Alice 03
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Le lundi soir, Ange dépose Alice devant la maison du couple. Alice rentre à la maison ? radieuse.
– Quelles merveilleuses vacances ! Dit-elle à son mari.
– Vas-y raconte, je veux tout savoir ?
– Je me suis comportée comme sa femme à lui, tu ne peux pas imaginer, c’était terriblement excitant !
– Viens laissons mes bagages et allons dans la chambre ?
Jean la suit.
Elle s’allonge sur le lit, nue. Il la lèche de partout, ses seins, sa chatte et son cul, longtemps. Ses doigts pénètrent les orifices de sa femme et il constate, qu’il sont encore entrouverts. Elle l’attire sur elle et il entre sa bite dans son puits d’amour.
Jean découvre combien sa femme est ouverte et disponible.
– Jean, je ne sens plus ta petite bite ? C’est fou !
– Pour moi, c’est toujours aussi bon, tu sais. Je me sens encore plus cocu, par le fait de constater que tu es si large, si ouverte par lui. Je me dis qu’il a formé ton vagin à sa queue et c’est follement excitant ?
– Tu as raison, moi aussi, j’ai l’impression de lui appartenir en constatant, que tu ne me fais plus aucun effet sexuellement, sa queue me manque et ça m’excite de te savoir cocu à ce point.
– Et ton cul ?
– Il m’a sodomisée, je crois, presque autant qu’il m’a fait l’amour. A présent, il me sodomise avec beaucoup plus de facilité.
Jean fait pénétrer un doigt dans son cul et constate effectivement son ouverture et sa souplesse.
– Ah ! oui, tu es bien ouverte.
Jean la baise avec passion et amour, excitation et tendresse, rage et désespoir.
– Tu aimes que je sois une salope, une pute en quelque sorte ?
– Oh ! Oui, j’aime !
– Tu aimes que je me donne à Ange ?
– Oh ! oui, mon amour.
– Tu aimes que je lui appartienne, que je sois sa femme autant que la tienne?
– Puis, bien sûr, chérie.
– Tu dois accepter que j’appartiens dorénavant à Ange, plus à toi.
– C’est vrai, mais c’est dur.
– Tu le savais quand tu as accepté son deal et ça ne fait que commencer, alors contrôle-toi.
– Je suis dans un état d’excitation en pensant à ce qu’il a pu te faire.
– Oh Oui ! Tu ne peux même pas imaginer. Il est infatigable, il me fait l’amour en continu. Je dis bien, l’amour. Il me fait voir les étoiles, lui. Il me prend au moins quatre fois par jour, de tous les côtés. Je suis son vide couilles. Il veut que je sois toujours nue.
– Il m’a d’abord appris à rester accessible. Je dois perdre l’habitude de porter toute culotte ou string. Mon sexe doit pouvoir lui appartenir rapidement, sans obstacle en toutes circonstances. Mes seins aussi, d’ailleurs, doivent être toujours libres. Voir mes deux globes magnifiques fièrement dressés, le laisse à chaque fois très ému. Je dois ensuite apprendre à mener normalement mes activités ainsi parées.
– Ce qui me trouble le plus, ce sont les frottements continus du tissu de ses vêtements sur mes tétons dégagés. J’ai rapidement appris à vivre avec ses érections permanentes, plus ou moins visibles pour mes interlocuteurs, selon les tenues que je porte. Et là encore, Ange a des tissus de prédilection parmi lesquels, le lin. Aussi, les tissus rêches par excellence, trabzon escort ou encore, à l’opposé, les tissus pratiquement transparents, qui laisse deviner facilement ma poitrine opulente qui s’offre dessous.
– Il m’a également apprise à m’asseoir! J’ai beaucoup ri lorsqu’il m’a déclaré, que je dois apprendre à m’asseoir. Et j’ai découvert avec beaucoup de surprise, ce qu’il entend par-là. Il m’est interdit, en toute circonstance, d’être assise autrement que sur mes fesses nues. Qu’elles que soient les circonstances, en société ou en privé, je dois impérativement relever ma jupe ou ma robe pour que mon postérieur soit en contact direct avec le siège.
– Il fallut que je m’asseyes dans le vieux fauteuil de cuir de sa maison de campagne, pour comprendre enfin toute la sensualité potentielle d’une telle attitude. Ce jour-là, le contact du cuir chaud sur ma peau nue m’a mise dans un état indescriptible. Tandis qu’il m’observait comme un chat guette la souris qui s’apprête à la dévorer!
– Je suis toujours à poil, même quand il reçoit, tu te rends compte.
– Hein ? Comment quand il reçoit ?
– Oui, il reçoit des amis et je dois être nue devant eux. Tiens justement, hier, son voisin est venu, il a été très surpris, il m’a bien regardé, puis il a souri ?
– Oh là là ?
– Et encore, ce n’est pas tout. Hier, il a pris des photos de moi, nue et il les a mises sur Internet dans un site de voyeur. Je ne sais plus l’adresse, mais je vais lui demander et je te la donnerais. Ah ! oui. Je suis aussi sur Internet.
– Puis, dit donc, tu as aussi rasé ton minou ?
– Attend, il faut que je te raconte ça.
Le lendemain de notre arrivée, Ange m’annonce que j’ai rendez-vous avec une esthéticienne le matin même. J’y suis conduite par Ange. Le salon semble bien propre et très professionnel.
Ange va voir l’une des femmes et lui dit quelque chose. Elle me regarde et sourit à Ange. Elle vient me chercher et m’invite à entrer dans une salle à l’arrière du salon. Là, elle me demande de retirer ma robe.
Assez timide, je retire ma robe, découvrant ma nudité imposée, aux yeux de cette inconnue.
– Jolie lingerie, allez, hop, sur la table ! Me dit-elle, l’air rieur.
– Vous allez faire quoi?
– Tu es là pour tes jambes, tes aisselles et ton sexe.
– Tu vas tout raser?
– Tu n’as pas à me tutoyer!
Abasourdie, je me suis installée sur la table. La femme commence à faire ce qu’elle doit. Elle retire une bonne partie de ma pilosité. Ensuite, elle me passe de la crème, en profitant au passage pour me caresser.
Quelques longues minutes plus tard, elle m’annonce avoir fini. Je veux me relever, mais elle me l’interdit. Elle me dit qu’Ange lui a demandée de me nettoyer et ensuite, de me faire un examen sensoriel profond.
La jeune femme me demande alors de m’allonger de nouveau sur la table, après elle vient s’installer sur un tabouret entre mes cuisses ouvertes. Elle enfile une paire de gant en latex. Elle crache sur ses doigts et elle commence à les faire glisser le long de mon sexe.
La nouvelle sensibilité de mon sexe me trouble et celui-ci s’humidifie. Je tunceli escort sens ensuite un de ses doigts investir mon sexe. Après un second ? Et aussi un troisième qui force un peu l’entrée. Elle commence à faire aller et venir ses doigts dans mon sexe. Par la suite, je sens une pression contre mon anus.
La jeune femme fait des cercles sur mon anus jusqu’à le détendre, ensuite, elle entre un doigt en moi. Les pénétrations digitales combinées de mon sexe et de mon anus commencent à me faire ressentir un vrai plaisir.
Quelques minutes plus tard, lorsqu’elle rentre chacune de ses mains dans mes deux puits d’amour en même temps, je ne peux retenir un orgasme qui me submerge. A mon retour sur notre planète, j’aperçois qu’Ange est là.
La jeune femme me donne ma robe, et par la suite, elle me met dans les bras d’Ange qui m’amène à la voiture.
– EH ! Bien ma chérie, tu es très belle comme ça sans poils.
Il faut que je te dise aussi. Dimanche en fin d’après midi, lorsque nous rentrons Ange et moi de la plage.
Nue sous ma robe, je suis Ange dans le salon dans lequel, je découvre avec stupeur une femme.
– Salut!
– Salut Maria. Je ramène une friandise. Le bénéfice d’un deal avec un mauvais banquier.
– Ah ! Elle est là pour s’occuper de toi? Et de nous?
– Elle fait ce que j’ai envie. Et là, j’ai envie d’une petite pipe.
– Allez, au travail. Euh ? Machine ? Dit la femme Maria.
– Alice. Elle s’appelle Alice.
Ange s’installe sur le canapé et sort son sexe. Je m’approche de lui et je m’agenouille. J’ouvre la bouche et enfourne son sexe encore peu dur. Les mouvements de mes lèvres sur sa verge et de ma langue autour de son gland semblent lui plaire, car son membre devient de plus en plus rigide.
Autour de nous, j’entends la femme discuter avec Ange de sa journée comme si de rien n’était. Je tente de le faire vite venir Ange, mais il m’arrête voulant visiblement profiter de ma soumission. Au bout d’un moment, il appuie sur l’arrière de ma tête pour enfoncer sa verge au plus profond de ma bouche.
Je le sens alors, parcouru de spasmes et il se vide dans ma bouche. J’avale son sperme avec délectation, heureuse du devoir accompli, ensuite, je lui nettoie le sexe avant de le ranger dans son pantalon.
Maria s’adresse à moi.
– Alors, tu es Alice?
– Il vous a parlé de moi?
– Évidement! Il ne parle que de toi et de ta beauté. Je dois dire qu’il avait raison.
Elle se colle à moi et passe un bras autour de mes épaules. C’est une femme de mon âge.
Elle porte une robe noire très transparente. Je peux distinguer un string et un porte-jarretelle.
Ses longues jambes gainées de bas de soie à coutures avec une paire d’escarpin vernis, finissent de l’habiller.
– Tu es vraiment charmante. Tu me plais beaucoup, Alice.
Elle se rapproche de plus en plus. Je suis certaine qu’elle va essayer de m’embrasser. Je ne suis pas très à l’aise. Je n’ai jamais touché une femme. Je suis perdue, mais je me sens contrainte de céder.
Elle me retourne, prends mon visage dans ses mains et elle m’embrasse à pleine bouche, fougueusement. Elle uşak escort m’enlace et commence à me caresser.
Sa main glisse rapidement sous ma robe et ses longs doigts prennent rapidement d’assaut mon sexe humide.
Alors, j’ose moi aussi la caresser. Je glisse la fermeture-éclair de sa robe dans son dos et la fais glisser sur ses épaules. Je découvre ses seins magnifiques. Ses pointes sont déjà dressées, semblant attendre mes caresses.
Elle délaisse un instant mon minou, pour aussi, me débarrasser de ma robe. Je me retrouve nue la première. Nos seins entrent en contact et je jouis une première fois.
– HUMMM! Tu parais sensible! J’aime ça ?
Bizarrement, je n’en suis pas gênée, mais très excitée.
J’aide Maria à enlever sa robe à son tour, sans lâcher ses lèvres.
Doucement, elle m’allonge sur le canapé et se couche sur moi. Elle est d’une douceur extrême et d’une tendresse immense. Ses doigts courent dans ma chevelure, s’égarent sur mon visage, visitent ma bouche et réclament ma langue.
Mes mains caressent son dos, ses fesses d’une extrême fermeté.
Je me sens bien.
Sa toison fournie caresse mon coquillage lisse et me provoque une multitude de mini jouissances. Les yeux fermés, je me concentre surtout ce que je ressens. C’est le bonheur total.
Puis sa bouche quitte la mienne et commence un long périple qui commence par une glissade dans mon cou. Ensuite, elle s’attarde un long moment sur mes seins et plus particulièrement sur mes tétons, qu’elle fait rouler entre ses lèvres, avant de les aspirer et les titiller de sa langue.
La longue descente continue, jusqu’à mon ventre. Celui-ci se rétracte à chacun de ses baisers, me provoquant de longs frissons.
Puis enfin, après avoir franchi le mont de venus, sa bouche plonge entre mes cuisses.
C’est une explosion instantanée, un feu d’artifice, une expérience incomparable. Le contact de sa langue sur mon clito gonflé, me fait perdre tous mes moyens.
Je jouis si fort, que je me relâche totalement, expulsant un jet puissant sur son visage.
Je suis prise de honte et je dois être rouge coquelicot.
Mais elle ne semble pas gênée du tout et continue à fouiller ma chatte détrempée, de sa langue agile et experte.
Lorsqu’elle revient titiller mon bouton rose et que je l’inonde de nouveau, j’ouvre les yeux, pour m’excuser.
Maria est aux anges. Elle exulte tout en me dévorant
– HUUMM! OH ! OUIII! Donne-moi tout! Donne-moi ton jus! MMMMM! Tu es fantastique! MMMM! ENCOREEE!
J’ignore encore ce qui m’arrive, c’est la première fois. Il me semble bien avoir lu un article sur les femmes fontaine, mais j’étais loin d’imaginer, que je pouvais en être une. Ça me fait vraiment bizarre.
Je viens de perdre pied. Je suis sur un navire qui tangue, prêt à se retourner.
Entre deux fortes jouissances très arrosées, un bref instant, j’aperçois Ange, avec un verre à la main. Il me regarde.
Ce simple regard me fait jouir de nouveau. Ensuite, Maria s’écarte et m’embrasse comme une amoureuse, nos langues se mélangent ainsi que nos salives.
Je passe le reste de la soirée à les servir, lui et la femme, qui n’est que son épouse officielle. Je suis leur bonniche, subissant les moqueries, allusions grivoises et mains baladeuses de Maria et d’Ange.
– Eh bien ? Je ne savais pas qu’il était marié.
– Euh? Oui, mais ils ne vivent pas ensemble, je crois, du moins, je ne l’ai jamais vu chez lui.
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