouveau de la suivre dans cette tenue. Nous voici dans les sous-sols ou une porte est protégée par un digicode.

La pièce est très grande, les murs sont blanchis à la chaux et il y a tout un attirail pour S.M., une croix de Saint-André, un pilori, une cage et bien sûr beaucoup de chaînes. D’autres objets font insolites dans ce lieu, notamment un tableau noir, un vrai tableau noir avec son porte-craie. Maitresse Jennifer suspend l’esclave Robert les poignets en l’air et lui fixe une barre rigide entre les chevilles afin de maintenir ses jambes écartées.

Natacha et Lyza entre alors, elles ne se sont pas changée et porte toujours le même tailleur, mais surprise, elle n’est pas seule, deux personnages l’accompagnent : une grande femme rousse aux cheveux assez courts, elle aussi est en tailleur celui-ci est noir, très strict ; et une deuxième grande aussi jeune et jolie et il y a aussi un homme genre taciturne en veston cravate.

Ce dernier s’assied sur une chaise sur le côté très en retrait par rapport à sa position. Les deux femmes s’installent devant l’esclave Robert et quittent toutes deux leur veste de tailleurs. Maitresse Jennifer explique a Robert que Jenna et Kriss son de futur Maitresse de la Corporation des Maitresse mondiales et vienne te voir esclave Robert. Maitresse Jennifer s’éloigne Robert ne la voit plus son regard est porter vers ses deux futur Maitresse qui son grande et jolie Jenna (la rousse) en restera là et elle s’assoit tandis que Kriss retire aussi sa jupe.

La voici qui s’approche de Robert sans rien dire, se caressant les seins à travers son corsage maintenant à moitié déboutonné. Robert sens monter une certaine excitation, ce qu’elle attendait sans doute, Kriss a finit de se déboutonner ; elle conserve néanmoins son corsage ouvert, en dessous un soutien-gorge noir, et en bas une petite culotte rose. Quelle sensualité, en dandinant, elle s’approche encore plus de Robert, puis elle lui saisit chaque bout de sein entre le pouce et l’index et commence à tourner. Robert adore cette ” caresse “, elle le fait très bien, provoquant quasi instantanément une solide érection.

– Qui t’a autorisé à bander?

– Personne Maîtresse

Et vlan, voilà que il reçoit une gifle magistrale, il en espère une autre, mais non elle continue à lui faire le bout des seins de plus en plus fort, finissant par m’arracher de petits cris de douleurs (ou plutôt de douleurs mêlées au plaisir.

– On t’a autorisé à crier?

– Non Maîtresse!

Il attend la gifle, mais elle ne vient pas, lui signifiant donc implicitement que c’est elle qui commande le jeu, faisant ce qu’elle veut quand elle veut.

Elle passe alors un lacet autour des couilles à Robert et le serre fortement, puis elle continue de lui travailler les tétons, mais cette fois elle le fait du bout des ongles. Il délire de plaisir, sa queue est tendue au maximum. Une double paire de gifle complètement inattendue et complètement imméritée vient le surprendre. Robert n’en peux plus il veut encore qu’elle le gifle, il veut encore qu’elle lui torture les seins, Cette fois c’est sa queue qui est giflée, Robert aime moins mais qu’importe, c’est elle la Maîtresse, elle peut à ce moment là lui faire ce qu’elle veut. Ses ongles s’enfoncent de plus en plus dans mes seins, il n’en peut plus, il hurle de douleurs et reçois à nouveau 2 paires de gifles. Les larmes lui montent aux yeux, mais Robert est en extase.

– Bon je vais te rougir le cul!

Elle passe derrière Robert, armée d’un martinet et commence à me cingler les fesses, les premiers coups sont en fait destinés à tester sa résistance à la douleur. Quand elle croit avoir trouvé le bon coup, elle me dit :

– Tu vas compter jusqu’à vingt et chaque fois tu me diras merci Maîtresse.

– Oui maîtresse!

Le premier coup sérieux arrive, il reste très supportable

– Un merci Maîtresse!

Le second sera un peu plus fort!

– Aie! Deux! Merci Maîtresse! Elle sait doser exactement ses coups, ne pas les rendre insupportables, mais à la limite quand même! Arrivé au 19ème coup, Robert est quand même content de savoir que cela vas finir :

– 19, merci Maîtresse!

– Comment 19, c’était le 18ème!

Que faire, que dire sinon s’incliner :

Peut-être pardon Maîtresse, j’ai du me tromper!

– Tu as voulu mentir à ta Maîtresse, tu vas être puni.

– Oui Maîtresse!

Le 20ème coup tombe beaucoup plus fort!

– Pitié Maîtresse!

– Pardon j’ai mal entendu!

– 19, merci Maîtresse.

Le 20ème coup tombe, puis comme il le craignait, elle n’arrête pas, les coups sont vraiment un peu trop forts, aura-t-elle l’intelligence de s’en apercevoir?

– 23, merci Maîtresse, pitié Maîtresse je n’en peux plus

– Ta gueule petite femelle!

Un 24ème coup tombe puis un 25éme

– 25, Maîtresse merci, je vous supplie arrêter

– J’arrête quand je veux et sûrement pas quand tu me le demandes!

Mais le 26ème est moins fort! Nettement van escort moins fort, Robert ne comprends pas bien

– 26, merci Maîtresse!

A trente elle s’arrête, elle lui fait face, et retire son corsage et son soutien-gorge. Ses tétons sont très sombres et très gros, de plus en ce moment ils sont bandés de plaisir. Comme Robert aimerais les sucer mais il ne rêve pas, Robert sais que c’est probablement impossible.

– Alors, c’était bon!

– Oui Maîtresse!

– Tu en reveux encore?

– Pas tout de suite Maîtresse!

Elle saisit à nouveau ses bouts de seins et les serres avec ses ongles. Ca il aime, Robert ca lui fait mal mais en même temps sa queue se remet à bander au maximum. Tout d’un coup, elle lui saisit les couilles et se met à me les tordre. Il n’aime pas trop. Malheureusement dans les séances de Dominations, il y a des trucs qu’il faut supporter et qui ne font pas grand-chose. Puis voilà qu’elle lui pince les couilles avec ses ongles, Robert n’aime pas trop d’habitude, mais il doit avouer qu’elle fait cela très bien.

Elle se dirige maintenait vers un petit placard et revient avec une petite cassette d’où elle extrait une série de pinces. La première pince sera pour mon sein droit. Robert crie mais c’est supportable, c’est même assez bon ; la 2ème pour l’autre sein, puis elle lui en placera 4 sur chaque couille.

Elle saisit tout d’un coup les pinces qui sont sur ses tétons, fait semblant de me les enlever, puis les remet, Robert pousse un râle de jouissance et de douleur.

Kriss est apparemment très excité, et de temps en temps elle se pince ses propres tétons

– Dis donc gros vicieux, qu’est ce que tu as à regarder mes seins?

Et paf Robert reçois une nouvelle gifle, il tend l’autre joue, mais la 2ème ne vient pas!

– Et puis quoi encore, ca te ferais trop plaisir.

Elle cherche quelque chose dans sa cassette et revient cette fois avec des poids en plomb, après chaque pince elle posera un plomb. Aux seins, cela reste supportable, aux couilles ca commence à faire sérieusement mal. D’autant qu’elle va maintenant doubler, puis tripler, puis quadrupler les plombs. Mais Kriss est une dominatrice experte, elle sait qu’elle n’aura du plaisir à regarder la souffrance de ses esclaves que si celle-ci reste un tout petit peu au-dessus de ce qu’ils peuvent supporter mais pas au-delà. Elle m’enlève donc les pinces aux couilles. Bon sang le fait de les enlever fait presque aussi mal que de les mettre. Elle dit 2 mots à Jenna qui -surprise- le détache.

– A 4 pattes!

Robert s’exécute, les poids aux pinces, n’ayant maintenait plus son torse pour compenser leur action tirent violemment sur ses tétons, elle lui fait ainsi faire le tour de la pièce, le fouettant quand Robert ne vas pas assez vite.

– Tu aimes ce que je te fais esclave Robert?

– Oui Maîtresse!

– Tu ferais n’importe quoi pour ta Maîtresse? ,

Oh là! La question piège! Attention à la réponse!

– Tu réponds oui,

Et à ces mots le martinet single à nouveau mes fesses

– Oui Maîtresse!

– Allonge-toi par terre!

Robert obéis et il se couche sur le dos, les poids cessent alors de lui faire mal! Kriss saisit à nouveau le martinet et me frappe la poitrine, pas trop fort mais de façon à ce que la trajectoire du coup rencontre l’endroit où les pinces sont accrochées à mes tétons. Et bien sur l’une des pinces se décroche lui arrachant un cri de douleur à Robert. Il faudra plusieurs coups pour que l’autre se détache à son tour sous l’action du martinet.

– Qu’est ce qu’on dit,

– Merci Maîtresse!

– Tu veux souffrir encore?

– C’est vous qui décider Maîtresse!

– On va passer à autre chose!

A ces mots, Jenna replace Robert dans la même position qu’au début, puis se déshabille complètement. Elle non plus n’est pas mal du tout et Robert se dit qu’il se la ferait volontiers. Kriss est revenue quelques instants auprès de Jenna (qui a part sa veste de tailleur, n’a entamé aucun déshabillage) et lui offre une claque magistrale. Kriss revient maintenant avec un gode ceinture dans la main, elle retire son slip puis se harnache avec le gode. Jenna règle la chaîne qui retient ses poignets au plafond afin de donner du mou.

– A genoux! Esclave Robert!

Il s’exécute, bien sûr!

Kriss se plante devant Robert :

– Suce!

Robert étais sûr! Encore un machin qui ne lui fait rien, (et encore j’ai échappé jusqu’ici au léchage des pieds et des jambes). Robert préférais 1000 fois lui lécher le trou du cul, mais il se dit que cela viendra peut-être! Robert lèche donc le gode ceinture. A chaque fois que je fais mine d’arrêter, elle lui ordonne de continuer, bref cela dure des heures, et en plus ca le fait débander. Tant pis après tout cela le repose. Jusqu’ici elle avait compris ses réticences sur certaines pratiques. Là, non! En apparence! Robert présume qu’après le gode va atterrir dans son cul ce qui est quand même plus intéressant.

Enfin, elle le fait arrêter.

Kriss se tourne vers Jenna

– Tu yalova escort peux?

Robert se demande de quoi il est question, quand il voit Jenna s’accroupir sur une cuvette qu’il n’avait pas remarquée, puis pisser dedans. Du coup le revoilà devant un tel spectacle en train de rebander.

Elle met ensuite la cuvette au niveau du gode ceinture de Kriss qui le trempe dedans. Robert crois avoir compris ce qui va ce passé. Effectivement, elle s’approche à nouveau de Robert et lui demande de lécher le gode dégoulinant de pisse. Ca Robert adore, c’est avec avidité cette fois qu’il lèche l’instrument ne voulant rien perdre de ce précieux liquide.

Malheureusement, ca ne dure pas très longtemps. La suite fut simplement hallucinante. Jenna se saisit d’une louche, puis entreprit de puiser dans la cuvette, pour emplir trois coupes de champagne pour. Kriss, Jenna et Victor (le type taciturne en veston cravate) Ce dernier à d’ailleurs sorti son sexe de sa braguette et bande fort joliment. Les trois complices trinquent joyeusement, puis trempent leurs lèvres dans le pipi de Jenna. Kriss ressert un beau baiser à Jenna, puis tandis que cette dernière et Victor regagne leur place respective, Kriss habille le gode d’un préservatif. Jenna le détache pour me positionner sur une table. Robert a les poignets attachés à deux extrémités de la table, tandis que mes chevilles sont tirées en l’air par 2 chaînes. Robert es donc là couché sur le dos les jambes en l’air ; les fesses très proches du bord de la table :

Kriss s’approche, elle tient toujours son verre de pisse à la main, et sans doute pour le narguer, l’avale d’un trait! La revoici soudain toute douce :

– Si tu continue à être un bon esclave tu pourras en boire plein tout à l’heure!

– Merci Maîtresse!

– Qu’est ce qu’il va t’arriver maintenant?

– Vous aller m’enculer Maîtresse!

– Tu aimes ça te faire enculer?

Robert n’es pas du genre à se faire piéger par une question comme ça

– Je t’ai pose une question! Tu réponds à la question.

Et pour le punir voilà qu’elle lui serre les couilles. Elle lui fait réellement mal. Tant pis, Robert lui dis ce qu’elle souhaite entendre!

– Oui Maîtresse, j’aime me faire enculer!

Et le gode a déjà pénétré son cul, me provoquant un plaisir trouble, encore une fois Robert ne peux que s’extasier devant son métier et sa pratique. Elle s’enfonce de plus en plus loin et commence des mouvements de va et vient

– C’est bon esclave?

– Oui Maîtresse!

– Mais ça ne vaut pas une vraie queue?

– Je ne sais pas Maîtresse!

– Tu ne t’es jamais fait enculer par un homme?

– Non Maîtresse!

– Tu le feras pour moi?

– Je ne sais pas Maîtresse, (je me rends compte que je n’ai pas dit non)

– Si tu ne sais pas, moi je sais pour toi! Mais il faudra me le demander!

– Oui Maîtresse (Robert crois avoir trouvé une porte de sortie pour échapper à cela, je n’ai pas trop envie, mais ma défense est faible)

– Vas-y, demande le moi!

C’était donc cela!

– Je ne sais pas Maîtresse!

– Fais-moi plaisir, tu es un bon esclave Robert! Ta Maitresse Jennifer nous la confirmer tu es l’esclave des Maitresse mondiale qui on besoin de un esclave

Le ton a complètement changé, je me sens craquer.

– S’il te plaît, cela me ferait tellement plaisir de te voir prendre par une bonne queue.

Elle dit ça tout en ralentissant le mouvement de va et vient de son gode ceinture, tandis que ses doigts pétrissent à nouveau le bout de mes seins. Je résiste encore mais je sais que je ne tiendrais plus longtemps.

– Bon répète après moi ” Je veux une bonne queue dans mon cul d’esclave “

Je ne réponds pas.

– Tu sais très bien que je n’ai pas besoin de ton avis! Simplement, ca me ferait tellement plaisir que cela soit toi qui le demandes!

L’argument est fort et incontournable :

– D’accord Maîtresse! Tout ce que vous voudrez!

– Donc répète après moi ” – ” Je veux une bonne queue dans mon cul d’esclave “

– Je veux une bonne queue dans mon cul d’esclave!

Son visage est radieux! Je devine que pour elle cela constitue l’un des moments fort de la domination.

– Tu as droit à une récompense! Tu préfères me lécher un bout de sein ou alors le trou de mon cul.

J’ai une envie folle de lui lécher le trou du cul mais je pense que cela viendra de toute façon, alors que lécher le sein d’une Dominatrice est quelque chose d’exceptionnel :

– Le sein, Maîtresse!

Robert s’attendais à tout sauf que cela soit vrai, mais elle lui tend le bout de son sein gauche :

– 20 secondes pas plus!

Robert lèche avec avidité ce petit bourgeon durci, mais le temps passe trop vite, il comprend aussi que maintenant il est enchaîné à sa promesse. Tant pis, on verra bien.

Puis surprise, Kriss, le détache, lui met une laisse après mon collier de cou et le dirige vers la cage et m’enferme. Maitresse Kriss arrive prêt d’une cage et enlève une toile se que il n’avait pas remarqué Robert il y avait un autre çorlu escort esclave dans la seconde Cage, Elle me regarde Robert Kriss et dit voici James. Elle libère James, l’autre esclave.

Cela va donc être le tour de James de subir les caprices de Kriss. Sa visibilité n’est pas terrible puisque dans cette cage trop petite, on ne peut guère bouger, il n’aperçoit la scène qu’en regardant pardessus son épaule. Elle domine James, préférant pour ce qui le concerne, lui travailler les couilles, plutôt que le bout des seins. Encore, une fois elle a l’intelligence de prendre en compte les fantasmes de ses jouets sans pour cela négliger ce qui est le plus important pour elle: le spectacle qu’elle met en scène pour son propre plaisir (et celui de quelques amis, semble-t-il)

Robert était bien sûr complètement débandé, ses couilles sont douloureuses, mes fesses toutes chaudes et ses tétons très sensibles. IL aperçoit Victor dans son coin qui se masturbe et il se demande si c’est sa queue qu’il va recevoir dans le cul ou celle de James, a moins qu’un autre… Ce sera pour lui une première, mais il ne vois pas comment il aurais pu résister à Kriss et a ses minauderies. James apprécie beaucoup moins bien que lui le gode trempé d’urine, par contre il se fait enculer par le gode avec beaucoup plus de bonne volonté que lui. Globalement, Kriss passera beaucoup moins de temps avec ce dernier qu’avec lui-même.

Ce dernier est à nouveau attaché comme au début. Angélique vient chercher Robert et Kriss m’ordonne de marcher à 4 pattes, je me dirige maintenant vers James et me voilà à la hauteur de sa queue.

– Suce!

Le James bande assez mou ; mécaniquement comme dans un rêve Robert lui lèche la verge, c’est bon, c’est doux.

– Je ne t’ai pas dit de lécher, je t’ai dit de sucer.

Alors, il introduit le gland dans ma bouche, et le suce. James à l’air d’apprécier son sexe grossit dans sa bouche, j’ai honte de ce que je fais mais mon corps lui réagit bien en me faisant rebander ma pine. Mais voici que survient Victor, qui s’est maintenant complément mis à poil. Kris fait relever Robert. Victor suce à son tour la queue de James, il sucera aussi la mienne mais très peu de temps. Heureusement d’ailleurs parce que psychologiquement ça ne me fait rien du tout.

– Laquelle tu veux demande Kriss

Victor désigne la queue de James, nettement plus grosse que la mienne, et lui place un préservatif, Kriss demande alors à James d’enculer Victor. Ce dernier a l’air surpris, s’attendant plutôt au contraire, mais un coup de cravache l’oblige à obéir.

– Et interdit de jouir menace Kriss! , puis s’adressant à moi :

– Et pendant ce temps tu vas le sucer!

Robert suce donc la queue de Victor qui s’est agrippé au bord de la table tandis que James l’encule. Kriss donne des coups de martinets assez légers à ce dernier pour maintenir son érection semble-t-il.

Il s’arrête au bout de quelques minutes.

– Ben quoi qu’est ce qu’il y a?

– Je suis obligé de m’arrêter, je vais jouir.

– Alors retire-toi!

Et Kriss ponctue son ordre d’un formidable coup de cravache. James quitte le cul de Victor et éjacule dans son préservatif.

– Bravo! C’est malin retourne dans ta cage!

Je crains que Kriss m’oblige à prendre le relais, mais pour l’instant je continue à sucer Victor, sa queue est chaude et douce, je réalise que c’est la 2ème fois de ma vie (et de la matinée) que je suce une queue. Mais je trouve cela bien agréable. Kriss lui demande :

– Tu veux qu’il te reprenne?

– Non, j’ai envie de jouir, c’est moi qui vais l’enculer!

– Alors, c’était bon la queue?

– Oui maîtresse Kriss, délicieux!

– Tu n’es qu’un pédé! Dis-le

– Je ne suis qu’un pédé Maîtresse Kriss

– Et maintenant tu vas te faire enculer par la bonne queue que tu viens de sucer

– Oui Maîtresse Kriss

– Répète tout

– Et maintenant je vais me faire enculer par la bonne bite que je viens de sucer.

C’est Angélique qui une fois de plus me place sur la table comme tout à l’heure, et Victor après s’être mis un préservatif s’apprêta à me pénétrer tandis que Kriss une fois de plus joue avec le bout de mes seins. Sa queue à un peu de mal à entrer, il force un peu puis entre deux centimètres puis d’un coup de rein fait pénétrer sa bonne queue dans mon trou. C’est loin d’être désagréable d’autant que Kriss me travaille bien les seins. Ca dure plusieurs minutes, puis il jouit et se retire, laissant mon trou du cul béant de douleur trouble.

Kriss m’intime l’ordre de me mettre à genoux près du tableau noir et d’attendre. Victor, soulagé quitta la pièce, je ne le reverrais pas pendant le reste de la séance. Pendant ce temps-là, Kriss s’approche de la cage où est enfermé James ; Ils échangent quelques paroles que je n’entends pas puis, elle fait ouvrir la porte, le libère et alors lui donne congé avec un magnifique sourire. Il veut l’embrasser, elle n’y tient pas trop mais accepte quand même un petit bisou sur la joue, puis notre homme disparaît accompagnée d’Angélique.

Pendant ce temps Maitresse Kriss et Maitresse Jenna s’embrasse. Puis, Kriss tout en en continuant à embrasser partout sa copine entreprend de la déshabiller, lui laissant que son slip. Je peux alors admirer sa poitrine opulente bien ferme terminée par de belles pointes brun foncé.

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C02 – Ange dans le Var 02

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Cheater

Résumé du premier chapitre :

Charlotte et Bruno ont surpris une célèbre actrice d’hollywood, Ange Lijonalie dans une fâcheuse posture. Charlotte fait chanter la célébrité et l’oblige à la faire jouir.

Partie 2 : Le piège éclate.

Le lendemain matin, dans l’intimité de sa demeure, Ange se trouvait dans sa salle de yoga, vêtue d’une tenue moulante qui mettait en valeur les courbes gracieuses de son corps. Sa silhouette était une parfaite harmonie de lignes et de proportions. Le parfum apaisant de l’encens flottait dans l’air, créant une ambiance propice à la relaxation et à la méditation. Elle était accompagnée d’un professeur particulier, qui l’aidait à trouver l’équilibre physique et mental dont elle avait tant besoin.

Alors qu’elle s’étirait avec grâce et fluidité, les mouvements révélèrent ses jambes galbées, affichant une tonicité et une finesse qui témoignaient de son engagement envers une discipline physique régulière. Ses cuisses, fermes et sculptées, étaient un symbole de force et d’endurance, soutenant avec aisance chaque pose et chaque mouvement. Ange ne pouvait s’empêcher de revenir en pensée à l’humiliation du chantage subi la veille. Les souvenirs de la pression, de la tension et des exigences de Charlotte lui revenaient en mémoire. L’image de l’affreuse moule de la femme qu’elle avait dû faire jouir la hantait.

L’actrice se sentait soulagée que cette épreuve se soit terminée. Les poids invisibles qui avaient pesé sur ses épaules semblaient s’alléger peu à peu, laissant place à un regain de sérénité. Alors qu’elle poursuivait sa pratique du yoga, elle laissait les pensées négatives s’envoler, se concentrant sur la recherche de l’harmonie intérieure. Les contours de ses fesses étaient délicieusement arrondis, évoquant une élégance naturelle et une sensualité subtile. Le professeur de Yoga, reprenait les postures de sa cliente mais, il ne pouvait s’empêcher d’admirer son corps. Son ventre était plat et délicatement sculpté. Chaque contraction musculaire était visible, soulignant la fermeté et la vitalité de son corps. Sa poitrine, fière et généreuse, était mise en valeur par la tenue de yoga ajustée, captivant les regards avec une grâce naturelle. La taille de Ange était délicatement marquée, soulignant la courbe gracieuse de ses hanches. Les proportions harmonieuses de son corps créaient une silhouette à la fois svelte et sensuelle, capturant l’attention de tous ceux qui avaient le privilège de la contempler.

Le cours de yoga toucha à sa fin, laissant la comédienne épanouie et sereine. Elle se dirigea vers l’immense salle de bain pour se rafraîchir et prendre une douche. Sous le doux ruissellement de l’eau, sa beauté naturelle rayonnait avec une intensité renouvelée. Les gouttelettes d’eau glissaient sur sa peau, accentuant sa féminité et laissant apparaître une lueur nacrée qui sublimait son teint impeccable. Ses cheveux, mouillés et soyeux, encadraient délicatement son visage, soulignant ses traits fins et sa splendide mâchoire. L’eau caressait ses épaules délicates, descendant lentement le long de son corps, révélant la courbe délicate de son cou, de ses seins, de son ventre et de ses cuisses.

Alors qu’elle sortait de la douche, enveloppée d’une serviette douce, Ange se sentait fraîche et revitalisée. Son reflet dans le miroir reflétait une beauté à la fois saisissante et intemporelle, qui captivait même son propre regard. Se dirigeant vers la cuisine pour avaler son petit déjeuner, elle savoura l’instant de calme et de quiétude. Cependant, cet instant de paix fut brutalement interrompu lorsque son téléphone sonna, signalant l’arrivée d’un nouveau message.

Son cœur se serra tandis qu’elle ouvrait la vidéo qu’on lui avait envoyée. Les images la montraient aux côtés de Charlotte, au bord de la piscine, capturées dans leur intimité fragile. L’humiliation remonta à la surface, la faisant frissonner d’inconfort. On distinguait parfaitement son visage et ses seins flottant sur la surface de l’eau. Puis, on voyait qu’elle léchait une femme qui jouit.

Ange fixa l’écran de son téléphone, confrontée à la réalité de son impuissance face à ce chantage. Les souvenirs douloureux de la soirée précédente se mêlaient aux images qu’elle voyait maintenant, créant une tempête émotionnelle en elle. Tandis qu’elle regardait à nouveau la vidéo, une rage contenue commença à brûler en elle. Elle refusait de se laisser abattre par cette tentative de déstabilisation. Un mélange de détermination et de colère s’alluma dans ses yeux, renforçant sa résolution à trouver une issue à cette situation.

La comédienne savait que le jeu de chantage se poursuivrait. Cependant, elle se promit qu’elle ne se laisserait pas subjuguer par les manipulations de Charlotte et Bruno. Elle trouverait un moyen de reprendre le contrôle de sa vie, de protéger son intégrité et de défendre sa réputation.

” Ce soir, tu viens chez nous. Tu porteras une brassière blanche sans soutien-gorge et un short très court!

Ton amie, Charlotte”

Le urfa escort SMS arriva peu après et plongea Ange Lijonali dans une profonde angoisse.

***

**

*

La star hollywoodienne gara une de ses Mercedes élégante près de l’immeuble miteux où résidaient Charlotte et Bruno. L’endroit semblait figé dans le temps, ses murs défraîchis et son allure décrépite témoignant de la négligence qui régnait autour. Elle ajusta ses grandes lunettes de soleil, choisissant de se dissimuler derrière leur écran sombre pour éviter toute reconnaissance indésirable. D’un pas déterminé, elle s’engagea dans l’entrée de l’immeuble, laissant derrière elle le luxe et le glamour. Elle fut soulagée de ne croiser personne. Avec son short qui serrait ses fesses rondes et sa brassière suffisamment courte pour dévoiler son nombril et mouler sa poitrine opulente dont les tétons transperçait le tissu blanc, elle craignait l’attroupement.

L’intérieur de l’immeuble était sombre et oppressant, les couloirs étroits dégageant une odeur de négligence et d’abandon. Des traces de moisissure marquaient les murs lézardés, et l’éclairage terne accentuait la décrépitude de l’endroit. Pourtant, Ange restait déterminée, prête à descendre dans l’antre de ceux qui avaient tenté de la manipuler. Elle monta les marches vétustes, chaque craquement résonnant dans le silence pesant de l’immeuble. Enfin, elle atteint la porte de l’appartement de Charlotte et Bruno. Un mélange d’anticipation et d’appréhension étreignit son cœur, mais elle ne fléchit pas. Elle était prête à affronter ceux qui jouaient avec sa vie et sa réputation.

– Bonjour Ange, s’exclama Charlotte en ouvrant la porte d’entrée. Comme c’est gentil d’être venu nous rendre visite. Entre.

La grande brune pénétra dans l’antre de ses bourreaux et ôta ses larges lunettes. Bruno s’étrangla lorsque l’actrice entra dans la salle. Dans leur petit appartement, la taille de la comédienne n’était que plus impressionnante. Les mains sur les hanches, Ange balança sa longue chevelure en arrière et fixa Charlotte qui s’installait dans son vieux canapé.

– Vous devez me rendre les vidéos après ce rendez-vous. Vous aviez promis qu’il n’y aurait qu’une fois.

– Oui, c’est vrai que la vidéo du cycliste était vraiment embarrassante pour toi, dit calmement la vilaine jeune femme. Et… maintenant, il y a une deuxième vidéo de toi nue, dans ta propre piscine en train de lécher une femme. C’est ennuyeux pour toi… n’est-ce pas?

Ange Lijonali ne répondit pas. Un nœud d’angoisse tentait de bloquer sa gorge et le regard libidineux de Bruno sur son corps l’écœurait. Il portait un jogging déformé mais on distinguait nettement la bosse au niveau de l’entre-jambe.

– En fait c’est très simple. Tu m’obéis et les vidéos seront effacées. Tu n’obéis pas, on les diffuse. Une femme aussi intelligente que toi peut comprendre cela?

Ange resta immobile entre Charlotte qui contrôlait tout de son canapé et Bruno qui demeurait debout à l’autre bout. Elle baissa la tête.

– Bien, je vois que tu comprends la situation. Hier, tu m’as fait jouir. Aujourd’hui, tu t’occupes de mon mari. Il fantasme sur toi depuis longtemps.

Ange croisa le regard de l’homme qui souriait benoîtement. Elle imaginait bien que le pauvre n’avait connu que sa femme, une créature aussi malsaine que laide. Une forme de compassion traversa la comédienne mais elle se reprit rapidement.

– Reste habillée comme ça, c’est marrant. Va embrasser mon mari.

Ange Lijonali, outrée par cette demande, observa Charlotte avec méfiance. Cependant, elle avait conscience de l’importance de garder les apparences. Elle acquiesça poliment et s’approcha de Bruno. Alors qu’Ange Lijonali commençait à passer ses doigts agiles dans les cheveux de l’homme, Charlotte observait avec une tension grandissante. La jeune française nourrissait une animosité farouche envers toutes les belles femmes. Elle en tenait une sous son pouvoir. Profitant de la proximité entre Ange et Bruno, Charlotte annonça de l’actrice :

– Je sais ce que tu caches, Ange. Si tu ne veux pas que le monde découvre ton secret le plus sombre, tu devrais nous obéir.

Les paroles de Charlotte glissèrent avec insistance dans l’oreille de Ange, qui se raidit imperceptiblement. Elle ressentit un mélange de confusion, de colère et de peur. L’américaine ne pouvait nier la puissance du chantage qui planait désormais au-dessus d’elle. Elle se sentait piégée, obligée de jouer le jeu de Charlotte, tout en cherchant désespérément une issue à cette situation. Alors que les mains de Ange se déplaçaient sur la tête de Bruno, elle s’approcha de sa bouche. Elle offrit un vrai baiser. Un baiser que l’on ne voit qu’au cinéma. L’homme faillit éjaculer dans son pantalon.

– Je peux toucher votre poitrine? demanda-t-il bêtement.

– Putain Bruno, cria sa femme. Tu fais ce que tu veux. Elle est à nous, cette salope!

Dans l’ombre de cet appartement miteux, des liens invisibles se tissaient, sivas escort emprisonnant Charlotte, Bruno et Ange dans un jeu pervers de pouvoir, de manipulation et de conséquences imprévisibles. La comédienne trouva l’homme attendrissant dans sa naïveté. Elle lui prit sa main et la posa sur son sein à travers la brassière blanche. Bruno, timide et maladroit, était submergé par la panique en sentant la fermeté du gros sein. Prudemment, il enleva la brassière. La respiration haletante de Ange gonflait sa poitrine. Quand l’homme vit les deux énormes obus de son idole, il faillit éjaculer dans son jogging. Il leva les yeux sur le visage de la comédienne dont des larmes de honte ourlaient à ses paupières. Esquissant un drôle de sourire pour la réconforter, Bruno lui caressa gentiment la joue.

– Putain. Tu la pelotes ou non? Cria Charlotte derrière qui s’était déshabillée.

Avachie dans le canapé défoncé, le tas de graisse se masturbait en se nourrissant de l’humiliation de sa victime. Le magnifique cul devant elle, tout rond, haut perché et ferme ne faisait qu’exciter sa soif de perversité. Bruno caressa les deux obus avec douceur. Il se pencha pour sucer les tétons qui finirent par durcir.

– Hier tu m’as léchée. Aujourd’hui tu t’occupes de la queue de mon chéri.

Encore la nausée dans la gorge de Ange Lijonali. Ses grands yeux bleus demandaient pitié à l’homme devant elle. Sans vraiment de malice ni de méchanceté, Bruno baissa son jogging. Une belle érection toute veineuse attendait son tribu.

La gorge de la comédienne se serra mais ses genoux plièrent. Elle regarda à nouveau l’homme à la recherche d’un élan de clémence mais seule l’excitation s’exprimait. Pouvait-elle lui en vouloir? Ange Lijonali saisit la verge droite et la branla doucement. Elle accéléra en pressant adroitement le gland. Espérant faire jouir Bruno rapidement et s’exonérer d’une fellation, la grande brune s’appliquait.

– Arrête et suce-le, salope, cria Charlotte qui s’enfonçait trois doigts dans sa chatte poilue.

Sa grande bouche ouverte, la comédienne accueillit la tige et referma ses lèvres sur la chair dure. Bruno se tendit. En plusieurs jets puissants, le sperme macula la bouche de Ange Lijonali. Le goût n’était pas désagréable même un peu sucré, constata la comédienne qui se reprit sur le champ. Ses grands cils se levèrent sur l’homme au-dessus d’elle. Tout penaud, il manqua de s’excuser.

– Tu vas te reposer mon chéri. En attendant, viens dans la chambre, salope. Je m’occupe de toi.

Ange frissonna mais accompagna la silhouette informe qui passa dans la chambre. Les draps n’étaient même pas pliés. D’autorité, Charlotte déboutonna le mini short de l’actrice et ôta la culotte noire. La française fit allonger la déesse nue et l’observa un moment.

– C’est dingue d’être bien foutue comme ça… Tu fais comment?

Ange frissonna quand la femme s’assit sur le bord du lit pour palper ses seins d’une main négligente. Allongée la beauté, la laideur assise : un contraste saisissant pour Bruno qui se tenait dans l’embrasure de la porte, la queue pendante.

– Et en plus, ce sont des vrais, grogna Charlotte en malaxant les seins.

Pinçant un téton entre son pouce et son index, elle fit réagir la comédienne qui savait maintenant qu’elle serait violée. Dans sa tête, la peur et l’angoisse embrumaient la recherche d’une porte de sortie. Charlotte sombrait peu à peu dans une démence. Elle se branlait doucement et caressait le ventre plat et doux de la brune. Puis elle saisit la main parfaitement manucurée pour l’obliger à la doigter.

– C’est bien salope. Tu vas me branler pendant que je te branle. Ce n’est pas tous les jours qu’on a Ange Lijonali dans son lit.

L’actrice enfonçait peureusement ses doigts dans le vagin trempée de la française. C’était la deuxième fois de sa vie qu’elle avait des rapports avec une femme. Elle ferma les yeux quand Charlotte pénétra deux doigts dans son sexe glabre. C’était sans douceur. Un viol. Sec. Brutal.

– Bruno. Viens-là de l’autre côté pour qu’elle te branle aussi. Tu pourras lécher ses seins et s’occuper de sa chatte.

L’homme obéit. Il s’assit sur l’autre bord du lit et se pencha pour lécher les tétons. C’était doux. Il savait s’y prendre, se dit Ange qui prenait la verge encore molle. Les mains de la femme et de l’homme parcouraient son corps et insitaient sur son sexe.

Charlotte se leva et sortit de la pièce. Alors que Bruno avait reprit des forces, il s’allongea sur la déesse qui le prit dans ses bras avec une sorte de tendresse étonnante. Le pauvre homme en fut touché. Il se réfugia dans les deux obus tandis que la main fine de Ange Lijonali dirigeait la queue vers sa vulve.

– Vous pouvez… si vous voulez, chuchota-t-elle.

La verge s’enfonça doucement mais, malgré ce viol, la commédienne se sentit remplie d’un curieux sentiment de satisfaction. Était-ce qu’elle choisissait ce viol ou alors que ce jeune garçon était attendrissant? tekirdağ escort Bruno se redressa et accéléra en regardant Ange dans les yeux. Elle comprit qu’il voulait l’embrasser mais qu’il n’osait pas. Alors, elle planta ses ongles dans les fesses de son amant et se redressa pour l’embrasser sauvagement comme une actrice de cinéma.

– Putain! Ça va tous les deux! cria Charlotte à l’entrée de la chambre.

Bruno et Ange se penchèrent pour la regarder. Toujours nue, toujours laide avec ses gants de toilette en guise de poitrine, son cul énorme, ses bourrelets en cascade, Charlotte s’était équipée d’une ceinture gode. La grande brune trembla de dégoût.

– Tire-toi de là, Bruno. Elle est à moi cette salope.

Le pauvre homme dégagea du sexe si accueillant pour laisser la place à sa femme qui escalada le lit.

– S’il vous-plaît, se plaint Ange Lijonali. Pas ça! J’ai fait tout ce que vous vouliez.

– Ben en fait. Tu es à moi. Et c’est moi qui vais te baiser. Après tu me feras jouir et on en aura terminé, pouffa la grosse qui se mouvait comme un hippopotame avec sa queue en plastique.

La comédienne ferma les yeux quand sa tortionnaire la pénétra sans douceur. Elle l’entendit s’acharner à l’humilier, à la forcer à ouvrir les yeux. Ange constata la folie dans le regard de la laide qui prenait un plaisir pervers à l’avilir en la baisant comme un homme. Soudain Charlotte se leva et se débarassa de la ceinture gode pour planter sa chatte sur la bouche pulpeuse de l’actrice. A califourchon sur le magnifique visage de Ange Lijonali, la jeune femme baisait la bouche sans pudeur ni douceur. Se servant du plus beau visage d’Hollywood pour branler sa chatte, elle rabaissait l’américaine.

– Tire la langue, salope! Tire la langue. Je vais jouir.

Bruno regardait penaud la scène digne d’un film pornographique. Il était malheureux de voir son idole aussi dénigrée. Il avait aimé sa tendresse. Il n’en revenait pas qu’Ange Lijonali l’avait embrassée et permit de la prendre. Le cœur gros, le pauvre naïf regarda son épouse jouir en se frottant sur le visage de l’actrice.

Tout le monde se leva. Tandis, qu’Ange s’habillait avec sa brassière blanche et le mini short, Charlotte s’éleva sur la pointe des pieds pour atteindre le téléphone qui était installé sur une étagère, juste en face du lit.

– Tu vois! On a encore tout filmé…

Et quand Charlotte poussa la grande comédienne dans le couloir de l’immeuble, elle lui lança qu’ils se reverront.

***

**

*

Dans les méandres obscurs du chantage, Ange sombrait peu à peu dans une déchéance insidieuse. Telle une reine déchue, elle se trouvait enchaînée par les manipulations cruelles de Charlotte, piégée dans un jeu pervers où chaque rencontre la rabaissait davantage. Les exigences répétées et oppressantes de l’impitoyable maîtresse du chantage la conduisaient à de nouvelles bassesses.

Une fois de plus, Charlotte fixa un rendez-vous, un rendez-vous où l’argent devait être versé, mais où la véritable douleur résidait dans l’humiliation sans cesse renouvelée. Telle une marionnette aux mains de son bourreau, Ange se préparait à franchir une nouvelle étape de sa chute inexorable, dans l’ombre d’une vie autrefois glorieuse, mais désormais ternie par le venin du chantage.

Malgré les pauvres remarques de Bruno, Charlotte devenait folle. Elle claqua 36.000€ dans une Mercédes Classe CLA. Et, c’est dans cette voiture que le couple roula vers la propriété de l’actrice trois jours plus tard.

Charlotte et Bruno pénètrent dans la propriété de Ange qui avait volontairement congédié tous ses domestiques. Leur présence était en décalage flagrant avec l’opulence et la grandeur de cet endroit autrefois animé par une vie de luxe. Leurs vêtements mal assortis et négligés trahissaient leur statut précaire, contrastant avec l’élégance qui avait autrefois régné en ces lieux.

Le regard de Charlotte, empreint d’une froideur machiavélique, se baladait sur les splendeurs autrefois présentes dans la propriété. Elle savourait cette victoire, cette opportunité de pénétrer l’intimité de Ange Lijonali, de la priver de ses privilèges et de la plonger dans l’humiliation la plus profonde. Son sourire sournois et ses yeux brillants trahissaient un plaisir malsain dans l’exercice du pouvoir qu’elle avait acquis. Quant à Bruno, son visage exprimait un désarroi palpable, un regret silencieux qui se lisait dans ses yeux. Il n’avait jamais voulu que les choses en arrivent là, mais il était pris au piège de la spirale infernale orchestrée par son épouse. Ses gestes maladroits et son regard perdu témoignaient de son impuissance face aux événements qui se déroulaient.

La robe glissait avec grâce le long du corps magnifique de Ange Lijonali, soulignant chaque courbe avec une élégance sans égale. Sa silhouette était une œuvre d’art vivante, une symphonie de grâce et de perfection. Les tissus somptueux s’enroulaient autour d’elle, épousant chaque contour avec une précision immaculée. Les épaules dénudées dévoilaient une peau d’une douceur envoûtante, tandis que le décolleté plongeant mettait en valeur une poitrine généreuse qui captivait tous les regards. La taille fine, délicatement soulignée, créait une harmonie entre les hanches gracieuses et les jambes fuselées.

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Alice 03

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Babes

Le lundi soir, Ange dépose Alice devant la maison du couple. Alice rentre à la maison ? radieuse.

– Quelles merveilleuses vacances ! Dit-elle à son mari.

– Vas-y raconte, je veux tout savoir ?

– Je me suis comportée comme sa femme à lui, tu ne peux pas imaginer, c’était terriblement excitant !

– Viens laissons mes bagages et allons dans la chambre  ?

Jean la suit.

Elle s’allonge sur le lit, nue. Il la lèche de partout, ses seins, sa chatte et son cul, longtemps. Ses doigts pénètrent les orifices de sa femme et il constate, qu’il sont encore entrouverts. Elle l’attire sur elle et il entre sa bite dans son puits d’amour.

Jean découvre combien sa femme est ouverte et disponible.

– Jean, je ne sens plus ta petite bite ? C’est fou !

– Pour moi, c’est toujours aussi bon, tu sais. Je me sens encore plus cocu, par le fait de constater que tu es si large, si ouverte par lui. Je me dis qu’il a formé ton vagin à sa queue et c’est follement excitant ?

– Tu as raison, moi aussi, j’ai l’impression de lui appartenir en constatant, que tu ne me fais plus aucun effet sexuellement, sa queue me manque et ça m’excite de te savoir cocu à ce point.

– Et ton cul ? 

– Il m’a sodomisée, je crois, presque autant qu’il m’a fait l’amour. A présent, il me sodomise avec beaucoup plus de facilité.

Jean fait pénétrer un doigt dans son cul et constate effectivement son ouverture et sa souplesse.

– Ah ! oui, tu es bien ouverte.

Jean la baise avec passion et amour, excitation et tendresse, rage et désespoir.

– Tu aimes que je sois une salope, une pute en quelque sorte ?

– Oh ! Oui, j’aime !

– Tu aimes que je me donne à Ange ?

– Oh ! oui, mon amour.

– Tu aimes que je lui appartienne, que je sois sa femme autant que la tienne?

– Puis, bien sûr, chérie.

– Tu dois accepter que j’appartiens dorénavant à Ange, plus à toi.

– C’est vrai, mais c’est dur.

– Tu le savais quand tu as accepté son deal et ça ne fait que commencer, alors contrôle-toi.

– Je suis dans un état d’excitation en pensant à ce qu’il a pu te faire.

– Oh Oui ! Tu ne peux même pas imaginer. Il est infatigable, il me fait l’amour en continu. Je dis bien, l’amour. Il me fait voir les étoiles, lui. Il me prend au moins quatre fois par jour, de tous les côtés. Je suis son vide couilles. Il veut que je sois toujours nue.

– Il m’a d’abord appris à rester accessible. Je dois perdre l’habitude de porter toute culotte ou string. Mon sexe doit pouvoir lui appartenir rapidement, sans obstacle en toutes circonstances. Mes seins aussi, d’ailleurs, doivent être toujours libres. Voir mes deux globes magnifiques fièrement dressés, le laisse à chaque fois très ému. Je dois ensuite apprendre à mener normalement mes activités ainsi parées.

– Ce qui me trouble le plus, ce sont les frottements continus du tissu de ses vêtements sur mes tétons dégagés. J’ai rapidement appris à vivre avec ses érections permanentes, plus ou moins visibles pour mes interlocuteurs, selon les tenues que je porte. Et là encore, Ange a des tissus de prédilection parmi lesquels, le lin. Aussi, les tissus rêches par excellence, trabzon escort ou encore, à l’opposé, les tissus pratiquement transparents, qui laisse deviner facilement ma poitrine opulente qui s’offre dessous.

– Il m’a également apprise à m’asseoir! J’ai beaucoup ri lorsqu’il m’a déclaré, que je dois apprendre à m’asseoir. Et j’ai découvert avec beaucoup de surprise, ce qu’il entend par-là. Il m’est interdit, en toute circonstance, d’être assise autrement que sur mes fesses nues. Qu’elles que soient les circonstances, en société ou en privé, je dois impérativement relever ma jupe ou ma robe pour que mon postérieur soit en contact direct avec le siège.

– Il fallut que je m’asseyes dans le vieux fauteuil de cuir de sa maison de campagne, pour comprendre enfin toute la sensualité potentielle d’une telle attitude. Ce jour-là, le contact du cuir chaud sur ma peau nue m’a mise dans un état indescriptible. Tandis qu’il m’observait comme un chat guette la souris qui s’apprête à la dévorer!

– Je suis toujours à poil, même quand il reçoit, tu te rends compte.

– Hein ? Comment quand il reçoit ?

– Oui, il reçoit des amis et je dois être nue devant eux. Tiens justement, hier, son voisin est venu, il a été très surpris, il m’a bien regardé, puis il a souri ?

– Oh là là ?

– Et encore, ce n’est pas tout. Hier, il a pris des photos de moi, nue et il les a mises sur Internet dans un site de voyeur. Je ne sais plus l’adresse, mais je vais lui demander et je te la donnerais. Ah ! oui. Je suis aussi sur Internet.

– Puis, dit donc, tu as aussi rasé ton minou ?

– Attend, il faut que je te raconte ça.

Le lendemain de notre arrivée, Ange m’annonce que j’ai rendez-vous avec une esthéticienne le matin même. J’y suis conduite par Ange. Le salon semble bien propre et très professionnel.

Ange va voir l’une des femmes et lui dit quelque chose. Elle me regarde et sourit à Ange. Elle vient me chercher et m’invite à entrer dans une salle à l’arrière du salon. Là, elle me demande de retirer ma robe.

Assez timide, je retire ma robe, découvrant ma nudité imposée, aux yeux de cette inconnue.

– Jolie lingerie, allez, hop, sur la table ! Me dit-elle, l’air rieur.

– Vous allez faire quoi?

– Tu es là pour tes jambes, tes aisselles et ton sexe.

– Tu vas tout raser?

– Tu n’as pas à me tutoyer!

Abasourdie, je me suis installée sur la table. La femme commence à faire ce qu’elle doit. Elle retire une bonne partie de ma pilosité. Ensuite, elle me passe de la crème, en profitant au passage pour me caresser.

Quelques longues minutes plus tard, elle m’annonce avoir fini. Je veux me relever, mais elle me l’interdit. Elle me dit qu’Ange lui a demandée de me nettoyer et ensuite, de me faire un examen sensoriel profond.

La jeune femme me demande alors de m’allonger de nouveau sur la table, après elle vient s’installer sur un tabouret entre mes cuisses ouvertes. Elle enfile une paire de gant en latex. Elle crache sur ses doigts et elle commence à les faire glisser le long de mon sexe.

La nouvelle sensibilité de mon sexe me trouble et celui-ci s’humidifie. Je tunceli escort sens ensuite un de ses doigts investir mon sexe. Après un second ? Et aussi un troisième qui force un peu l’entrée. Elle commence à faire aller et venir ses doigts dans mon sexe. Par la suite, je sens une pression contre mon anus.

La jeune femme fait des cercles sur mon anus jusqu’à le détendre, ensuite, elle entre un doigt en moi. Les pénétrations digitales combinées de mon sexe et de mon anus commencent à me faire ressentir un vrai plaisir.

Quelques minutes plus tard, lorsqu’elle rentre chacune de ses mains dans mes deux puits d’amour en même temps, je ne peux retenir un orgasme qui me submerge. A mon retour sur notre planète, j’aperçois qu’Ange est là.

La jeune femme me donne ma robe, et par la suite, elle me met dans les bras d’Ange qui m’amène à la voiture.

– EH ! Bien ma chérie, tu es très belle comme ça sans poils.

Il faut que je te dise aussi. Dimanche en fin d’après midi, lorsque nous rentrons Ange et moi de la plage.

Nue sous ma robe, je suis Ange dans le salon dans lequel, je découvre avec stupeur une femme.

– Salut!

– Salut Maria. Je ramène une friandise. Le bénéfice d’un deal avec un mauvais banquier.

– Ah ! Elle est là pour s’occuper de toi? Et de nous?

– Elle fait ce que j’ai envie. Et là, j’ai envie d’une petite pipe.

– Allez, au travail. Euh ? Machine ? Dit la femme Maria.

– Alice. Elle s’appelle Alice.

Ange s’installe sur le canapé et sort son sexe. Je m’approche de lui et je m’agenouille. J’ouvre la bouche et enfourne son sexe encore peu dur. Les mouvements de mes lèvres sur sa verge et de ma langue autour de son gland semblent lui plaire, car son membre devient de plus en plus rigide.

Autour de nous, j’entends la femme discuter avec Ange de sa journée comme si de rien n’était. Je tente de le faire vite venir Ange, mais il m’arrête voulant visiblement profiter de ma soumission. Au bout d’un moment, il appuie sur l’arrière de ma tête pour enfoncer sa verge au plus profond de ma bouche.

Je le sens alors, parcouru de spasmes et il se vide dans ma bouche. J’avale son sperme avec délectation, heureuse du devoir accompli, ensuite, je lui nettoie le sexe avant de le ranger dans son pantalon.

Maria s’adresse à moi.

– Alors, tu es Alice?

– Il vous a parlé de moi?

– Évidement! Il ne parle que de toi et de ta beauté. Je dois dire qu’il avait raison.

Elle se colle à moi et passe un bras autour de mes épaules. C’est une femme de mon âge.

Elle porte une robe noire très transparente. Je peux distinguer un string et un porte-jarretelle.

Ses longues jambes gainées de bas de soie à coutures avec une paire d’escarpin vernis, finissent de l’habiller.

– Tu es vraiment charmante. Tu me plais beaucoup, Alice.

Elle se rapproche de plus en plus. Je suis certaine qu’elle va essayer de m’embrasser. Je ne suis pas très à l’aise. Je n’ai jamais touché une femme. Je suis perdue, mais je me sens contrainte de céder.

Elle me retourne, prends mon visage dans ses mains et elle m’embrasse à pleine bouche, fougueusement. Elle uşak escort m’enlace et commence à me caresser.

Sa main glisse rapidement sous ma robe et ses longs doigts prennent rapidement d’assaut mon sexe humide.

Alors, j’ose moi aussi la caresser. Je glisse la fermeture-éclair de sa robe dans son dos et la fais glisser sur ses épaules. Je découvre ses seins magnifiques. Ses pointes sont déjà dressées, semblant attendre mes caresses.

Elle délaisse un instant mon minou, pour aussi, me débarrasser de ma robe. Je me retrouve nue la première. Nos seins entrent en contact et je jouis une première fois.

– HUMMM! Tu parais sensible! J’aime ça ?

Bizarrement, je n’en suis pas gênée, mais très excitée.

J’aide Maria à enlever sa robe à son tour, sans lâcher ses lèvres.

Doucement, elle m’allonge sur le canapé et se couche sur moi. Elle est d’une douceur extrême et d’une tendresse immense. Ses doigts courent dans ma chevelure, s’égarent sur mon visage, visitent ma bouche et réclament ma langue.

Mes mains caressent son dos, ses fesses d’une extrême fermeté.

Je me sens bien.

Sa toison fournie caresse mon coquillage lisse et me provoque une multitude de mini jouissances. Les yeux fermés, je me concentre surtout ce que je ressens. C’est le bonheur total.

Puis sa bouche quitte la mienne et commence un long périple qui commence par une glissade dans mon cou. Ensuite, elle s’attarde un long moment sur mes seins et plus particulièrement sur mes tétons, qu’elle fait rouler entre ses lèvres, avant de les aspirer et les titiller de sa langue.

La longue descente continue, jusqu’à mon ventre. Celui-ci se rétracte à chacun de ses baisers, me provoquant de longs frissons.

Puis enfin, après avoir franchi le mont de venus, sa bouche plonge entre mes cuisses.

C’est une explosion instantanée, un feu d’artifice, une expérience incomparable. Le contact de sa langue sur mon clito gonflé, me fait perdre tous mes moyens.

Je jouis si fort, que je me relâche totalement, expulsant un jet puissant sur son visage.

Je suis prise de honte et je dois être rouge coquelicot.

Mais elle ne semble pas gênée du tout et continue à fouiller ma chatte détrempée, de sa langue agile et experte.

Lorsqu’elle revient titiller mon bouton rose et que je l’inonde de nouveau, j’ouvre les yeux, pour m’excuser.

Maria est aux anges. Elle exulte tout en me dévorant

– HUUMM! OH ! OUIII! Donne-moi tout! Donne-moi ton jus! MMMMM! Tu es fantastique! MMMM! ENCOREEE!

J’ignore encore ce qui m’arrive, c’est la première fois. Il me semble bien avoir lu un article sur les femmes fontaine, mais j’étais loin d’imaginer, que je pouvais en être une. Ça me fait vraiment bizarre.

Je viens de perdre pied. Je suis sur un navire qui tangue, prêt à se retourner.

Entre deux fortes jouissances très arrosées, un bref instant, j’aperçois Ange, avec un verre à la main. Il me regarde.

Ce simple regard me fait jouir de nouveau. Ensuite, Maria s’écarte et m’embrasse comme une amoureuse, nos langues se mélangent ainsi que nos salives.

Je passe le reste de la soirée à les servir, lui et la femme, qui n’est que son épouse officielle. Je suis leur bonniche, subissant les moqueries, allusions grivoises et mains baladeuses de Maria et d’Ange.

– Eh bien ? Je ne savais pas qu’il était marié.

– Euh? Oui, mais ils ne vivent pas ensemble, je crois, du moins, je ne l’ai jamais vu chez lui.

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Dérapages. 08

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Ebony

L’histoire que vous allez lire, à pour sujet principal la domination et le sexe non consenti. Certains passage risque d’être choquant ou trop violent pour certains. Si vous n’aimez pas ce genre de texte, ne lisez pas. Sinon ce serais aussi stupide que d’aller au restaurant, commander un gratin d’aubergine, alors que vous détestez l’aubergine, pour dire ensuite que le cuisinier est mauvais et le plat dégueulasse. Pour tout les autres, bonne lecture, et merci à vous de me lire.

Léo : C’est moi, j’ai quarante-cinq ans. Je suis un ancien soldat des forces spéciales. A l’occasion d’une dispute, j’ai violé ma belle-fille. Pour éviter qu’elle ne porte plainte, j’ai décidé de la briser pour en faire mon esclave sexuelle.

Manon : Dix-huit ans. Ma belle-fille. Blonde aux yeux verts. Elle a un corps de rêve, un visage magnifique. C’est ma victime. Elle était totalement vierge quand je l’ai forcée.

Carla : Trente-neuf ans. Aussi blonde que sa fille. Aussi belle, avec un corps plus pulpeux. C’est donc la mère de Manon. Actuellement elle est partie pour trois mois à Londres, pour superviser le tournage du film qu’elle produit avec ses fonds propre. Je l’aime, mais suis assez frustré au niveau cul avec elle. Ma compagne étant frigide, nous ne faisons vraiment pas souvent l’amour.

Jessica : Jess à vingt ans. C’est ma fille. C’est une magnifique brune. Actuellement elle est en stage pour trois mois dans une zone blanche.

Paul : Quarante-cinq ans comme moi. On se connaît depuis le CP. C’est mon meilleur ami. Il est truand, mais très porté sur le sexe.

Anne : Dix-neuf ans. Rousse pulpeuse, petit amie de ma fille. Un vrai canon, avec tout ce qu’il faut où il faut. Une bombe capable de faire bander un mort.

Hervé : Trente ans, l’adjoint de Carla. Elle lui fait la vie dur au travail. Pour lui comme pour tout ses employés.

Inès : Vingt-sept ans. Jeune avocate qui travaille pour Radiu. Aussi bien dans le droit que dans la prostitution. C’est une belle brune, très bien foutue, malgré ses petits seins.

Nina : Trente-sept ans. Rousse et maman de Anne. Elle a un corps pulpeux magnifique.

La douleur. Aux premiers rayons du soleil, seule la douleur jaillit. Une vraie douleur, lancinante, aiguë, râpeuse, tenace, impossible à dissocier de son corps. Une douleur honteuse, affreusement infusée au plus profond de son corps.

Elle s’appelle Jessica, Jess pour sa famille et ses amis, elle a vingt ans et la nuit dernière la jeune femme a été violée par son père. Par moi.

Hier soir, submergée par la détresse, elle s’est évanouie plus qu’elle ne s’est endormie, une fois que je sois ressorti. Moi totalement détendu, repu de jouissance, ma soif de perversité étanchée, mon corps immense s’étant rassasié dans celui de Jess. Elle, complètement distendue, cassée de douleur, déchiquetée par mon membre, son corps minuscule comparé au mien, ayant été fourré à en exploser par cette “chose” titanesque. Hier Jess était encore totalement vierge, comme une petite fille innocente qui ne savait encore rien. Aujourd’hui elle est plus ouverte que la dernière des catins. Même son corps ne s’attendait pas à ça, il ne s’attendait pas du tout à ça en fait, il ne s’attendait pas à se faire pénétrer de cette façon, à se faire mal, à se faire transpercer, son corps, son trou, mon cul, son vagin, sa bouche, tout. Réduite à une masse de chair misérable, démantibulée, convulsant de souffrance, Jess en a bavé atrocement avant qu’un fusible ne saute dans son cerveau et ne lui octroie providentiellement quelques heures de répit.

Sa conscience émerge, Son cerveau nageant dans la douleur. Sa tête est lourde, Jess est prise de vertiges. Ses yeux s’habituent petit à petit à la lumière du jour, s’ouvrent petit à petit, son regard se pose distraitement sur son lit et d’un coup, la pauvre jeune fille a un sursaut de dégoût. Le champ de bataille sur lequel a eu lieu, ces dizaines d’accouplement contre-nature, est d’une horreur sans nom. Ses draps sont à moitié défaits, laissant son alèse à l’air libre, tandis que ce qu’il reste de sa couette est maculé de rouge bruni, de flaques marron séchées, de mes poils de bête collés à ses draps. Pire, quelques-uns des cheveux de Jess les accompagnent, dans une danse macabre, prisonniers de ses fluides séchés durant la nuit. Attestant sans contestation possible de notre union frelatée. Une mixture infâme a coulé sur le côté en s’échappant de ses viscères, de son vagin, Jess est catastrophée par le volume de fluides grumeleux qui ont fui de son corps, accidentellement, échappant à tout contrôle. Pour ajouter à sa honte, à son horreur, à sa douleur, la puanteur qui se dégage de cette masse encore humide est abjecte, insultante, humiliante.

Mécaniquement, Jess se relève, hagarde, cherchant un point d’appui pour se lever, quand un gargouillis infâme agite ses intestins. La jeune fille a à peine le temps de poser les mains sur son bas-ventre que, sans sommation, une diarrhée démente s’échappe bruyamment de son corps. Dans une explosion sonore, simultanément accompagnée d’un coup de poing donné de l’intérieur, la fusillant sur place de douleur, une ultime trahison de ses viscères rize escort à froid après ce qu’ils ont subi la veille. Ses jambes vacillent, s’effondrent, ses fesses se laissent tomber sur la couette, baignant dans une flaque rouge rubis qui s’étend à toute vitesse. Pendant que son corps en apnée tente d’absorber la douleur qui l’ébranle. Jess transpire, Jess frissonne, elle a mal à la tête, des nausées, ma fille est à deux doigts de s’évanouir de nouveau…

Le pire, après la douleur, c’est la honte. Jess a terriblement honte. Elle a toujours été maladivement propre, elle a toujours nettoyé au moins deux fois, ce qui était sale, toujours aidé à faire le ménage… et là, devant ses yeux, la saleté ultime, l’effroyable souillure, la pestilence fétide s’étalent dans toute leur splendeur sur ses draps qui ont été témoins de la pire orgie que l’on puisse imaginer, faite de violence, d’éclatements, de déchirures et démesure.

Ce premier jour de sa nouvelle vie, ce premier jour de sa nouvelle mort a été épouvantable. Jess a dû enlever les draps, les laver, les frotter, les nettoyer avec la force du désespoir, en priant pour qu’à chaque tache enlevée s’efface un de ses souvenirs. La jeune femme a changé ses draps, lavé sa robe, son petit string. Elle a aéré sa chambre et tout mit dans la machine, péniblement, en priant de toute son âme que son père soit satisfait.

Et puis Jess a eut eu mal, elle a eu très mal, elle a vécu l’enfer surtout ce matin en allant faire pipi, une brûlure atroce, comme si du verre pilé s’écoulait hors de son orifice, lui arrachant des larmes de désespoir. Lui rappelant cruellement à chaque goutte le supplice qu’elle avait dû subir la veille. Puis, chancelante, Jess s’est enfin lavée pour se purifier, pour enlever toute cette souillure, pour effacer ces coulures brunes à l’intérieur de ses cuisses, pour effacer les traces de ces ravages infligés à son cul, son vagin, par ma monstruosité. Quand ma fille a pris sa douche, quand j’essaye de toucher, quand elle touche ça fait mal, très mal, horriblement mal. Oui même l’eau chaude, surtout l’eau chaude en fait. Jess a essayé de se nettoyer le plus doucement possible, mais ses muqueuses exposées à vif la lance horriblement, réveillant des douleurs déjà atrocement familières. Quand ma fille se savonne et que le gel douche s’infiltre dans la raie de ses fesses, sur sa vulve, elle hurle à la mort tant ça la brûle atrocement. Comme de l’acide, la pauvresse est restée là sans échappatoire, paralysée, l’eau chaude attisant son tourment. Pour ne plus faire de bruit, Jess serre les dents à s’en faire exploser l’émail, parce que ça on ne le sait pas, on ne sait pas, on ne se rend jamais compte, mais le savon liquide c’est très difficile à faire partir, ça colle, ça va partout et ça pique, ça brûle, et la pauvre fille a dû supporter cette torture jusqu’à la fin de ses ablutions honteuses…

Une fois séchée, nue et un peu apaisée, Jess se regarde dans la glace. Hormis quelques traces de doigts violettes sur ses seins, tout va bien de face. De dos par contre… Deux petites fesses toutes mignonnes, joliment arrondies sur les côtés, aux courbes annonçant les prémices d’une douceur sans nom, un si joli contour… si ce n’était cette horreur au centre. Une rougeur circulaire, sombre, mordant largement sur l’arrondi de ses fesses, aussi large que sa main. Tout autour, des chairs tuméfiées, luisantes et congestionnées, sans limite précise entre intérieur et extérieur. Au milieu, une espèce de bouche déformée dans un rictus cruel, ouverte comme pour expier sa douleur, les chairs de son anneau déchiré en trois endroits formant comme trois lèvres bouffies impuissantes à se refermer correctement. Une destruction physique tatouée dans sa chair avec cruauté, une blessure éternelle qui ne se refermerait jamais.

J’ai fait en sorte que Carla, Manon et Inès soit là quand elle est descendue. Ma fille avait entendue leurs voix depuis en haut. Comme je l’avais prévu, elle décide de s’habiller et de ne pas descendre nue devant elle. Jess à crut qu’elles ne sont au courant de rien. Pourtant, une femme violée reconnaît une autre femme violée. C’est vrai pour les trois sus-nommées, pas pour ma fille. Elle à mit un pyjama, alors que je lui avais demandé d’être sans aucun vêtements, je pourrais la punir pour ça, je le devrais, je le ferais, mais plus tard, pas devant les autres, je dois jouer le jeu, mon jeu.

Quand enfin Jess est descendue, elle a marché bizarrement, de travers et presque sur la pointe des pieds tellement son anus la lance. Dans un effort surhumain pour s’épargner un peu de souffrance et ne rien laisser paraître. J’ai simplement eut un regard méprisant pour elle, teinté de violences et d’une excitation malsaine. J’ai passé la journée à la terroriser, utilisant des paroles pleines de sous-entendus que personne ne peut pas comprendre. J’ai choisis mes mots, j’ai sorti les bons mots pour ne choquer personne, pour que tout le monde autour n’y voie que du feu, mais mon vrai visage, je ne l’ai montré qu’à Jess, du moins c’est ce que ma fille à pensée. Jess sait ce que je veux dire. Jess le sait très bien. Et cela me procure visiblement sakarya escort un plaisir intense. Ma fille a passée une journée à naviguer entre les questions des trois autres filles, qui s’inquiètent faussement, vaguement que Jess ne mange rien, et mes menaces de ma part, moi son père, qui lui donne des ordres, baptisant ainsi mes nouveaux pouvoirs que lui confère ma nouvelle autorité. Jess doit paraître tour à tour forte et épanouie avec les trois autres, puis docile et soumise avec moi. Elle espère avec ferveur que ses efforts pour me satisfaire, moi, m’ôteront toute velléité de nouvelle punition, tout envie de la violer de nouveau. Ma fille a vingt ans, mais elle est aussi naïve qu’une gamine de sept ans.

Malheureusement, tous ces efforts ont été vains car le soir venu, son inattention et sa distraction ont précipité sa destruction. Après le repas, Carla a proposée que l’on aillent tous en boite de nuit. Manon et Inès on jouée leurs rôle, faisant semblant d’être emballée par l’idée. En fait elles rejoindraient Paul et Hervé, qui se sont éclatés tout la journée avec Nina et Anne. Au début ma fille a acceptée, enchantée de pouvoir être ailleurs. Quand j’ai dis que je resterais ici, a mon regard, Jess a compris qu’elle avait fait une erreur. Surtout quand les filles sont montées se changer, et que j’ai prévenue Jess qui si elle sort, je viens, mais qu’après sa punition sera tellement terrible qu’elle préférera mourir. Alors ma fille est revenu sur sa décision quand les Manon, Inès et Carla sont redescendu. Suscitant l’incompréhension simulée des trois autres. Les trois putes sont ensuite parties, me laissant seul avec Jess.

En leurs faisant la bise pour leurs dire au-revoir, je regarde Jess d’un œil féroce. Mon regard lui perce le cœur. En un instant, tout ce qui reste de sa joie vient de disparaître, le monde qui l’entoure s’assombrit, il n’a plus de couleurs, des frissons d’angoisse la font trembler de la tête aux pieds. Je viens de lui ôter toute la gaîté qu’elle a. Jess a la chair de poule, ma fille a froid, elle se sent toute vide, je lui fait froid dans le dos. Pour Jess, maintenant, je suis la terreur, je suis le diable, elle a comme l’impression que je bouffe tout ce qui est bien en elle, ma fille a comme l’impression je la pompe comme si j’étais un putain de vampire, pas le sang mais le bien en elle et ça, ça fait mal, ça lui fait très très mal.

A peine les filles sont-elles parties que je me dévoile à nouveau dans toute mon ignominie.

– Jess, monte dans ta chambre, tu vas recevoir ta punition, comme je te l’avais promis. Tu n’es pas descendue nue, tu as voulus sortir sans mon autorisation, c’est l’heure de payer l’addition.

Le ton de ma voix est inhabituellement calme, mais elle ressent derrière ces mots si banals prononcés posément une sauvagerie infinie que ma fille devine dans mes yeux devenus fous. Je viens de me transformer en Mister Hyde, après une journée à jouer le rôle du parfait gentleman. Le monstre qui m’habite émerge avec une énergie effrayante. Je ne suis plus le même homme, d’ailleurs je ne suis plus un homme, je suis devenu une bête, un animal, un démon. Jess court dans sa chambre, de toute manière elle n’a pas d’autre endroit où aller, c’est son refuge, son chez moi, sa sécurité… Mais me voilà qui m’introduit dans son nid douillet, je l’ai suivie de près, me suis engouffré dans son repaire avant que Jess n’ai eu ne serait-ce que l’idée de refermer la porte. Je m’introduit dans sa chambre, je me glisse dans son intimité, « il est “chez” moi » pense Jess. Le pire est qu’elle me sent déjà presque “dans” elle.

– Mets-toi à poil, petite pute, mets-toi à poil tout de suite, et ne t’avise pas de me désobéir!

Jess se sent rabaissée, humiliée, encore une fois. Elle n’est pas une pute, elle n’est vraiment pas ça, non, elle n’est pas une pute, une pute c’est dégueulasse, une pute c’est moche et ça fait n’importe quoi, avec n’importe qui. « Moi, une pute? Pense-t-il que je me suis donnée à lui? Non, ça jamais! » pense la pauvresse terrorisée. Malgré elle, Jess se remémore les images de la nuit passée, ces instantanés répugnants, ces flashs épouvantables, ces actes abominable… et elle fond en larmes. Au fond, quelle différence entre une putain et elle? Jess a abdiquée, elle a offert son corps, elle a donnée son cul, sa chatte. Jess a reçu mon corps dans le sien, elle aussi, comme une pute. Sauf que elle ne le voulais pas, elle a résisté, elle a résisté de toutes ses forces! Mais hier, je l’ais eu, de partout, dans tout ses orifices, plusieurs fois, beaucoup de fois pour certains. Jouissant en elle, sur elle.

– Sale petite pute, tu vas m’obéir, ou il faut que je t’aide?

Ma voix la fait sortir de sa torpeur et la panique la saisit. Sans réfléchir, les yeux encore embués de larmes, Jess remonte son haut, baisse son pantalon de pyjama. Se dévoilant à moi, son corps de femme, uniquement couvert de son soutien-gorge, de sa culotte sage et de ses chaussettes roses. Jess pose un bras sur ses gros seins. Ma fille ose une main sur son entrejambe, comme pour soustraire à ma vue perçante ce que je connais déjà. samsun escort Je la détaille avec appétit, je bave littéralement sur son corps, mon regard la caresse sournoisement et se balade sans permission sur ses galbes parfait comme le ferait un serpent. Mes yeux lui brûlent la peau, provoquant des soubresauts de peur, Jess n’est vraiment pas bien, ça ne va pas, ça ne va pas du tout. Elle cherche du regard une issue de secours, mais elle n’en voie aucune.

– Enlève tes chaussettes et ta culotte! Tout de suite!

Ses mains quittent à contrecœur les parties de son corps qu’elles tentaient vainement de masquer, et elle fait lentement descendre sa culotte.

– Oui, c’est ça, prends ton temps, prends tout ton temps, ça m’excite, une vraie petite strip-teaseuse, une Dita Von Teese junior!”

« Mais qu’est-ce qu’il raconte? » pense ma fille. N’y comprenant rien, elle ne cherche pas à discuter, elle retire ses chaussettes, et d’un geste dédaigneux, je lui intime l’ordre de retirer son soutien-gorge. Sa poitrine énorme et ferme, émerge du tissu en frissonnant, je n’en perd pas une miette. Jess pose son soutien-gorge à terre, à côté de ses pieds. Elle a à peine le temps de relever la tête que je suis déjà sur elle. Mes mains calleuses s’emparent de sa belle poitrine, lui broient les seins, les malaxent, les étirent, les pincent sauvagement comme si je voulais les réduire en bouillie. Les mauvais traitements de la veille les rendent beaucoup plus sensibles, et Jess hurle quand je vrille ses deux tétons en même temps. Une souffrance en stéréo qui fait bourdonner la tête de la jeune fille. Siffler les oreilles et vider les poumons comme jamais. Jess cherche de l’air comme un poisson hors de l’eau, la torture que je lui inflige l’empêchant de reprendre son souffle. Par miracle pour elle, je m’arrête juste avant qu’elle ne tourne de l’œil. Jess reste pantelante, le souffle court.

Je la lâche un instant, je m’écarte de ma fille, et la fait se retourner dos à moi. Je suis en arrêt, je me pourlèche les babines en regardant son trou du cul meurtri dont la rougeur écarlate creuse largement l’arrondi de ses fesses, le faisant ressembler à un entonnoir aussi profond que ma dépravation. Voilà que je pose mes mains sur son derrière maintenant. J’attrape fermement ses rondeurs, alors je la pousse avec force à plat ventre sur son lit, l’écrasant sur sa couette toute propre. Je prend ses fesses à pleines mains, les écrabouille, les maintient fermement puis comme pris de folie, je les sépare brutalement l’une de l’autre. Jess entends son anus se déchirer à nouveau, et un vagissement suraigu s’échappe de sa gorge, comme un cri de bête que l’on achève.

– Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!!

Oui ça la déchire, le temps que le trou de balle se déchire, tout ce temps Jess a mal, oui elle crie, plus personne ne peut l’entendre désormais, alors elle ne se retient pas. Je l’écartèle, je rouvre ses blessures à peine refermées mais encore à vif, j’agrandis ses fissures anales, entaillant à coups de hache ses chairs intimes. Loin de m’effrayer, ses hurlements m’encourage à poursuivre mon travail de massacre.

– Ah t’est moins serrée comme ça! T’étais qu’une petite salope coincée du cul, pas vrai?

Cela lui fait mal, ça lui fait horriblement mal, elle voudrait que ça s’arrête, il faut que ça s’arrête, ma fille ne va pas le supporter. On dirait qu’elle couche avec un loup affamé qui, morceau de chair après morceau de chair, arrache son repas à la bête encore vivante. Mais Jess le sait, elle le sait de toute son âme, de tout son être, de tout son corps, le pire reste à venir.

Je me racle alors la gorge bruyamment et confectionne un énorme mollard comme seuls les vrais hommes savent en faire. Je l’applique par gravité sur sa plaie, au centre des ruines de ce qui hier encore était un petit anus tout serré, tout neuf, tout ferme. La tiédeur de son crachat apaise fugacement la douleur lance Jess, ses muqueuses irritées sentant la progression de mes fluides verdâtre, son rectum se faisant copieusement remplir par mes mucosités infectes. Et puis, contre toute attente, je m’écarte de ma fille, le temps de lubrifier sa queue avec ce qu’il reste de mes glaires. Je prend ma bite à pleine main, et commence un lent mouvement de va-et-vient.

– Il faut que je sois en pleine forme pour t’honorer!

Jess se retourne alors et devant ses yeux effarés, la jeune femme voit ce morceau de chair prendre vie, se lever, palpiter, se dresser à la verticale par à-coups, avec ce gland qui ne cesse de gonfler. Jess vois ma queue se déployer dans toute son horreur, malgré elle, la jeunette la détaille comme pour mieux connaître son ennemi. Entièrement érigée, sa queue est immense, remontant largement au-dessus de mon nombril, complètement définie, cylindrique, elle ressemble à un rouleau à pâtisserie dont on aurait enlevé les poignées, surplombée d’une grosse meringue rouge. Au-delà de sa forme effrayante, ma fille perçois toute ma fureur, voir ma démence, ainsi que toute la méchanceté du monde concentrées dans ces 25 centimètres de chair déformé par mon désir morbide. Comment une telle difformité a pu investir son corps si frêle, si menu, et s’imposer dans sa totalité à l’intérieur de son corps? Jess se demande même l’espace d’un instant comment Carla peut composer avec pareille abomination. Ma fille comprend mieux, maintenant, pourquoi j’ai pu lui infliger de si sérieux dommages, à son vagin et à son cul.

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Manon en Enfer 15

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Big Cock

VISITE EN CLIENTELE 2

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Toujours accroupie Manon caresse et embrasse la queue de Jean puis la lèche tout en caressant ses cuisses ou triturant ses bourses. Ensuite elle joue à suçoter et aspirer le gland ce qui énerve son partenaire car son corps tressaille pendant qu’elle fait ça.

Essayant d’enfourner le maximum du pénis qui est assez long Manon commence une fellation. Elle donne un maximum d’amplitude aux aller-retour de sa bouche sur le membre tout en serrant au maximum les lèvres. Suivant son inspiration les va-et-vient de sa bouche passent de lents à rapides et vice-versa.

Au bout de quelques minutes elle arrête de sucer, abandonne la verge et lève la tête.

– ça vous plait monsieur –

– oui, tu suces très bien –

Elle reprend la pipe faisant tourner sa bouche autour de la queue en se tordant le cou.

Trop excité Jean ne cherche pas à se retenir ni à faire durer le supplice infligé à son membre qui agité de soubresauts envoie des giclées de sperme au fond de la gorge de Manon qui boit le liquide et continue à sucer.

Jean la repousse.

– allonges toi sur le lit –

Manon obéit, se couche sur le dos et écarte les jambes. Jean s’allonge sur elle, sa queue bute contre le ventre de Manon avant de trouver l’orifice et de s’enfoncer dans la chatte.

Manon passe ses bras autour du cou de l’homme et pose ses lèvres sur les siennes, rapidement leurs langues se trouvent et se livrent une lutte acharnée dans un baiser qui dure un moment.

Pendant qu’elle caresse le dos et les fesses de Jean celui-ci malaxe ses seins et martyrise les tétons, le pénis est toujours immobile planté dans la chatte de Manon.

Elle relève ses jambes et les replie écartant au maximum les cuisses pendant que Jean commence à donner des coups de reins pour faire aller-et-venir la verge dans la ventre de sa partenaire.

Au bout d’un moment Manon allonge ses jambes et les bras toujours autour du cou de Jean elle accompagne les coups de reins avec des mouvements du bassin.

A son grand regret l’accouplement prend fin quand elle sent la queue tressaillir dans sa chatte et le sperme inonder son vagin qui commençait à être bien mouillé car elle prenait de plaisir dans une étreinte normale pour un couple.

L’homme se retire et s’allonge à côté d’elle.

Elle est consciente qu’étant une prostituée c’est à elle de prendre l’initiative, normalement elle n’est là que pour donner du plaisir à ce qu’elle peut appeler un client même si elle n’est pas payée pour ses prestations sexuelles.

A genoux entre les jambes de Jean elle se sert de ses deux mains pour caresser en même temps le ventre et les cuisses ou le sexe de son partenaire. Puis elle insiste sur es testicules et la queue.

Soulevant la verge molle elle lèche suce et gobe les testicules de l’homme. Ensuite pendant qu’elle embrasse et lèche son ventre et ses cuisses elle le masturbe.

Elle n’a pas besoin de s’activer longtemps, le membre est de nouveau en érection. Manon se penche et lui fait une fellation mais cela ne dure pas très longtemps car Jean la repousse.

Jean mersin escort demande à Manon se positionner à genoux, obéissante elle prend la pose demandée, met ses bras à plat sur le lit et pose sa tête dessus, enfin elle creuse les reins. A genoux derrière elle il enfonce sa queue dans la chatte de Manon puis donne des coups de reins de plus en plus violents pendant qu’elle triture les testicules de son partenaire.

Il prend son temps cessant de bouger pour éviter la jouissance. Les aller-retour de la verge dans la chatte de Manon durent un bon moment et elle mouille de plus en plus.

Jean se recule, son membre sort de la chatte puis Manon sent la queue se déplacer entre ses fesses. Avec une main elle la positionne puis jean exerce une poussée avec le poids de son corps, Manon sent nettement le membre pénétrer dans son anus et aussi pendant qu’il se fraie un passage dans son cul en repoussant les chairs.

Il recommence à donner des coups de reins d’abord lents puis de plus en plus rapides quand il sent que son pénis coulisse de plus en plus librement dans le cul de Manon.

De nouveau elle mouille d’autant plus que Jean s’est mis à caresser sa chatte puis s’en prend au clitoris une chose qu’elle ne devrait pas accepter si elle respectait son métier.

Quand le corps de Manon se met à frétiller sous l’effet du plaisir il arrête de bouger et se met à masturber frénétiquement le clitoris et ce qu’elle redoutait arrive. Elle est agitée par des spasmes, des jets de cyprine s’échappent de son vagin pendant qu’elle jouit arrosant la main de Jean et les draps du lit.

Satisfait il recommence à lui défoncer le cul violemment et rapidement sa verge s’agite et envoie des giclées de sperme dans le fondement de Manon.

Il se retire et s’allonge sur le lit.

Manon attend un peu puis en bonne putain qu’elle est devenue elle se remet au travail afin de continuer à donner du plaisir à son client.

A genoux elle caresse doucement le torse et ensuite le ventre de Jean. Sa main passe sur les cuisses pour finir sur la queue molle et rétrécie qu’elle caresse puis masturbe d’abord doucement avant d’accélérer progressivement.

Jean caresse les fesses, les cuisses et l’entre-jambes de Manon. Elle continue la masturbation patiemment jusqu’à ce qu’il bande de nouveau correctement.

Elle se penche et lèche la verge puis suçote et aspire le gland avant de faire une fellation qu’elle fait durer bien que l’érection du pénis soit parfaite maintenant.

Jean est toujours allongé sur le dos quand elle cesse de sucer la queue. Elle se met à genoux sur lui, les jambes de chaque côté du corps de son partenaire.

Sans presque chercher le pénis pénètre dans sa chatte quand elle se baisse. Elle donne des coups de reins de plus en plus rapides sachant que l’étreinte risque de durer un bon moment.

Après avoir bien œuvrée Manon en sueur et bien émoustillée soulève ses fesses, la verge sort de sa chatte. Avec une main elle la positionne contre son anus et laisse descendre son corps. Le membre s’enfonce facilement dans son fondement et muğla escort y disparaît entièrement.

Elle fait bouger son corps pour faire aller et venir la queue dans son cul pendant un bon moment pendant que l’homme caresse ses seins et martyrise les tétons.

De temps en temps il l’attire vers lui et l’embrasse.

Les coups de reins qu’elle donne ont le même effet sur elle que sur Jean, emportée par le plaisir qui devient trop intense dans son ventre elle jouit et arrête de bouger.

Rapidement une fois calmée elle recommence à donner du plaisir à son client, les va-et-vient de son cul sur la queue de l’homme durent encore un moment avant qu’elle ne sente son membre s’agiter et la semence couler dans son corps.

Elle se retire et laisse Jean aller dans la salle de bain. Il en sort et se rhabille pendant qu’elle reste à le regarder faire.

Jean sort une enveloppe de sa poche et la tend à Manon, honteuse de ce qu’elle est devenue aux yeux des hommes elle la prend. Elle pense: “le salaire de la déchéance”.

– il ne fallait pas monsieur –

– si, une putain de ta qualité est rare et mérite d’être récompensée –

Jean sort de la chambre, avant qu’il ne parte Manon, qui toujours nue l’a suivi dans le couloir pour être hors de la caméra, lui dit:

– monsieur, s’il-vous-plait ne dites pas à monsieur Bernard que j’ai eu des orgasmes, il ne serait pas content et me punirait –

– pourquoi te punir, c’est normal qu’une femme jouisse en faisant l’amour –

– je ne dois pas prendre de plaisir mais juste en donner aux personnes à qui il offre mon corps et mes services –

– je ne comprends pas ça, je suis content de t’avoir donné du plaisir. rassures toi je ne dirais rien –

-merci monsieur –

– ne me remercie pas, je ne comprends pas comment une femme telle que toi est tombée aussi bas –

– ne cherchez pas monsieur, c’est personnel et je préfère garder ça pour moi, gardez en tête que vous avez passé un bon moment avec une prostituée car c’est ça que je suis –

Jean quitte l’hôtel après avoir caressé sa joue et l’avoir embrassée sur les lèvres.

Manon va dans la salle de bain se laver puis se rhabille.

Obéissante elle récupère et éteint la mini caméra que Bernard le directeur commercial avait posée dans un endroit assez discret. Elle pense: il va beaucoup s’exciter et ensuite se donner un bon moment de plaisir avec sa femme après avoir visionné l’enregistrement.

Jean a regagné son bureau. Manon est sortie de l’hôtel, elle attend longtemps et patiemment Bernard en faisant les cent pas sur le trottoir tout en regardant les vitrines des magasins.

Enfin il arrive et stoppe sa voiture à côté de Manon qui s’installe sur le siège passager avant.

– tu n’oublies rien –

– non monsieur, pourquoi –

– retires ta veste et relève ta jupe, comportes toi comme la putain que tu es –

Manon obéit puis Bernard démarre et c’est le silence dans l’habitacle pendant le parcours.

A un moment le directeur commercial engage la voiture dans un chemin forestier puis stoppe.

– tu vas faire nevşehir escort ton boulot avec moi –

– oui monsieur mais ça va être difficile de vous faire correctement l’amour dans l’auto -.

– tu me fais juste une pipe, ton cul doit être contaminé après ce que tu as fait cet après-midi et ça me dégoûterait de passer derrière un autre –

Manon déboutonne le pantalon de Bernard et en farfouillant dans le caleçon en extrait difficilement sa queue qui est bien gonflée et raide, il semble avoir une grosse envie. Sans quitter son siège elle caresse le membre puis se penche.

Après avoir embrassé et léché le pénis elle suçote et aspire le gland mais y renonce vite car il est trop excité et cela l’énerve. Elle enfourne le maximum de la grosse queue dans sa bouche puis commence une fellation en accélérant progressivement les aller-retour de sa bouche sur le membre.

Il ne faut pas longtemps avant qu’elle n’arrive au résultat espéré. Bernard maintient la tête de Manon avec ses deux mains et appuie dessus pour que sa queue entre le plus possible dans sa bouche pendant qu’il déverse par saccades une grande quantité de sperme dans sa gorge.

Manon a du mal à avaler ne pouvant pas se dégager partiellement du membre qui emplit sa cavité buccale. Enfin Bernard libère la tête de Manon, elle peut terminer son travail puis sucer et lécher pour nettoyer la verge.

Bernard rajuste sa tenue et reprends la route.

– la putain tu as bien travaillé aujourd’hui, exceptionnellement tu peux me demander une faveur –

Comme elle n’a qu’une idée en tête Manon saute sur l’occasion.

– monsieur je vous remercie, mon souhait est que vous arrêtiez de me prostituer –

– la putain je t’ai dit une faveur pas la lune –

– s’il vous plait monsieur faites preuve de bonté à mon égard cela fait presque deux ans que je me prostitue pour vous –

– la putain tu m’énerves, je ne veux plus t’entendre ni te voir. Tu vas sortir de l’auto et tu as le choix soit tu rentres à pieds, soit tu fais du stop et tu t’arranges pour te faire sauter –

– vous n’aller pas me laisser sur le bord de la route seule –

– je vais te tester et voir comment tu te débrouilles, je vais rester dans les parages et te suivre –

– on est encore loin de la ville –

– une quinzaine de kilomètres, si tu veux les faire en marchant avec tes talons hauts libre à toi –

– c’est trop loin, je ne vais pas pouvoir –

– sers toi de ton cul, il y a toujours une solution pour une putain comme toi –

La voiture s’arrête à la sortie d’un village qu’ils viennent de traverser et Manon descend.

Bernard démarre la laissant là seule et apeurée. Manon ne réfléchit pas longtemps et décide de faire du stop, rentrer à pieds ce n’est pas envisageable.

Elle lève le pouce mais fait signe aux voitures de continuer leur route quand elle a affaire à des couples ou des familles, malheureusement pour elle quand c’est un homme seul il évite de s’arrêter méfiant.

Enfin un poids lourd stoppe, Manon s’approche de la portière pendant que le chauffeur baisse sa vitre.

– où allez vous –

Manon indique sa destination.

– c’est bon vous pouvez monter, je vais faire un petit détour –

Elle galère pour ouvrir la portière côté gauche et pour monter car la cabine du camion est assez haute. Une fois la portière refermée elle se conforme aux consignes que Lucien lui a données.

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