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L’enseignante, Ma Chienne Ch. 04

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Anal

Traduction d’un récit de Erlikkhan.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Karen est furieuse. Carl n’a pas seulement baisé sa fille, il l’a transformée en esclave sexuelle. Elle prend un couteau et se dirige vers la porte. Elle n’a aucune idée de ce qu’elle va faire. Elle est tellement en colère qu’elle ne peut penser correctement. Et sa colère est décuplée quand elle voit pendre la culotte de Katie au doigt de Carl. Elle s’avance vers lui.

Tout se passe si vite que Karen n’a pas le temps de réagir. Carl lui tord le bras dans le dos la débarrasse du couteau. Puis il claque son visage contre le capot de la voiture. Il tire son autre main derrière son dos et attache les deux avec sa ceinture.

– Est-ce le moyen de remercier quelqu’un qui a montré ce qu’est la vie à votre fille? Vous devriez me remercier Mme O’KEEFE. Je crois que Katie n’a jamais été aussi bien baisée et je suis sûr qu’elle n’a jamais eu de bite dans son cul avant ce soir.

Carl tire sa tête en arrière par les cheveux. Il frotte la culotte tâchée de sperme sur le visage de sa professeure puis il la fourre dans sa bouche. Avec le couteau, il coupe son petit haut en coton et il l’attache autour de sa bouche pour maintenir la culotte en place. Karen se débat mais elle n’arrive pas à se dégager et elle ne peut pas demander de l’aide.

– Vous pouvez goûter le jus de chatte de votre fille mélangé avec mon sperme. Katie est une vraie femme fontaine, tout comme sa mère.

Karen cesse de se débattre pour pouvoir contrôler sa respiration par le nez. Le goût fort du sperme et du jus féminin emplit sa bouche, confirmant ce que Carl lui dit. Puis elle sent que son short est coupé par le couteau. Il va la baiser dans son allée et il n’y a rien qu’elle puisse faire pour l’arrêter.

Un fois qu’il a complètement retiré le short de sa victime, Carl arrache sa culotte. Il fourre deux doigts dans la chatte chaude et déjà juteuse et il les remue. Puis il pousse son pouce dans le trou du cul.

– Mme O’KEEFE, vous êtes une femme très vilaine. Vous êtes venu ici pour que je vous baise. Sinon pourquoi votre chatte coulerait-elle comme une chienne en chaleur?

Elle sait qu’il a raison. La plus grande partie de sa colère n’est pas de la faute de Katie. Mais c’est plutôt sa chatte qui veut la queue de son élève et elle y a pensé toute la nuit. Les doigts du garçon quittent son corps et elle sent le gros gland à l’entrée de son sexe. Il pousse et remplit rapidement le gros vide dans son ventre. Elle voudrait le haïr mais c’est peine perdue. Elle veut sa bite, elle veut être baisée.

Carl coupe son soutien-gorge avec le couteau et saisit ses seins. Sa queue martèle brutalement sa chatte. Le jeune homme sait qu’elle aime ça car elle incline son cul pour qu’il la pénètre plus profondément. Il pince les tétons, les tire de plus en plus jusqu’à ce qu’elle ressente de la douleur. Karen laisse échapper un gémissement étouffé à travers la culotte dans sa bouche.

Karen est en feu. Elle se plaque contre sa queue à chaque fois qu’il l’enfonce en elle. Elle veut cette bite au plus profond de sa chatte. Quand il tire et pince ses mamelons, ça agit comme un aphrodisiaque. La pression dans son ventre est insupportable. Karen sait qu’elle va bientôt avoir un orgasme.

Carl sent le corps de sa professeure se tendre. Il pousse son membre profondément dans la chatte humide et chaude. D’une main il tire sa tête en arrière et de l’autre il pince un des mamelons. Du jus de la chatte de Karen coule sur sa bite et ses couilles. Mme O’KEEFE gémit et halète avec la culotte dans sa bouche. Carl continue de marteler sa chatte. Il tire sur l’autre téton. Un autre orgasme déchire le corps de la femme.

Carl remarque un mouvement du rideau au premier étage. Katie est debout derrière sa fenêtre. Elle sait que rien ne va. Elle sait qu’elle devrait réveiller son père ou appeler la police, mais elle est figée sur place. Elle s’aperçoit que Carl la regarde et qu’il sait qu’elle le voit baiser sa mère. Elle sait comment doit se sentir sa maman avec la bite du garçon dans sa chatte. Elle voudrait ressentir la même chose. Elle porte une main sur un de ses tétons et une autre entre ses jambes.

Carl sort sa queue de la chatte de sa professeure dont le corps tremble encore sous l’orgasme. Il presse son gland contre le trou de cul. Karen se raidit quand il s’enfonce dans son anus d’un coup dur. Trois coups plus tard, il est complétement enterré dans le cul de sa victime. Carl saisit ses hanches et commence à pilonner sans relâche le petit trou serré.

Karen grimace sous la douleur. Le garçon n’a rien fait pour la préparer à cette sodomie brutale. Elle se débat, mais avec ses mains attachées derrière son dos, elle ne peut rien faire alors que la bite déchire son cul encore et encore. Des larmes coulent sur ses joues. elazığ escort La douleur commence à se calmer.

Dans sa chambre, Katie glisse une main derrière elle et entre ses fesses. Bientôt son doigt trouve son trou du cul encore endolori. Elle le masse tout autour puis elle enfonce la pointe de son doigt dans l’ouverture. Lentement, tout son doigt trouve son chemin dans le tunnel sombre. Son autre main est sur sa chatte. Carl est toujours en train de la regarder.

– Vous avez un cul serré Mme O’KEEFE. Tout comme Katie. Elle n’a pas aimé au début non plus, mais ensuite elle a joui si fort que sa chatte a éclaboussé partout.

Karen se sent sale et humiliée d’être sodomisée. Et c’est désagréable de se faire baiser par la même queue qui était dans le cul de sa fille plus tôt dans la nuit. Alors qu’elle réfléchit, elle sent qu’elle se détend et que sa chatte commence à couler.

Carl continue avec méthode d’enculer sa professeure. Puis il accélère. Il tire le bâillon dans la bouche et le resserre. Il lève les yeux vers Katie alors qu’il sert fort et lève la tête de Karen. Katie regarde sa mère avec la culotte imbibée de sperme dans sa bouche. Elle est excitée de savoir que sa mère peut goûter le jus de sa chatte avec le foutre du garçon.

Karen est soulevée du capot de la voiture par le cou. Carl la sodomise debout. Il soulève le couteau et pose le bout pointu sur les mamelons durs. Karen sent des soubresauts de plaisir et de douleur traverser son corps. Carl pique la peau aux points sensibles tout en faisant attention de ne pas l’égratigner. Il voit que Katie regarde attentivement.

– Je pense que vous êtes sur le point de jouir Mme O’KEEFE. Peut-être devrais-je titiller votre clitoris?

Karen sent la lame froide descendre sur son ventre. Carl pousse la poignée du couteau dans sa chatte. Elle est si proche de l’orgasme. Elle veut désespérément en finir. Quand il ressort le couteau et pique son clito avec la pointe, elle explose. Ses jambes deviennent toutes molles. Du jus gicle de sa chatte et dégouline sur la lame du couteau. Elle veut crier mais le garçon l’étrangle trop fort pour qu’un bruit puisse s’échapper.

Katie ramasse ces ciseaux à ongles sur sa table de chevet et passe le bout pointu sur ses mamelons durs, tout en regardant le spectacle dans l’allée. Elle a maintenant deux doigts dans son cul. Son corps la brule tandis qu’elle regarde ce que fait Carl à sa mère. Elle déplace le bout des ciseaux jusqu’à son clitoris. Elle regarde sa mère jouir. Quelques instants plus tard elle halète. Son jus intime coule de sa chatte sur ses cuisses.

Carl tire sa professeure et la force à s’agenouiller. Il attrape ses cheveux et fourre sa queue entre ses lèvres. Son gland se presse dans la gorge. Il maintient la tête de la femme et continue à pousser jusqu’à ce qu’il voie sa bite pénétrer plus profondément. Finalement ses couilles tapent le menton de Karen. Sa queue est bien au fond de sa gorge.

Karen ne peut pas respirer et elle est impuissante à faire quoi que ce soit avec les mains attachées dans le dos. Elle étouffe sur la bite et lutte désespérément pour trouver de l’air. Finalement le garçon se retire. Puis il remet sa queue et baise son visage rapidement et brutalement, enfonçant parfois son membre tout au fond et le tenant là quelques secondes. De la bave coule des lèvres et mouille les couilles.

Carl coupe le bout de son doigt avec le couteau et laisse goutter le sang sur sa bite alors qu’elle entre et sort de la bouche de sa professeure. Le goût du sang est stimulant. Karen ressent des picotements dans sa chatte. Elle veut toucher son clitoris mais ses mains sont toujours attachées dans son dos. Le sang coule sur ses lèvres et dans sa bouche. Soudain son corps se tend et sa chatte se contracte. Du jus recommence à couler sur sa cuisse.

Katie regarde par la fenêtre. Elle suce deux doigts tour en se masturbant. Elle a coupé l’un de ses doigts avec les ciseaux et elle suce son sang. Elle voudrait que la bite de Carl soit dans sa bouche, elle voudrait que Carl lui fasse ce qu’il fait à sa mère. Elle frotte sa gorge pour se souvenir quand le garçon avait forcé sa bite dedans.

Carl retire sa queue de la bouche de Karen et la pointe sur son visage. Il lève les yeux vers Katie. Karen sent la première giclée sur ses lèvres et son nez, la suivante sur un œil et la joue. Puis le sperme chaud éclabousse son front. Quand son élève a fini, elle a le visage qui dégouline de foutre. Carl remonte dans sa voiture et la laisse, agenouillée dans l’allée, les mains attachées dans le dos.

– Merci d’être venue me voir Mme O’KEEFE. C’est bien qu’une mère s’intéresse aux affaires de sa fille. Je vous reverrai bientôt toutes les deux.

Carl fixait Katie quand il a éjaculé sur le visage de sa mère. La jeune fille a eu un autre orgasme. Elle regarde le garçon partir en laissant sa maman sur les genoux dans l’allée avec de gros traits de sperme dégoulinant sur son menton. Karen essaie erzincan escort de se lever mais elle tombe. Après s’être débattue pendant plusieurs minutes, elle arrive à libérer ses mains.

Elle ramasse lentement ses vêtements déchiquetés et se dirige, nue, vers la porte de la maison. Ses genoux ont été égratignés sur le gravier de l’allée et sa gorge est douloureuse de ce que lui a imposé Carl. Mais malgré tout, son corps est satisfait. Elle était sortie pour se faire baiser. Le couteau n’était qu’une excuse.

Katie se glisse sous ses draps tout en réalisant que plus rien ne serait pareil. En une nuit, son monde a été bouleversé. Elle est devenue une esclave sexuelle d’un garçon qu’elle connait à peine. Elle s’est masturbée en regardant ce même garçon baiser sa mère sauvagement et lui provoquer orgasme sur orgasme comme il avait fait pour elle. Katie est à la fois effrayée et excitée par l’avenir.

******

Le jour suivant, Karen a une discussion sérieuse avec sa fille. Katie lui raconte tout ce que Carl lui a fait et pleure sur son épaule. Karen est surprise de la facilité avec laquelle sa fille accepte de rester loin du garçon à l’avenir.

Katie écoute sa mère et, pour certaines choses, est d’accord avec elle. Ses pleurs sont authentiques. Elle est effrayée. Mais maintenant qu’elle sait que sa mère est une pute, ça n’a plus d’importance. Elle acquiesce pour tout. Elle accepte de rester loin de Carl, mais elle n’a nullement l’intention de tenir sa promesse.

Après cette conversation entre mère et fille, Karen est partie voir Carl chez lui. Elle attend que les parents du garçon partent pour frapper à la porte. Il ouvre, elle entre et lui fait une proposition. S’il reste loin de Katie il pourra l’avoir quand il le voudra et comme il le voudra. Pour lui prouver sa résolution, elle ouvre son chemisier pour lui montrer ses seins.

En réalité Karen est excitée de lui faire cette offre. Bien sûr, elle veut garder Carl loin de Katie, mais elle est surtout venue pour se faire baiser. Carl est amusé et se montre hautain. Il n’a pas l’intention de laisser Katie, mais il décide de s’amuser un peu avec Mme O’KEEFE.

– C’est très généreux de votre part Mme O’KEEFE. Nous pourrions commencer… Je pense que j’aimerai… Voyons… De cette façon!

Carl attrape le bras de la femme et la plaque le visage contre le mur. Il lui tord le bras jusqu’à ce qu’elle grimace de douleur. Il passe une main sous la jupe et arrache sa culotte. Quelques instants plus tard, il sort sa bite bien raide de son pantalon et l’enfile dans sa chatte. Il pousse violemment.

Karen sent la grosse bite pénétrer profondément en elle. Il n’a pas besoin de la prendre ainsi, mais elle est contente qu’il l’ait fait. Elle aime être bousculée. Son bras est douloureux alors qu’il le tord encore plus haut dans son dos. Elle recule son cul pour mieux sentir sa queue et essayer de faire en sorte qu’elle s’enfonce plus profondément en elle. L’autre main du garçon pince et tire un de ses mamelons si fort que la douleur traverse sa tête. Quelques secondes plus tard elle jouit.

Carl la jette à terre, attrape ses cheveux et fourre sa bite dans sa gorge. Il baise sa bouche sans relâche. Elle peut à peine réagir. De la bave coule sur la queue, son menton et ses seins. Sa tête est inclinée dans son dos alors qu’il fourre sa queue dans sa gorge. Elle étouffe à chaque fois qu’il est au fond de sa gorge.

Carl peut bientôt sentit qu’il va éjaculer. Il se retire de sa bouche et se masturbe. La première giclée de sperme tombe sur le front et les yeux de Karen, la deuxième remplit sa bouche et couvre ses lèvres. Et avant qu’il finisse, il avait aussi souillé ses cheveux et le reste de son visage. Puis il remet sa bite au fonde de sa gorge pour ne pas perdre les dernières gouttes.

– Ne bougez pas Mme O’KEEFE! Et ne vous nettoyez pas!

Carl tend la main et prend un appareil photo numérique sur le guéridon du couloir. Il commence à prendre des photos. Karen ne sait pas pourquoi elle le laisse faire. C’est humiliant. Il pourra utiliser les photos pour la compromettre. Et pourtant…c’est excitant, exaltant bien que désagréable et dégradant.

Carl lui fait sucer sa bite avec du sperme dégoulinant encore sur son visage. Il prend une photo. Il la fait mettre à quatre pattes, le cul bien en l’air, la tête regardant en arrière et prend de nombreuses photos d’elle, de sa chatte et de son cul. Il lui demande de mettre un doigt entier dans son trou du cul et fait une photo. Il enfourne sa bite dans sa chatte puis dans son cul et il continue à faire des photos.

Enfin il pose l’appareil sur la table et il le met en mode automatique, une photo toutes les cinq secondes. Il attrape une chaise et s’assied dessus. Il fait s’assoir la professeure lentement sur sa queue tout en fixant la caméra. Il guide sa queue dans le trou du cul. Il lui ordonne de frotter son clitoris et de doigter sa chatte tout en le chevauchant. Il tend les mains et pince les erzurum escort tétons, les tordant jusqu’à ce qu’elle jappe. L’appareil photo continue d’enregistrer des images.

Karen ne peut se retenir. Elle frotte son clitoris de plus en plus vite jusqu’au moment où sa chatte gicle sous un orgasme. Quelques secondes plus tard, Carl grogne et éjacule dans le cul de sa professeure. La caméra photographie toujours tandis qu’il la relève lentement et que le sperme s’échappe de son trou du cul ouvert et tombe sur la queue et les couilles de Carl.

– Regardez les dégâts que vous avez faits Mme O’KEEFE! Nettoyez tout avec votre langue et regardez bien l’objectif pendant que vous le faites. Il la jette par terre et attire son visage sur son sexe. Karen sort sa langue et lèche sa bite pour la rendre propre. Elle n’oublie pas de regarder l’appareil photo. C’est la chose la plus dégoûtante et la plus humiliante qu’elle n’ait jamais fait. Pourtant elle aime ça. Elle est comme sa fille. Elle est son esclave sexuelle. Il peut faire tout ce qu’il veut et elle le laissera faire. Si seulement il pouvait rester loin de Katie.

– Ecoute Carl, j’ai fait tout ce que tu m’as demandé. Tu resteras loin de Katie d’accord?

– Pour ça alors, je veux t’avoir comme je veux. Et je veux te baiser devant ton mari, je veux qu’il voie à quel point tu aimes mon sexe.

Il lui dit ce qu’il compte faire. Elle n’aime pas ça, mais quel choix a-t-elle? Au moins Katie ne sera pas là quand ça arrivera. Elle doit passer la journée chez une amie. Karen est soulagée.

*****

Comme prévu, la porte arrière est ouverte quand Carl arrive. Il porte une cagoule. Il trouve le professeur O’KEEFE, le mari de Karen, dans son bureau.

– Bonjour professeur, vous ne me connaissez pas mais moi je vous connais. Ne bougez pas!

Le fusil qu’il approche de la tête de l’homme n’est pas chargé, mais le professeur ne le sait pas. Carl lui attache les mains et le bâillonne. Ensemble ; ils partent à la recherche de Mme O’KEEFE. Carl sait déjà qu’elle est dans la chambre à coucher. Il jette l’homme sur une chaise et lui attache les pieds.

– Bonjour Mme O’KEEFE, avez-vous déjà rêvé d’être baisée devant votre mari? Je parie qu’il a comme fantasme que ça se réalise. Enlevez vos vêtements!

Comme il lui avait dit la veille, elle essaie de courir. Carl attrape son bras et la jette sur le lit. Il arrache le chemisier puis le soutien-gorge. Ensuite il enlève la culotte et la jupe. Le mari se débat sur la chaise, mais il peut à peine bouger.

Karen n’arrive pas à croire les sensations qui traversent son corps. Elle devrait se sentit humiliée et en colère. Au lieu de ça, sa chatte dégouline. Elle peut sentir ses tétons nus gonfler. Elle aime ce que fait le garçon, et devant son mari ça l’excite encore plus.

– Je ne vous le dirai qu’une fois Mme O’KEEFE et vous feriez bien de comprendre. Si vous faites tout ce que je dis, je ne mettrai pas de balle dans la tête de votre mari. Une seule erreur et PAN il est mort.

Carl pose le canon du fusil sur la tempe de M. O’KEEFE et l’arme. Karen hoche de la tête affirmativement. Alors Carl la saisit par le bras et la jette sur le sol.

– Bon, tout d’abord vous allez vous mettre à genoux et sucer ma bite. J’espère pour votre mari que vous savez sucer une bite.

Karen s’agenouille et déboucle le pantalon du garçon. Elle est impatiente de voir la grosse queue et de s’en régaler, de sentir ses lèvres glisser sur le bâton de chair. Elle baisse le pantalon et admire le gourdin qui pend devant son visage. Elle en salive. Elle regarde son mari. Celui-ci hoche la tête pour l’encourager. Elle essaie de ne pas sourire.

Elle fait semblant de ne pas savoir comment faire. Elle sort sa langue et touche la bite, puis elle pose ses lèvres dessus. Elle la regarde alors qu’elle revient lentement à la vie. Finalement elle prend la queue dans sa bouche et la sent continuer à se développer. Quand le membre est bien raide, elle fait glisser ses lèvres dessus et elle fait tournoyer sa langue sur le gros gland.

– Je croyais vous avoir dit de sucer ma bite, pas de vous amuser avec Mme O’KEEFE. Votre mari ne vous a jamais rien appris alors je vais vous donner une leçon.

Carl attrape les cheveux de la femme et tire sa tête tout en tenant sa bite dans sa bouche. Elle n’a pas d’autre choix que d’ouvrir grande la gueule. Le garçon tient ses lèvres serrées contre son pubis jusqu’à ce qu’il sente qu’elle ne peut plus respirer. Il tire la tête en arrière. Karen halète et bave. Il remet sa bite au fond de la gorge en disant :

– C’est mieux comme ça, ouvre bien que je puisse baiser ta bouche.

A plusieurs reprises il claque sa queue dans et hors de sa bouche. A chaque fois il lui tient bien la tête pour coincer son membre au fond de la gorge. Karen bave partout et fait des bruits de succions. De temps en temps Carl bloque sa queue au fond de la gorge jusqu’à ce que sa professeure ait désespérément besoin d’air.

Karen est complètement excitée. Plus il lui baise la bouche violemment, plus sa chatte s’humidifie. Elle aime quand il l’étouffe avec sa bite. Elle n’en a jamais assez et elle aime que son mari soit forcé de regarder.

– Pourquoi ne montrez-vous pas à votre mari à quoi ressemble une pute avide de bites?

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Le Club – Partie 32

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CHAPITRE 32

EMILY

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, hatay escort sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Serena prit une grande inspiration et tapa à la porte du bureau d’Antonin Marius.

– Entrez, fit la voix puissante du commissaire.

Toujours aussi nerveuse à l’idée de rencontrer cette pourriture, la procureure poussa la porte et entra.

Marius l’attendait assis derrière son grand bureau d’ébène, Anna Belknik, assise en face de lui dans sa blouse de technicienne qu’elle portait en permanence quand elle se trouvait au commissariat central. Serena ferma la porte derrière elle et s’avança pour aller prendre la place à côté d’Anna. Les deux femmes n’échangèrent aucun regard et restèrent silencieuses, attendant les consignes du commissaire.

– Anna, fit-il, tu as les résultats des tests que j’ai demandés?

– Oui, répondit la technicienne. Ils sont positifs. Les corps retrouvés dans le hangar incendiés ont été identifiés comme étant ceux des membres de l’unité de William Fossett. Il ne manque qu’Emily Proctor et bien entendu Shemar Morgan.

– Tu en es certaine?

– Tout à fait, j’ai pratiqué moi-même les prélèvements et les comparaisons génétiques à partir du fichier national des officiers de police. Il n’y a pas d’erreur possible. Pour être sure, j’ai également comparé les empreintes digitales et dentaires quand elles étaient identifiables et les résultats ont tous été positifs. La dernière victime a également été identifiée à partir du même fichier : il s’agit de l’inspecteur Hugo Galliano, porté disparu depuis presque deux mois suite à l’attentat perpétré contre le palais de justice.

Marius s’adossa contre son siège et poussa un soupir. Certes, il restait encore à retrouver le dénommé Serfati qui rendait nerveux la totalité de ses collègue du Club mais savoir que Fossett ne se mettrait plus jamais sur sa route constituait une véritable libération. Il chassa cependant rapidement Fossett de ses pensées pour se concentrer sur l’autre raison de cette rencontre et il se tourna vers Serena.

– Tu as monté le dossier que je souhaitais?

– Oui, confirma la procureure. Il est accablant et je ne connais pas un seul juge qui ne signera pas les mandats de dépôt à l’encontre de Michel Ordoz. Je ne sais pas comment vous avez eu ces preuves mais…

– Et tu n’as pas à le savoir, la coupa Marius. Ton boulot c’est d’exécuter mes ordres pas de poser des questions malvenues.

Serena afficha une expression choquée. En dépit du traitement de choc qu’elle subissait depuis plusieurs semaines, elle ne s’était toujours pas totalement faite à ce nouveau rôle d’esclave que Marius voulait lui faire endosser et il aimait la voir se plier à contrecœur à son diktat.

– Décidemment, tu ne comprends rien à rien, souffla-t-il. Il faut vraiment te répéter les choses mille fois pour que tu les acceptes. Debout!

Serena se crispa devant cet ordre, elle soupçonnait qu’il sous-tendait une sanction. Depuis qu’elle dû se soumettre à la volonté de ce salopard, elle était devenue la victime privilégiée de ses défoulements pervers. Elle se leva en fixant Marius du regard, craignant sa réaction.

– Enlève ta jupe, ordonna-t-il.

Elle se tendit devant cet ordre et elle hésita de longues secondes avant de s’exécuter à contrecœur. Elle fit glisser la jupe grise de son tailleur strict jusque au niveau de ses chevilles pour dévoiler un string en dentelle noire qu’elle était contrainte de porter en permanence. Tentant d’oublier sa gêne de se retrouver fesses nues, elle reporta son attention sur Marius. Cependant, elle ne se concentrait pas sur la bonne personne puisque dans son dos, Anna s’était redressée en s’emparant d’une cravache qui était cachée sous sa chaise. Serena tourna la tête une seconde trop tard pour voir la technicienne lever son instrument de torture en direction de son fessier. A sa grande stupeur, le cuir vint frapper sa fesse gauche et elle se retourna pour croiser le regard froid et déterminée de celle qu’elle avait un jour considérée comme une amie.

– Retourne-toi! Lui intima Marius, et penche-toi ığdır escort bien! La punition ne fait que commencer.

Marius la sentait hésitante mais il était aussi enchanté par la détermination affichée par la jeune technicienne. Depuis qu’il avait soumis Serena à sa volonté, il s’amusait de ces petits jeux de punitions croisées qui entretenaient l’animosité entre les deux femmes. En effet, chacune accusait l’autre d’être responsable de sa situation actuelle et en faisant alternativement l’une la tortionnaire de l’autre, ils les empêchaient de concentrer réellement leur haine envers le véritable responsable de leur déchéance : lui.

Serena se retourna vers lui et il eut le plaisir de lire la détresse dans son regard. Bien entendu, il se montra inflexible et elle finit par abandonner toute résistance et se pencha sur le bureau offrant ainsi ses fesses à la vindicte d’Anna. Cette dernière ne se fit pas prier pour faire abattre le feu de sa rage sur la seule personne contre qui elle pouvait se défouler. Au premier coup de cravache, la jeune procureure fit une grimace qui se transforma en un rictus de douleur au troisième. Au cinquième, elle se coucha sur le chêne du bureau et des larmes apparurent au coin de ses yeux. Marius profitait du spectacle de cette punition et d’ailleurs, il sentait monter en lui une excitation qu’il allait devoir assouvir.

Il se leva et fit le tour du bureau. Il attrapa le poignet d’Anna alors que celle-ci avait relevé le bras pour donner un nouveau coup. L’expression de colère qu’affichait la technicienne se mua immédiatement en peur dans l’attente de la décision de celui qui la tourmentait depuis de longs mois. Cependant, il semblait avoir décidé à ce que Serena soit la seule victime expiatoire de cette journée et il se contenta de repousser Anna pour prendre sa place dans le dos de la procureure. Il passa le revers de la main sur ses fesses marquées par le traitement et il la sentit frissonner de peur. Il écarta alors le fil de son string pour libérer sa raie culière et insinua son pénis entre ses deux globes fessiers si parfaits. Elle se redressa en comprenant qu’il se préparait à la sodomiser mais elle réagissait bien trop tard. Pour éviter qu’elle ne tente de se dérober au dernier moment, il pesa de tout son poids sur son dos pour l’obliger à retrouver sa position pliée en deux sur le bureau. Son gland pressa alors contre le sphincter de son anus et il en força l’entrée avec vigueur. Elle redressa la tête en criant. Ce n’était pas la première fois qu’il la sodomisait. Contrairement à Anna, il n’avait pas attendu bien longtemps avant de s’emparer de cette virginité de peur de se voir voler sa privauté comme cela était arrivé avec la technicienne. Cependant son canal rectal était loin d’être habitué à ce genre d’invasions barbares et il continuait à lui serrer le pénis d’une manière fabuleusement jouissive. Il fit coulisser doucement son sexe dans ses intestins, goûtant autant au plaisir du rapport en lui-même qu’à l’humiliante douleur qu’il induisait chez sa partenaire contrainte. Il finit par l’emmancher totalement et ses bourses se plaquèrent contre sa peau si douce. Il prit un instant de respiration avant de commencer à la pistonner. Les cris de la procureure redoublèrent alors d’intensité ; le sexe de son violeur allait et venait dans son rectum ressortant presque totalement pour se réenfoncer au plus profond de ses entrailles avec une énergie encore plus forte. Marius continua ce petit jeu pendant de longues minutes mêlant ses râles de plaisir aux cris et pleurs de Serena. Finalement, il se sentit au bord de la jouissance et décida de mettre Anna à contribution. Il se retira brutalement de l’anus de la procureure dans un « flop » presque comique pour plaquer son pénis contre la bouche de la jeune technicienne qui, par pur réflexe conditionné, ouvrit la bouche pour l’accueillir. Elle commença donc à sucer ce sexe en pleine érection et dut avaler le sperme qu’il lui déversa au fond de la bouche seulement quelques secondes plus tard. Le commissaire enserra sa tête entre ses mains pour l’empêcher de l’écarter et ainsi la contraindre à ingurgiter la totalité du liquide séminal. Quand il la libéra, elle prit une grande respiration entrecoupée de quinte de toux qui lui permirent de recracher quelques gouttes de spermes qui lui restaient accrochées à la gorge.

Comblé Marius retourna vers le siège de son bureau et s’y assis.

– Réservez votre soirée, mes petites, déclara-t-il. Ce soir, nous participons à une petite fête entre amis.

Anna releva la tête et afficha de nouveau son sourire mauvais. Sans rien dire, elle posa la main sur la fesse droite de Serena et cette dernière ferma les yeux en sentant ce contact en comprenant ce que cela signifiait : elle avait déjà eu l’occasion de voir la marque au fer rouge gravée sur la fesse droite de la jeune technicienne.

CHAPITRE 2

Lorna assista impuissante à l’entrée des hommes de Marie-Pierre dans l’enceinte de la villa. Elle avait espéré que le système de défense de cette forteresse résiste bien plus longtemps aux tentatives d’intrusion ısparta escort même d’hommes aussi expérimentés que les commandos du réseau. Elle soupira en se demandant ce qui pouvait expliquer une telle défaillance mais se rassura en se disant qu’au moins maintenant elle pouvait suivre l’évolution des envahisseurs.

Elle en avait dénombré 6 qui s’étaient séparés en 3 groupes de 2 afin de couvrir plus de surface. Elle comptait bien profiter de cet éparpillement des forces. A 2 contre 1, elle avait bien plus de chances qu’à une contre 6. Elle décida donc de quitter la salle des commandes pour prendre ses ennemis à revers. Elle s’empara d’un GPS directement relié à l’ordinateur central de la salle des commandes qui lui permettrait de suivre les mouvements de ses ennemis et d’ainsi conserver son avantage tactique.

Elle sortit de la salle et emprunta un escalier qui lui monter d’un étage. La villa était immense et représentait un véritable labyrinthe. Jusqu’à ce soir, vivre dans une telle maison lui avait parut ridicule mais maintenant elle en comprenait l’avantage. Jamais ses adversaires ne se seraient séparés si l’espace à couvrir n’avait pas été aussi vaste. Elle observa son GPS et vit que deux de ses adversaires se trouvaient à seulement trois mètres d’elle dans un couloir voisin. Elle se plaqua dans un renflement de la paroi afin de se rendre la plus invisible possible et attendit. Tant qu’ils restaient en mouvement, ils étaient bien plus vulnérables qu’elle. Elle entendit le bruit de leur pas ; ils étaient silencieux mais pas encore assez pour surprendre une femme aussi expérimentée qu’elle. Quand ils furent à seulement un mètre d’elle, elle sortit de sa cachette et ouvrit le feu. Ils furent totalement pris au dépourvu et les balles sorties de son arme munie d’un silencieux firent mouche. Ils s’écroulèrent lourdement sur le sol et Lorna se détendit une seconde…et ce fut une seconde de trop.

Elle ne sentit la troisième présence qu’une fois qu’elle fut sur elle. Elle se retourna pour parer le premier direct du droit de son agresseur mais elle prit quand même un coup de genoux dans le ventre qui lui coupa la respiration. Elle recula de deux pas pour s’offrir plus d’espace pour lutter et vit que son adversaire était une femme.

– Marie-Pierre, comprit-elle.

Marie-Pierre Pomi ne dit rien et continua à avancer froidement vers elle telle la veuve noire qu’elle était toujours au fond d’elle.

CHAPITRE 3

Le juge de Saint Servier aimait toutes ses petites visites à l’école Oscar Bono mais celle-ci promettait d’être la plus savoureuse de toutes. Le directeur Laroquette avait affirmé au téléphone que les petites étudiantes étaient désormais toutes parfaitement formées et n’attendaient plus que le bon vouloir des membres du Club.

– Vous êtes sûr de ce que vous affirmez, mon ami? Demanda-t-il. Elles sont toutes prêtes?

– Jugez-en par vous-même, fit Laroquette. Allons les voir.

– Très bien!

Le juge se leva mais Laroquette resta immobile en dévisageant Morgan assis à côté du juge.

– Un problème? S’étonna de Saint Servier. Monsieur Morgan est désormais l’un des nôtres comme vous le savez.

– C’est que ce n’est pas tout à fait vrai, réfuta Laroquette assez gêné. Il n’a pas encore rempli toutes les conditions pour devenir un membre à part entière du Club et donc…

– Alors disons qu’il est mon invité, s’énerva le juge.

Laroquette se crispa. Le juge était une personnalité influente et celui qui avait rendu possible son entrée au sein du club et la dernière chose qu’il souhaitait était bien de le froisser. Il décida donc d’accéder à sa requête même si voir ce noir sorti de nulle part obtenir sans aucun effort des privilèges qu’il avait dû suer sang et eau pour acquérir le rendait malade.

Les trois hommes rejoignirent donc le dortoir des jeunes étudiantes. Au moment où ils passèrent la porte principale, une sonnerie s’enclencha et il ne fallut qu’une minute pour voir toutes les portes des chambres s’ouvrir et une dizaine de jeunes filles s’aligner le long du mur du couloir. De Saint Servier reconnut sans problème la plus proche d’entre elle : Sonia Ordoz. Il avait déjà sauté plusieurs fois cette jeune salope qui était la plus ancienne des esclaves de Laroquette mais il fut attiré par un détail intéressant : la tenue vestimentaire de l’étudiante qui était visiblement aussi celle de toutes ses petites camarades. En plus de son collier de chien — ustensile désormais banal chez les esclaves de Laroquette, elle portait une jupe écossaise très courte qui révélait la naissance de ses fesses visiblement nues en dessous ainsi qu’un chemisier blanc à manche courte qui lui laissait le nombril à l’air.

– Superbe uniforme, complimenta le juge. Excellente idée!

– N’est-ce pas, répondit fièrement le juge. Je voulais maintenir une certaine discipline et puis ainsi, elles sont bien plus… accessibles.

Il jeta un regard en direction de Sonia qui se figea avant de se retourner et de se cambrer outrageusement vers l’avant en écartant les jambes. Sa petite jupe se retroussa naturellement dévoilant toute son intimité à la vue des trois hommes. Laroquette ne se gêna pas pour glisser sa main entre ses cuisses ainsi offertes mais il ne s’attarda pas sur la jeune fille qui ne représentait aucunement une nouveauté pour ces hommes venus en quête de chair très fraîche.

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La Panne de Métro

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Amateur

C’est le soir, il est même assez tard. Je ne suis pas rentrée directement de ma journée de travail, je suis allée « traîner » seule sur St-Denis et prendre une bière en écoutant le blues qui se joue dans un petit bar. Ça m’arrive quelquefois.

Dans le métro, à cette heure-ci, il y a relativement peu de monde. Deux ou trois stations plus loin je me retrouve seule avec un homme à l’abord fruste qui me regarde en coin. Je vois son regard et malgré moi ça me fait de l’effet. Mais je ne le montre pas parce que par ailleurs il n’est pas le genre d’homme que je souhaiterais faire entrer dans ma vie, pas le genre d’homme auprès duquel je serais fière de me montrer. Or je ne me vois pas commencer une aventure avec quelqu’un à qui je devrais ensuite expliquer le plus posément possible qu’il ne m’a jamais intéressée.

Bref, je reçois avec plaisir ses coups d’œil appuyés sur mes jambes, mes hanches, mes seins. J’ouvre même en moi quelque chose qui accueille le désir que je sens sourdre de lui et qui m’excite. Je vais jusqu’à bouger négligemment d’une façon peut-être un peu provocante… Mais j’affiche un air indifférent, je ne regarde pas vers lui, et même je me reprends – prise de honte en me disant que je me comporte en allumeuse. Pourtant je ne suis pas inquiète puisque je descends bientôt et retrouverai davantage de monde. Que peut-il m’arriver dans le métro où tout va si vite?

Je me lève parce que la prochaine station est la mienne. Puis, soudainement, entre les deux stations, le métro s’arrête. J’ai une pointe de panique au fond de moi mais je me reprends. Il va sûrement redémarrer bien vite…

Je suis debout face à la porte, la main accrochée à la barre et, pour la forme, je pousse un soupir qui se veut d’impatience. Je veux comme prendre à témoin l’homme qui se tient pas très loin de moi, une façon comme une autre, j’imagine, de vite replacer notre rapport sur un plan plus ordinaire. Je lui adresse un petit sourire mais il ne bronche pas. Il est toujours assis au même endroit, les yeux fixés sur moi, ses grandes mains posées sur ses cuisses épaisses, et au lieu de me renvoyer mon sourire, il promène son regard sur mes seins, mon ventre, mes cuisses… Je me sens rougir et me détourne de lui, me sentant même nue tout à coup parce que je ne peux lui cacher mon cul mis en évidence par ma robe moulante.

Ensuite, ce sont les lumières qui flanchent d’un seul coup. Là, j’angoisse pour de bon.

Je tends l’oreille vers cette présence proche, mon cœur bat plus vite.

Le bruit est imperceptible. Comment est-ce possible d’un homme si massif? Mais il a bougé. Les muscles de tout mon corps sont tendus. Quand je comprends qu’il est tout près de moi je n’ai même plus le temps de m’éloigner. Déjà, son souffle est sur moi. Je veux réagir mais son corps lourd me bloque: je suis entre la porte et lui.

Je voudrais dire quelque chose mais rien d’intelligent ne me vient. Lui ne dit rien non plus. Et je sais bien déjà que contre lui je n’ai aucune chance, sinon que le métro redémarre. Mais il reste obstinément bloqué et nous sommes toujours dans l’obscurité.

J’ai le corps plaqué contre la porte du métro, je sens le pénis de l’homme à travers le tissu contre mes fesses. Je m’arc-boute et tente de le repousser mais mes efforts sont dérisoires. Ses mains, sans perdre de temps, s’insinuent sous ma jupe et remontent le long de mes cuisses. Je lui crie de me lâcher et je prends en même temps conscience du fait qu’il est bien sûr seul à m’entendre. Évidemment il ne tient pas compte de mes mots ; il me traite de salope et c’est la première fois que j’entends sa voix, sourde, grave.

Il me retient les mains derrière le dos…. Je sens un objet sur mes poignets… la froidure du métal… il me menotte!

Puis, il me retourne face à lui et se presse contre moi. Je ne peux maintenant lutter qu’avec mes jambes. Tout s’est fait si vite… Je suis certaine qu’il attendait ce moment depuis longtemps.

Qui est-il? Un employé de banque? Un simple commis au physique ingrat qui a peu de succès avec les femmes et qui se tourne vers les films pornos où il se délecte de scènes de viol en fantasmant qu’il baise ces femmes ligotées livrées à sa langue, ses doigts, sa queue? Depuis combien de temps arpente-t-il les corridors et les rames du métro à la recherche d’une jeune femme pour assouvir ses instincts? Suis-je sa première victime? En a-t-il violé d’autres avant moi? Comme j’ai été stupide de l’aguicher….

– Tu sais que tu es bandante….

Sa voix me ramène à la réalité. Je sens son eskişehir escort haleine fétide: cigarette et alcool… Il a une main sur mes fesses, l’autre palpe mon sein gauche par dessus mon pull.

Il est interrompu par la voix nasillarde du contrôleur provenant du haut-parleur de la rame:

— Suite à une panne majeure, nous serons immobilisés pendant environ 30 minutes. Nous vous remercions de votre patience.

De petites ampoules d’urgence jetant une lueur blafarde s’allument au plafond des wagons.

– 30 minutes, nous avons le temps de faire connaisance, non?

Je me débats, j’essaie sans succès de le frapper avec mes jambes…

— Ça s’habille comme une petite putain. Ça joue à l’allumeuse et ça ne voudrait pas se faire toucher… Tu n’es qu’une petite salope et je vais te montrer ce qui arrive aux petites salopes comme toi qui jouent à faire la putain…

— Lâchez-moi, non, non, je ne veux pas… vous n’avez pas le droit…

Je crie en essayant d’échapper à son étreinte.

— C’est ça, débats-toi, petite salope, ça me fait bander encore plus! Vous êtes toutes pareilles… vous ne demandez qu’à vous faire baiser…

Il m’empoigne par les cheveux alors que de son autre large patte, il cherche le chemin entre mes cuisses.

— Comment tu t’appelles, hein? C’est quoi ton nom?

— A… Anne, lui dis-je, lâchez-moi, je vous jure, je ne dirai rien…

— Bien sûr que tu ne diras rien, ma petite Anne et tu sais pourquoi? Parce que je vais mettre ma grosse queue dans ta bouche et que tu vas la sucer, tu m’entends bien?

Sa main me retenant toujours par les cheveux, je ne peux que lui souffler: “noooooon… pas ça….je ne veux pas…”

Il me dégoûte… Je ne peux croire à ce qui m’arrive…

— À genoux, salope.

Il me force à m’agenouiller devant lui. Mon visage n’est à quelques pouces de son entrejambe. La fermeture-éclair de son pantalon forme une bosse qui cache son érection.

— Tu vas bien me sucer et tu vas avaler tout mon jus… sinon…

Je n’ose penser à ce que ce “sinon” veut dire. Je suis effrayée mais ne peux détourner mon regard de son entrejambe. Il y a plusieurs mois que je n’ai pas été avec un homme.

Il descend sa fermeture-éclair. Sa main s’enfonce dans l’ouverture de son pantalon, écarte les pans de son caleçon, empoigne le sexe bandé. Son gland apparaît devant mon visage. De couleur violacée, la forme est arrondie, les rebords relevés, le méat, au bout duquel perle déjà une goutte de sperme, est long et bien dessiné. Le reste de son pénis jaillit bientôt devant moi. Longue, sa queue est épaisse, très rigide. De grosses veines bleutées et saillantes courrent le long de sa verge. Tenant toujours sa bitte en main, il se met à frotter son gland sur mes joues, mon nez, mon front, mon menton.

— Suce, suce-moi, salope… m’ordonne-t-il en appuyant son dard sur mes lèvres.

Il cherche à glisser son gland entre mes lèvres. Je sens son odeur musquée. Je recule la tête, je ne veux pas… ce qu’il me demande là est ignoble…

— Suce, suce-moi… crie-t-il, d’un ton hargneux.

En me retenant par les cheveux, il ramène ma figure vers sa queue. Je ne peux échapper à la fellation qu’il m’oblige à lui faire. Résignée, je le laisse me pénétrer… Déjà, son gland s’appuie contre mon palais. Je dois me résoudre. Il ne me laissera pas avant d’avoir obtenu son plaisir…

À contrecoeur, mes lèvres se referment sur son gland. Les mains menottées derrière le dos, à genoux devant lui, je suce le sexe de cette brute, de cet abuseur. Cette caresse, je la procure à un homme qui me viole, qui veut éjaculer dans ma bouche en me prenant de force. Ultime outrage, il m’obligera aussi à avaler son sperme… cette caresse que je n’ai toujours réservée qu’à mes plus proches amants…

– Ah ouiiiiii…ouiiiiiii….

Son pénis est maintenant bien engagé dans ma bouche. Son va-et-vient s’accélère…

— Salope, tu vas me faire venir… T’aime ça, hein, avoir un gros gland dans sa bouche? Suce, putain, suce…

Sa verge se durcit dans ma bouche. Son plaisir est tout proche. Il va jouir. Je sens sa queue se raidir davantage et se contracter entre mes lèvres prête à faire gicler sa semence.

— Aaaaaaaaaahhhhhhhhhhh…….. salope!!!

Le premier jet de sperme atteint le fond de ma gorge. Les deuxième et troisième sont presque tout aussi puissants. Je me force à tout avaler. Je me souviens de sa menace… mais son éjaculation est trop abondante gaziantep escort et sa semence au goût acre coule sur ma joue.

Son pénis est encore bandé lorsqu’il le retire d’entre mes lèvres. Je reprends mon souffle. Je ne peux encore y croire… ce salaud a violé ma bouche…

Je me relève péniblement en m’appuyant sur la porte du wagon…

– Détachez-moi maintenant…

Ma voix est faible, mon ton suppliant.

— J’ai fait ce que vous vouliez.

Je veux rentrer chez moi, prendre une bonne douche et effacer de ma mémoire ce cauchemar…

— Te détacher? Mais, il nous reste encore 20 bonnes minutes… et tu sais qu’on peut faire plein de choses en 20 minutes…

De nouveau, il me plaque contre la porte. Sa queue à moitié bandée se presse contre ma cuisse nue. Le sperme qui continue à s’en échapper glisse sur ma peau.

Il m’empoigne encore par les cheveux. Son autre main, se referme sur mon sein droit qu’il commence lentement à malaxer par dessus mon pull…

— Non, non… vous m’aviez promis.

— Promis? promis?… mais je ne t’ai rien promis, moi. Crois-tu vraiment que je vais te laisser partir avant de t’avoir vue à poil, salope?

Je supplie, je gémis, je crie, rien n’y fait. Ma résistance et mes protestations ne font que l’attiser davantage. Déjà son pénis a repris toute sa vigueur. Je sens les veines saillantes de sa verge sur ma cuisse…

Il a relevé mon pull. Mon petit soutien-gorge en dentelle noire qui recouvre à peine mes seins est maintenant le seul obstacle entre la nudité de ma poitrine et sa grosse main rude.

— T’as de belles boules fermes, putain. Laisse-moi les voir…

Sa main est maintenant dans mon dos. Avec agilité, il dégrafe ma brassière. Le souffle court, la bouche entrouverte, me regardant dans les yeux, son visage à quelques pouces du mien, il enveloppe de sa grosse patte rugueuse mon sein rond et ferme dont la pointe est dressée bien plus de honte et de peur que de plaisir…

Mon soutien-gorge et mon pull relevés à la hauteur de mon cou, sa main courre bientôt partout sur ma poitrine, malaxant, pressant, palpant, pincant mes petits mamelons rosés.

— Hummmm ….magnifiques… de beaux seins fermes. De beaux petits mamelons durs. Je suis sur que ton copain bande lorsqu’il les caresse. Je sais que t’aimes ça te faire toucher, salope…

Sa bouche est sur mes seins, il les lèche, les suce, les mordille. Ma poitrine est couverte de salive. Je me débats mais il me retient fermement par les cheveux…

Pendant que sa bouche passe d’un mamelon à l’autre, sa main a soulevé ma jupe et se plaque sur mes fesses pour les caresser…

— Quel beau petit cul tu as, putain… De belles petites salopes dans ton genre, je dois d’habitude les payer ou les prendre de force. Mais toi, j’aurai pas besoin de te payer… je vais te violer, ma petite Anne…

Viol… ce mot mot tabou raidit mon corps. Je cherche à atteindre son entrejambe avec mes genoux mais il me retient fermement contre lui, me prévenant de toute attaque. Le salaud a du se caresser toute la journée, se délectant du matériel pornographique qui l’excite tant.

Le sperme qui a rempli ma bouche n’était là qu’une partie de la semence qui gonfle encore ses testicules…

Il me retourne violemment. Je suis maintenant arqueboutée, penchée vers l’avant sur un des bancs de l’allée centrale, le ventre appuyé sur le dossier, les mains sur le siège. Il a fait tomber son pantalon jusqu’à ses chevilles et il est nu à partir de la taille.

— Viens, viens me montrer ta petite fente…

Ma jupe est relevée. J’entends le tissu qui craque alors qu’il déchire ma culotte.

Il a maintenant complètement accès à mon anus et à mon vagin.

Je ne peux refermer les jambes sous peine de perdre l’équilibre. D’un de ses bras, il me retient penché vers l’avant. Sa main libre est déjà sur ma toison.

— Hummmmmm… Tu es mouillée, salope. T’aimes ça, hein? T’aimes te faire mettre comme ça? Ça te plait de te faire enfiler de force?

J’ai honte de la moiteur qu’il trouve entre les lèvres de mon sexe. Honte d’avoir à afficher devant un inconnu la traîtrise de mon corps.

Il ne faut pas qu’il sache qu’un frisson a couru sur mes reins lorsqu’il m’a forcée à le sucer… que mon sexe s’est contracté pendant qu’il mordillait mes mamelons. Je n’ai pas envie de lui. Toutes les sensations que j’ai ressenties n’étaient qu’involontaires…

— Non.. non.. lâchez-moi… je ne veux pas…

giresun escort Salope… toi, tu me dis non mais ta petite fente chaude et humide me dit oui, elle…

Un de ses gros doigts est en moi…. puis un deuxième…

Son pouce frotte mon clitoris déjà gonflé alors que ses doigts entrent et sortent de mon vagin.

Je gémis à nouveau:

— Nooooon.. Noooooon…

Non, je ne veux pas qu’il me touche. Non, je ne veux pas ressentir de plaisir…

Pourtant, c’est là le fantasme qui m’habite depuis que je suis adolescente… Toutes ces fois où je me suis donnée du plaisir en pensant à une scène semblable, où jai demandé à mes partenaires de m’attacher et de me prendre de force…

Mais toute cela n’était que fantasme, que jeu. Rien à voir avec cet homme qui me viole…

Je ne devrais pas… il ne faut pas que je lui montre…

Il continue à jouer avec mon sexe….

— Ah ouiiiiii… mouille encore plus, ma putain. Tu sais que tu n’es pas la première que je viole et qui aime ça?… Dis-moi: lorsque tu es seule dans ton lit, te branles-tu en pensant qu’un homme t’oblige à sucer sa grosse bitte? Jouis-tu en pensant que tu te fais enfiler de force?

D’un geste vif, il glisse son gland entre les lèvres gonflées de ma vulve.

— Ahhhhhhhhh….

Je gémis de honte, de peur… et de plaisir. Ces émotions mêlées, troubles m’amènent à contracter de nouveau mon vagin…

Je sens sa queue me remplir complètement. Son poil est sur mes fesses, ses grosses couilles molles se frottent sur mes cuisses.

— Ah oui, serre-là bien ta petite fente étroite, Anne. Sais-tu que je te viole et que je vais venir dans ta chatte???…

— Noooon… noooooon… Je ne veux pas… noooooon…

Je me déhanche… Est-ce pour me libérer de cette ignoble pénétration ou est-ce plutôt pour m’ajuster à son rythme?… je ne sais pas… je ne sais plus… j’ai la tête qui tourne… Il a entré un pouce dans son anus et de l’autre main, il frotte mon clitoris qui, malgré moi, s’allonge encore…

Je sens ses violents coup de butoir contre mes fesses. Jamais, chez tous les hommes qui m’ont baisée, n’ai-je senti un tel désir, une telle urgence de me posséder…

Il va jouir dans mon sexe… Il me force et, malgré moi, je mouille….

Il me ramone le sexe, me fouille, me remplit…

— Prends-la bien ma queue… tu te fais fourrer par en arrière comme un animal… Ahhhhhhhh…. petite chienne…. je jouiiiiiiiiis……

Je le sens éjaculer en moi… sa semence gicle au fond de mon ventre.

Même après avoir longuement éjaculé, il continue à me pénétrer dans un lent va-et-vient… Il laisse sa queue dans mon vagin pendant de longues minutes, dure, bandée… savourant l’étroitesse et la moiteur de mon sexe.

— Petite salope, tu m’as fait bien venir. Et toi aussi, je sais que tu as aimé. Avec tes airs de ne pas y toucher, tu n’es qu’une petite putain qui ne demande qu’à être violée. Il faudra bien se revoir à nouveau. J’ai des copains qui l’aimeraient bien ta petite chatte étroite. Je suis certain que tu aimes qu’on la lèche… Ça te plairait d’être attachée sur un lit, qu’on déchire tes vêtements et que 3 ou 4 hommes te baisent, hein? dit-il, en se penchant en avant pour m’empoigner les seins et me pinçer les mamelons…

Sous cette caresse, mon vagin se contracte encore… À nouveau, j’ai honte de lui montrer mon plaisir…

— Salope, tu en voudrais davantage, hein? Peut-être que le conducteur de la rame aimerait bien aussi venir t’enfiler…

Flash… Je le vois venir me pénétrer ce vieux cochon, ventru, à la queue courte et large. La réalité, mes fantasmes… tout se mêle dans ma tête… Il faut que tout cela se termine…

Mon souffle est court… je respire avec peine… je n’arrive plus à penser clairement…

Lentement, il se retire de mon vagin. Sa queue est luisante de mes sécrétions.

Je sens son gland contre mon clitoris… Je sais que s’il avait eu plus de temps, il m’aurait aussi enculée…

Son sperme coule sur mes cuisses.

Soudain, les lumières se font plus vives. L’électricité revient alors qu’il est en train de me libérer de mes menottes.

Brusquement, le métro se remet en marche.

Dès que je le peux, je me dégage de son étreinte et je courre vers le fond du wagon. J’attache mon soutien gorge, replace mes vêtements et glisse ma culotte déchirée dans mon sac à main.

Je sens ses yeux sur moi lorsque le métro entre en gare. Les portes s’ouvrent. Je courre vers la sortie. Dans le reflet d’une fenêtre, je le vois. Il me regarde partir en passant sa langue sur ses lèvres…

Je ne l’ai jamais revu… sauf dans mes rêves érotiques où lui et ses copains me violent encore et encore…

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Qui suis-je vraiment? 01

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Bdsm

Je m’appelle Laurence, et je suis âgée de 35 ans. Je suis divorcée depuis 4 ans maintenant, et vis seule avec mon fils de 8 ans. Je réside depuis ma séparation dans un 4 pièces au 3eme étage d’un ensemble immobilier en banlieue parisienne.

Ma vie depuis mon divorce se concentre autour de mon enfant et de mon travail, en tant qu’assistante comptable au sein d’une grande Société.

Par contre, côté cœur c’est le désert ou plutôt c’était …

En fait, il y a deux ans je m’étais décidé à mettre un terme à mon célibat. Pour être honnête, les relations physiques commençaient à me manquer. D’autant plus que mon ex-mari n’était pas mauvais sur ce plan. Il avait même le don de pimenter nos relations sexuelles de scénarii originaux que ma passivité complice encourageait.

Celui qui me revenait le plus souvent s’était produit lors d’un week-end en Normandie en automne. Habillée d’une jupe à bouton et d’un chemisier, nous nous baladions dans le bocage quand lui prît l’idée de jouer à un jeu.

L’idée en était simple, j’avais 15 secondes pour répondre à des questions tout en marchant. Si je trouvais j’obtenais le droit qu’il fasse le dîner et la vaisselle un soir. Dans le cas inverse, je devais déboutonner un bouton.

Certes, j’eu le droit à 6 jours de dîner servi par monsieur, mais je me retrouva en collant et seins nus.

Il me proposa alors un quitte ou double. Je me rhabillais entièrement si je gagnai ou je me mettais totalement nue et il me photographiait dans les champs, selon des positions dictées par son choix. Je relevai le défi et … perdis. La suggestivité des postures et les commentaires crus, me proposant de diffuser la dizaine de photos sur le net pour me faire plein « d’amis », finirent de m’exciter.

Le soir se poursuivit dans la chambre où après m’avoir longuement massée, mon cher mari décida de lécher tendrement mon clitoris. Cette caresse ainsi que les évènements de l’après-midi me donnèrent envie d’embrasser son pénis.

Il en profita pour disposer son sexe au dessus de moi et ainsi débuter un 69. Je lui proférai alors la fellation la plus sensuelle que je pus, alternant le titillement de son bout, avec la mise en bouche de tout son sexe.

Position qu’il stoppa 5 minutes plus tard pour me demander de me mettre à 4 pattes afin d’admirer mon « joli fessier », comme il le disait souvent. Il me pénétra doucement mais contrairement à d’habitude il me donna quelques claques sur mes fesses.

Cette nouveauté, a priori gênante, me dérangea sur l’instant, mais associée à la pénétration elle m’excita et déclencha un orgasme singulier. Mon visage et mon buste affalé sur le lit, mon mari prit alors son pied en éjaculant sur mes fesses, mais en me demandant de rester ainsi un petit instant. Je compris trente secondes plus tard que c’était pour immortaliser l’instant avec son appareil photo.

Malheureusement la monotonie du couple et les déplacements réguliers de mon mari ont mis cet aspect au second plan. Le divorce fût alors la seule solution que nous trouvions avec pour moi la garde de notre garçon tandis que mon ex partait deux mois plus tard en Italie refaire sa vie.

Néanmoins, avec le temps vous conservez que les bons moments en tête. Pour moi c’était ce souvenir qui revenait souvent, d’autant plus que j’étais seule depuis un bon moment.

Je pris alors un jour la décision de trouver quelqu’un. Sur le conseil d’amies, je m’étais tourné vers Internet et les réseaux de rencontres, où j’avais enregistré mon CV sur plusieurs sites connus de chacun. Il y eut quelques rencontres mais seule une se clôtura par une nuit à deux qui me fît regretter mon ex-mari.

Les prétendants n’étaient pas nombreux et chaque échec me pesait lourdement, rabaissant mon moral déjà bien fragile. Un mois après mon adhésion à un des sites, j’étais toutefois tombé sur un homme énigmatique et fascinant que je surnommerais « Nietzsche » (son surnom se rattachait à la psychologie).

Après des débuts classiques nos échanges étaient réguliers et de plus en plus intimes. Je lui décrivais mais joies, mes peines, mais aussi mes passions, choses que je n’avais que rarement faite même avec mes quelques amies. Je ne le connaissais pas et pourtant je me sentais en sécurité, en confiance, faisant disparaître cette barrière qu’est Internet. Je souhaitais le rencontrer mais je sentais chez lui le besoin d’aller plus de l’avant dans cette relation « épistolaire ».

Au cours d’un de nos échanges, nous nous sommes penchés sur nos goûts et aspirations érotiques. Après une heure d’échange, les choses prirent une tournure inattendue.

Il me demanda si j’étais coquine et comment j’aimais m’habiller.

Après un certain étonnement de voir des propos aussi directs, je me lançais en prenant la décision de l’aguicher un peu (peut-être désirerait-il me rencontrer rapidement ainsi?).

Je lui répondis donc :

– Moi : Avec mon 1,70 m et avec un 95 C on a des atouts pour aiguiser les envies. Oui, il m’arrive de mettre des vêtements sexy. A ta disposition pour te montrer kuşadası escort un échantillon un de ces jours.

– Nietzsche : Lesquels?

– Jupes, tailleurs, ou robes avec des petits hauts échancrés, … cela te convient-il?

– Cela pourrait, mais décris moi ce que tu porterais en été et en hiver pour m’exciter?

– Jupe légère dans les tons ivoire laissant ainsi deviner mon string et mes jambes à contre-jour. Quant au haut, un petit chemisier plongeant blanc et bien serré moulant ma poitrine. L’hiver serait plutôt un tailleur avec des collants à couture finalisé par des escarpins.

Cette description commençait à m’échauffer moi-même quand :

– Nietzsche : À voir pour l’été mais l’hiver manque franchement de sensualité. Les sous-vêtements sexy tels que les guêpières, porte-jarretelles, culottes fendues ou dentelles, ne semblent pas être ta spécialité. Quant à ce qui le cache c’est très classique.

Le coup fût rude et me déstabilisa. Je me sentais nulle. Mes réponses furent alors simples sans aucune connotation. De son côté, en fin psychologue, il en profita pour être de plus en plus direct. J’aurais pu néanmoins en rester là mais la confiance qu’il avait suscitée en moi me forçait à rester connectée.

– Nietzsche : En as-tu au moins porté dans ta vie?

– Moi : Oui pour faire plaisir.

– Si je te demandais d’en porter constamment avec des mini-jupes laissant deviner des atours, le ferais tu?

– Pourquoi pas?

– Ce n’est pas une réponse, c’est une fuite çà …

– Si je me sens en sécurité avec quelqu’un, alors oui.

– Aimes tu te dévoiler à l’extérieur? L’as-tu déjà fait?

Me rappelant instantanément mon aventure normande je répondis par l’affirmative au deux questions.

– Nietzsche : Prouve le moi!

Cette mise au défi me laissa pantelante. Que faire? Cet échange ne me choquait pas en soit, mais il me poussait au-delà des limites que je m’étais fixé. Après 10 minutes de réflexion sans aucun message venant de sa part, je me décidai d’envoyer les seules photos érotiques de moi.

En réfléchissant, je franchissais le pas car j’avais peur de le perdre.

– Nietzsche : Merci, j’attends que demain tu m’envoies un fantasme que tu souhaiterais réaliser.

Le jour suivant je lui envoyai depuis le bureau comme demandé un petit texte indiquant l’envie de faire l’amour avec un inconnu en forêt. Ce fantasme n’était en fait qu’un mélange entre l’excitation d’être découverte nue dans un endroit public et que l’inconnu soit mon interlocuteur du net.

Par la suite, nos échanges furent plus aléatoires, me laissant dans une attente difficilement supportable. Puis plus aucun mail de sa part. Il connaissait presque tout de moi et il avait disparu. Je le maudis d’autant que je m’aperçus que je n’avais plus aucune relation excepté lui.

Courrier :

Je me remis donc dans le train-train travail école maison, lâchant pour un tant les sites de rencontres. Je me disais que les bonnes années amoureuses étaient en fait derrière moi.

Quand un mardi, je récupérai dans ma boîte aux lettres un courrier à mon intention. Une fois chez moi je l’ouvris et faillit m’écrouler. Dedans, se trouvaient 4 photos très explicites de moi nue dans la campagne normande. Elles étaient assorties du texte dactylographié suivant :

« Quel outil magnifique qu’Internet … Je ne savais pas, Mme XXXXX, que vous étiez adepte de l’exhibitionnisme. Je souhaiterais donc avoir l’occasion d’en bénéficier moi aussi personnellement. A 22 heures ce soir une fois votre enfant couché vous allumerez la lumière et laisseraient les rideaux ouverts. Et vous ferez votre repassage entièrement nue. Demain vous recevrez un courrier comme celui là, je vous demande de bien vouloir faire tout ce qu’il y aura d’écrit.

Si vous souhaitez contacter la police faites bien attention, la Société YYYYY, vos voisins voire les copains d’écoles de votre fils seraient sûrement heureux de voir de telles images.

Merci d’avance …

Je ne savais plus que faire. Je pris la décision d’appeler le commissariat mais je raccrochai au dernier moment. Qui cela pouvait-il être? Mr. Nietzsche, mon ex-mari, ou un inconnu qui aurait profité que mon mari « tienne parole » en diffusant les photos sur le net? Et si oui, quel est cet inconnu, un voisin, un collègue de bureau?

J’étais perdu, je passai la soirée à laver, nourrir puis coucher mon enfant tel une zombie. Quand tout d’un coup je vis qu’il était 21H55. Résignée je pris la décision de « faire du repassage ». Néanmoins, je décida de ne montrer que le haut, et donc de porter un caleçon moulant. Comme cela si quelqu’un hormis le maître chanteur m’observait je pourrait laisser croire qu’il faisait chaud chez moi (difficile au mois d’octobre si j’avais eu encore les moyens de raisonner).

Pendant ce strip-tease, je scrutais les appartements me faisant face mais du fait du manque de clarté, il m’était impossible de repérer mon « admirateur ».

Une heure plus tard je partais kocaeli escort me coucher pour ne m’endormir que très tard dans la nuit.

Le lendemain, après y avoir pensé, je parti au commissariat. Toutefois, par peur d’avouer toute l’histoire j’indiquai qu’une amie avait peur de venir voir la police par rapport à des lettres de chantages et que je souhaitais savoir comment cela se passait pour pouvoir l’aider à franchir le pas.

Je passais la journée anxieuse au bureau, n’attendant que de récupérer mon garçon et … rentrer chez moi pour n’espérer voir aucun courrier à mon attention.

Mais il y avait bien une lettre similaire à celle du mardi. Une fois assise et mon enfant dans sa chambre, je l’ouvris :

« Tu ne souhaites pas t’exhiber sous mes yeux et tu vas voir les policiers!!! Ce n’est vraiment pas bien. Tu as deux solutions, sois tu fais ce qu’il y a écrit au verso de cette lettre soit tu seras connue dans le quartier. »

J’étais donc surveillée de très prés. Je décidai donc de tourner ce terrible courrier.

« Tu as pris une sage décision :

Tu vas mettre une robe et descendre aux vides ordures.

Derrière la poubelle N°2 se trouve une petite caméra. Tu la poseras sur le renfort du mur et tu l’allumeras.

Ensuite tu commenceras à danser et à te déshabiller.

Mais cette fois-ci je te veux nue.

Une fois terminée tu remettras tes sous-vêtements mais tu laisseras ta robe et la caméra bien sûr.

Tu remonteras chez toi ainsi.

Attention je te surveille. »

Dépitée je pris donc la première robe qui me vint (fort peu sexy je doit l’admettre) et je descendis pour effectuer ma séance d’exhibition. Mais au moment d’ôter ma culotte, j’entendis descendre quelqu’un je me précipita alors entre 2 poubelles bien caché avec la maudite caméra.

Un homme à priori (un pas lourd) resta quelques secondes pour déposer ses ordures puis repartit sans s’apercevoir à priori qu’il y’avait plus que des poubelles. Le stress passé je reprenais mon déshabillage, et finissais la séance en me caressant les seins et le sexe histoire de montrer mon assurance et mon courage, mais en fait cette situation m’excitait aussi un peu.

2 minutes plus tard, après une écoute attentive des bruits de couloirs vêtue de mon soutien gorge et de ma culotte je remontai par l’escalier de service afin de retrouver mon appartement. Fatiguée par la nuit précédente et satisfaite de ne pas avoir été découverte je pu mieux dormir.

Jeudi soir rien ; mais vendredi je retrouvais à nouveau un courrier que j’ouvris dans l’entrée sans prendre soin de le lire chez moi. Il y contenait une photo extraite de la vidéo de la nuit précédente et une missive indiquant ceci :

« Merci pour cette performance artistique. Demain à 9 heures tu iras dans le parc d’à côté, vêtue d’une jupe. Comme cela ton fils en profitera pour faire une grasse matinée.

Tu iras t’asseoir sur le banc en face de la statue. S’il est pris tu prendras le suivant sur la droite.

Tu auras alors 10 minutes pour enlever ta culotte et la déposer sous le banc.

Tu resteras ensuite 15 minutes jambes écartées. Pour me permettre de profiter pleinement de la vue de ton entrecuisse tu liras un livre que tu tiendras bien devant toi.

Enfin tu te lèveras et te baladeras dans le parc. Je veux que tu te penches lentement à trois reprises sans plier tes jambes afin de montrer sous un autre angle tes fesses. Après tu pourras rentrer. »

Samedi matin donc je me levai comme d’habitude vers 8 heures mais au lieu de réveiller mon fils, je pris une douche et m’habilla d’un Tanga et d’une jupe droite pour que je puisse passer les mains dessous et retirer au plus vite mon dessous.

J’avais une appréhension très forte mais par contre je n’étais pas effrayé ou dégoûté par ce qu’on me demandait de faire.

Arrivée dans le parc je trouvai le banc vide, par contre il y avait déjà du monde, notamment des joggeurs et des personnes passant par cet espace vert pour aller au marché. Au bout de 5 minutes je me lançai. Je retroussai ma jupe à mi-cuisse et passa mes mains sur les côtés. Je soulevai mes fesses et tira sur le tissu. Malheureusement, ma culotte fût rebelle et je dû m’y reprendre à plusieurs reprises avant qu’elle soit au niveau de mes genoux. Sûr on devait avoir tout vu.

C’est alors qu’un coureur arriva dans le chemin à 50 mètres de moi. Je me penchai immédiatement afin de cacher la position scabreuse dans laquelle j’étais, laissant croire que je cherchai quelque chose par terre, enfin je l’espérai. Rouge de honte je finis d’enlever ce Tanga que je posai par terre comme demandé.

J’ouvris mon livre et commençai à lire ou du moins à laisser paraître. Les jambes écartées je sentais l’air frais caresser mon sexe. Je m’imaginais alors mon voyeur inconnu se délectant du spectacle. Cela me fit partir dans un songe où mon inconnu arriverait derrière moi et d’un coup m’embrasserait fougueusement tout en me caressant les seins. A mon retour à la réalité je réalisais que konya escort j’étais dans cette position explicite depuis plus de 20 minutes.

Une fois levée, je commençai ma marche l’interrompant comme écrit dans la lettre d’inclinaison permettant à ma jupe de remonter à la lisière de mes fesses. La dernière fois, le vent s’invita sous celle-ci remontant la partie arrière au-dessus de mes fesses. Je remis promptement la jupe et me retourna.

Je découvris 4 hommes marchant derrière moi. Ne sachant pas s’ils avaient aperçus mon intimité je partis honteuse et humiliée de ce que je venais de faire.

L’après-midi je me demandais jusqu’où cela irait, ou jusqu’où je serais prête à aller, tout en me promenant dans Paris avec mon garçon.

De retour chez moi j’ouvris la porte et découvris une feuille m’indiquant de soulever mon paillasson. Une fois mon enfant éloigné je soulevais donc le dit objet et vis ma culotte laissée dans le parc, sur lequel était marquée : « Va dans le vide ordure récupérer un sac bleu dans la poubelle N°1. »

Téléphone :

Je courus pour récupérer le sac. Dedans, se trouvait la caméra de l’argent, de nouveaux des photos de ma séance du matin et une feuille de papier.

« Tu sembles y prendre plaisir… 20 minutes au lieu de 15. Je te laisse en tout cas voir tes exploits … plutôt bien pour une novice. L’argent doit servir à 3 choses :

1. Achète un portable et une recharge téléphonique que tu déposeras dans la poubelle de l’immeuble mardi matin à 9H00 précise.

2. Lundi midi tu iras t’acheter aussi 2 strings dont un en dentelle et l’autre ficelle pour seul rempart de tes fesses.

3. Enfin je veux que tu t’achètes un porte-jarretelles ainsi que deux paires de bas dont une avec couture apparentes.

Sur la boîte d’emballage tu inscriras tes numéros de téléphone (portable, maison et bureau).

En attendant film toi : remonte ta jupe et caresse toi mais plus langoureusement et longtemps que la dernière fois.

Bon massage et bonnes courses lundi. »

J’avais oublié de remettre ne serait-ce qu’un string sur mon sexe!!! Il allait encore une fois penser que j’apprécier ces requêtes. Je ne me défilais pas et me caressai ouvertement devant l’œil de métal. Mon sexe suintait indiquant clairement que j’y prenais un certain plaisir. A la limite de tremblements signe d’un orgasme proche je m’arrêta (pour mieux conclure cette masturbation dans ma chambre où je ne pus réprimer un cri évocateur). Auparavant je laissai la caméra, cachée comme demandée sous la poubelle.

Les achats réalisés, le portable déposé comme convenu la journée de mardi fût horrible. J’étais dans l’attente et l’indécision.

Appeler au secours auprès de la police pour mettre fin à ce chantage avec tous les risques que cela comporte, car j’avais tout de même acceptée certaines séances assez chaudes. Ou bien poursuivre ce jeu dangereux mais néanmoins excitant.

Après avoir mis au lit mon enfant je reçus enfin l’appel.

– Inconnu : Bonsoir Laurence.

– Moi : Bonsoir, qui êtes vous?

– Inconnu : Ce n’est pas à toi de poser des questions … J’ai pu encore découvrir tes exploits et je constate que tu dépasses la plupart de mes souhaits … Bon, as-tu achetées tout ce que je t’ai demandé?

– Moi : Oui.

– Bien, je vais te poser trois questions toutes simples. Attention à ce que tu vas répondre … Voici la première question : As tu aimé ces petits jeux érotiques?

Pas le temps de réfléchir et de méditer à la réponse la plus adéquate face à ce maître chanteur. Je pris le parti de dire ce que j’avais sur le cœur.

– Votre chantage est inadmissible vous n’avez pas le droit de faire cela!!!

– As-tu appréciée ce que tu as fait???

– Oui!!!

– Alors pourquoi t énerves tu? Bon réfléchis bien à ce que tu vas dire maintenant, je n’accepterais qu’une réponse …… Veux tu continuer? Si la réponse est non je te remettrais l’ensemble des preuves vidéo indiquant que tu as appréciée ça, et tu n’entendras plus jamais parlé de moi. Alors?

Je pris une minute cette fois-ci pour répondre. Au fond de moi j’avais apprécié la séance du parc, et donc je dis :

– Oui je veux bien

– Es tu prête alors à te soumettre à toutes mes demandes et envies?

– Oui je suis prête.

– C’est bien Laurence. Pour fêter cela tu vas immédiatement rassembler tes culottes et tes collants et les mettre dans le sac que tu avais récupéré. Jusqu’à vendredi tu ne pourras uniquement mettre que ton porte-jarretelles et l’un des deux strings achetés dernièrement. En ce mois d’octobre cela ne devrait pas être trop dur. Attention!!! si je vois que tu désobéis je mettrais immédiatement fin à notre relation.

– C’est d’accord.

– Pour pimenter le jeu, tu ne vas pas fermer le sac et tu vas le jeter par la fenêtre. Si tu as de la chance on ne verra qu’un sac dans le parc de l’immeuble, sinon, on risque d’apprécier tes goûts en termes de dessous, haha ha!!!

Je rassembla mes effets et les jetai par-dessus le balcon. Le choc fit apparaître quelques unes de mes culottes mais heureusement la nuit était déjà bien tombée. Tout d’un coup le téléphone retentit.

– Inconnu : Tu n’as pas oublié quelque chose?

– Moi : Non?

– Relève ta jupe immédiatement!

– Oh pardon j’avais oublié celle que je porte.

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Les malheurs de Sophie – Chapitre 04

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LES MALHEURS CHEZ MONSIEUR MARCEL

Le lundi, après la traditionnelle fellation prodiguée à son boss, l’adjointe est invitée par celui — ci à se relever et, toujours dénudée, à s’asseoir de l’autre côté du bureau.

Heureusement, pense-t-elle, j’ai fermé la porte et celle de mon bureau.

M. Christophe prend la parole :

– Réjouis-toi, j’ai réussi à prolonger ton contrat pour six mois! Malgré tes nombreuses erreurs survenues à tes débuts! Mais comme tu as fait preuve de bonne volonté et, surtout, d’une obéissance totale à mon égard, tu mérites une nouvelle chance. Signe ton nouvel engagement, qui est rédigé en trois exemplaires.

La jeune assistante s’exécute, avant que son chef ne lui tende un nouveau document, tout en la regardant avec des yeux méprisants et ne supportant pas le moindre refus :

– C’est un avenant un peu spécial, rien que pour moi. Lis-le, même si tu seras quand même obligée de le signer!

A la lecture dudit contrat, elle blêmit et manque de s’évanouir. Il lui semble que son cœur va sortir de son corps et que sa tête va exploser, sous le choc de ce qu’elle vient de lire :

« Je suis une bonne secrétaire particulière », car :

– Je prodigue toujours une pipe à mon supérieur, à la demande de celui-ci ;

– Je rencontre une fois par semaine mon collègue, Monsieur Paulus ;

– Je porte une tenue ultra sexy lorsque je vais « astiquer » ledit chef de production ;

– Lorsque je fais une turlute à un homme, je dois la faire à genoux, en regardant mon amant droit dans les yeux durant tout le temps où je lui dégorge le poireau. Avant d’avaler, je sors la langue afin de lui montrer que j’ai bien tout pris dans ma bouche ;

– J’offre systématiquement mes trois trous à celui avec qui je vais baiser ;

– Je suis d’une propreté impeccable. Ma chatte doit être lisse, constamment épilée, afin qu’il ne reste qu’un simple ticket de métro. Ce qui permet à mon soupirant de m’identifier comme une salope ;

– J’ai l’obligation de crier lorsque je couche avec un homme. Je dois d’abord le sucer longuement, pour que sa queue devienne bien dure, puis demander poliment à mon séducteur s’il accepte que j’enfourne sa bite dans mon vagin. Je ne peux forniquer que dans deux positions : à cheval sur mon partenaire ou en levrette. Celle du missionnaire m’est interdite. Une fois que j’ai joui, car je suis obligée de le faire, j’implore mon mâle de m’enculer et de se vider dans mes intestins ;

– J’accepte sans discuter une double ou une triple pénétration ;

– Durant la copulation, je dois m’exprimer avec des mots vulgaires, là encore pour renforcer mon image de chienne ;

– Je dois remercier systématiquement et crûment tout « amant » pour m’avoir permis de lui sucer la queue, puis de m’avoir baisée et enculée ;

– J’accepte les punitions de mon patron et maître si je me conduis en mauvaise secrétaire particulière.

La subalterne, interloquée, articule péniblement : – Mais… ce n’est pas possible… Monsieur, s’il vous plaît…

Son Directeur la reprend de volée : – Tais toi! Indique la date, écris « lu et approuvé » et signe au-dessus de ton nom complet! Bien sûr, on pourra rajouter des choses au fur et à mesure. Mais je crois que c’est un bon début. Et voici, pour le mois qui vient, ton nouvel horaire : tu commences, comme d’habitude à 8h30 du matin.

Avant d’ajouter, d’un air mystérieux : – Après ta pipe journalière, tu travailleras normalement. Et désormais, tu ne me feras plus de shampoing à la salive, et ce, kahramanmaraş escort ni le mercredi ni le vendredi.

– Pourquoi, Monsieur?

– Le mercredi, j’ai arrangé les choses pour que tu puisses te libérer le temps de midi. Tu réserveras, à ton nom, une chambre pour les quatre prochaines semaines à cet hôtel, dont voici l’adresse. Nous nous y retrouverons de 12h à 14h, afin que je puisse profiter longuement de tes charmes. On commence après-demain. Ce jeudi, tu iras en fin de journée chez un tatoueur qui pratique le piercing. Tu lui demanderas de te placer un brillant dans la narine droite et, toujours du même côté, un autre au-dessus de la lèvre supérieure de ta bouche. Enfin, tu t’en feras installer un dernier dans la langue, histoire de donner du plaisir à tes futurs mecs!

– Mais… mais… que vais-je dire à mon compagnon?

– C’est ton problème! Dis-lui ce que tu veux! Que tu as fait cela pour l’exciter!

Sophie est horrifiée par ce qu’elle entend. Mais ce n’est pas terminé. Son chef lui annonce une dernière obligation :

– Tu te souviens de ce que tu as dit à Monsieur Paulus lors de ta promenade dans les champs? Répète-moi ce que tu lui as proposé! Et souviens-toi des mots que tu as utilisés!

– Je… je lui ai dit… que je voulais… sucer… sa queue et avoir sa bite… dans mon cul…

– Et bien j’ai décidé d’exaucer ton vœu! Là encore, je me suis arrangé avec ton horaire. Tu quitteras, chaque vendredi, l’usine à 16h au lieu de 17h30. Et tu te rendras chez mon ami Marcel! Durant cette heure et demie de gagner, tu feras exactement ce qu’il te dit et tu lui obéiras sans discuter! Et gare à toi si ce n’est pas le cas : tu seras sévèrement châtiée! Chaque lundi matin, pendant que tu me suces, tu me raconteras en détail ce qu’il t’a fait! Cela m’excitera à mort, d’autant qu’il m’aura fait un rapport complet par téléphone dès le samedi matin! Va et file travailler!

Incapable de se concentrer sur son job, la jeune femme vit une semaine horrible. Pour la première fois, le mercredi, elle se rend à l’hôtel, demande la clé de la chambre réservée et, une fois son patron arrivé, se soumet péniblement à tous ses caprices. Méthodiquement, chacun de ses orifices est lentement investi. Tandis qu’elle est obligée de le chevaucher sensuellement, son supérieur claque durement ses fesses, la couvrant de propos injurieux : — C’est bien, salope, bouge ton cul! Putain, tu es vraiment douée avec une queue! Pas étonnant que tu ne saches rien faire d’autre! Mais t’inquiète, je vais faire de toi un vrai garage à bites!

Sa collaboratrice, de peur d’être punie, n’a pas oublié les consignes. Elle l’encourage, même si le cœur n’y est pas : – Merci, Monsieur, de me bourrer ma chatte avec votre grosse pine! Je vais bientôt jouir, si vous le permettez! Puis-je vous demander respectueusement de me fourrer ensuite votre queue dans mon cul?

Le sourire aux lèvres, car il sait que tout est faux dans les propos de l’assistante, mais dont l’abaissement l’excite au plus haut point : – Bien sûr, chienne! Tes désirs sont des ordres!

Au sortir de cette intense séance, elle n’est pas autorisée à s’essuyer et, penaude, tandis qu’elle retourne sur son lieu de travail, sent, comme lors de la promenade avec Paulus, le sperme de son patron couler le long de ses jambes. Elle est anéantie, d’autant que des rumeurs commencent à circuler au sein de la société. Des travailleurs masculins lui adressent d’ailleurs des remarques plus que salaces.

Après kastamonu escort le jeudi, où s’est rendue chez le tatoueur, le vendredi tant craint arrive inexorablement.

Complètement déprimée et stressée, Sophie arrive chez son vieux collègue, qui habite près de chez elle. De peur d’être vue, elle sonne immédiatement à la porte. Une voix bien connue, malheureusement, lui répond via le parlophone :

– Qui est-ce?

– Bonjour, Monsieur… Ouvrez-moi, s’il vous plaît!

– C’est pourquoi? interroge le chef de production, sur un ton pervers.

– C’est Sophie, ici! Ouvrez-moi, vite!

– Moi, je veux bien, mais c’est pourquoi exactement?

– Pour me faire baiser!

– Et c’est tout?

– Non! Pour me faire sauter! Mais aussi pour vous sucer la queue et avoir votre bite dans mon cul!

– Dans ce cas, je t’ouvre, Sophie!

La jeune femme s’engouffre dans la maison, dont l’entrée donne directement sur le salon.

Marcel l’attend déjà, nu, vautré dans le canapé. Tout de suite, il aboie : – A poil, petite salope! Défais très frusques et viens vers moi, en te déplaçant à quatre pattes!

La créature de rêve s’empresse d’obéir. Se déshabiller lui prend peu de temps, depuis que son boss l’oblige uniquement à porter des chemisiers avec des minijupes, sans sous-vêtements.

Elle enlève ses hauts talons.

– Quelle vicieuse! Tu ne portes même pas de dessous! Ramène tes fesses près de moi!

Désormais à genoux devant le sexagénaire, elle remarque son membre tendu à l’extrême. En très fâcheuse situation, elle n’a guère le temps de réfléchir à sa condition.

– Allez, chienne, viens prendre ta pâtée! Et ne fais pas ta mijaurée! Oui, cela fait deux jours, rien que pour toi, que je ne me suis pas lavé le jonc! Mais je suis sûr que tu vas aimer le renifler et le sucer comme une bonne femelle! Maintenant, au turbin!

N’ayant aucune alternative, l’employée s’exécute docilement, touchant le sexe dressé devant sa bouche, fermant les yeux pour se donner du courage face au mélange insoutenable de sueur, de sperme et d’urine. Elle sort sa langue pour lécher la hampe de Paulus de haut en bas, avant de la faire tourner sur le gland violacé.

– Garde les yeux ouverts et fixe-moi pendant tu me turlutes! Je veux voir ta gueule de pétasse! Et n’oublie pas mes couilles!

L’humiliation de la secrétaire est à son comble. Elle est obligée de gober les testicules velus, qui sentent fort la transpiration. L’odeur est écœurante mais la fille doit se forcer à le faire. Elle espère que son collègue va bientôt jouir, mais celui-ci se retient et, la prenant par les cheveux, l’oblige à enfourner son dard au fond de la gorge, s’enfonçant sans pitié. Sophie manque de s’étouffer et de vomir mais le vieil homme s’en moque :

– Alors, connasse, tu la sens bien ma queue?

L’adjointe constate amèrement qu’elle est de plus en plus réduite à l’état d’animal. L’auxiliaire est à nouveau tirée par la crinière, le chef de production se levant et l’entraînant sans ménagement vers la fenêtre située juste à côté de la porte d’entrée.

– Penche-toi! Les mains contre la vitre! Debout, jambes bien écartées! Je vais te sauter! On va voir si tu vas couiner!

La subalterne se souvient des consignes données par son patron. Elle doit les respecter, sous peine d’une sévère correction. Alors, elle l’encourage, tandis qu’il s’introduit brutalement dans sa chatte : – Oh oui, Monsieur Paulus, je vais crier! J’aime votre grosse bite kayseri escort qui coulisse dans mon vagin! Puis-je déjà me soulager? Comme cela, vous pourrez ensuite vous vider dans mon trou du cul! Le regard inquiet, tandis qu’elle simule bruyamment un orgasme, elle scrute, par la fenêtre, l’extérieur, espérant que personne ne vienne sonner, car elle serait immanquablement vue.

Le gros porc écarte les fesses de Sophie avec la paume de ses mains, et présente son sexe devant l’anus de la pure beauté. Crachant sur deux de ses doigts, il humidifie l’entrée du petit trou tant désiré. Il pousse d’un coup, rentre de quelques centimètres et arrache un cri à sa collègue, qui est sèche et sent la bite du vieux la perforer douloureusement. Pendant vingt longues minutes, celle-ci est sauvagement enculée, son tourmenteur ne manquant pas de s’exprimer vulgairement : – Putain, je suis en train de te l’élargir, ton œillet! Je vais en faire une roue de moto! Ah oui, je vais me vider les burnes dans tes boyaux, espèce de chaudasse!

Un liquide chaud se répand soudain dans les entrailles de l’adjointe du Directeur. Elle est soulagée que tout soit enfin terminé et n’oublie pas de remercier, comme il se doit, le vieil homme :

– Merci de m’avoir rempli le cul!

– De rien! A présent, tu dégages et tu rentres chez toi. Mais avant de partir, une fois que tu te seras rhabillée, tu essuieras ma pine sur ton chemisier et tu me nettoieras le gland avec ta langue. Après tout, s’il y a de la merde dessus, c’est la tienne!

Et l’homme de rire de son bon mot, avant, tandis que la fille quitte la maison, de lui asséner une claque sur sa fesse gauche : – A vendredi prochain, mon joli postérieur!

Exténuée, déshonorée comme jamais, elle rentre chez elle, prend un bain chaud, avant de vider une demi-bouteille de vodka. Elle se met tout de suite au lit, sans manger et malgré l’heure précoce. Quelques heures plus tard, elle se réveille, lorsqu’elle entend son compagnon rentrer en fin de soirée et la rejoindre dans leur couche. Elle se blottit dans ses bras et, assaillie de remords, lui prodigue une langoureuse fellation. Tandis qu’il éjacule abondamment, elle lui murmure un tendre « je t’aime ».

Et aussitôt, de peur qu’il soit surpris par sa nouvelle apparence, elle lui annonce qu’elle s’est fait mettre un piercing sur la langue pour lui offrir encore plus de plaisir. Les amoureux, pour une fois réunis le temps d’un week-end, passent leur temps à faire l’amour, l’employée ayant un besoin frénétique de se faire pardonner, même si son ami, ignorant tout, est heureux de cette sensualité exacerbée.

Dès le lundi, le retour au travail rompt cette parenthèse enchantée et ce répit temporaire. Pendant un mois, elle apprend à vivre avec une sordide routine : tout en faisant un pompier à son Directeur, elle est contrainte de lui raconter au retour de chaque week-end ce que Marcel lui a fait subir le vendredi précédent, avant de sortir sa langue pour bien montrer le sperme récolté, puis de l’avaler. Si le mardi et le jeudi, son patron se contente d’une simple fellation, le mercredi, durant deux heures, elle doit le satisfaire à la perfection. M. Christophe ne manque pas de rappeler à sa subordonnée que ce qu’il aime par-dessus tout, c’est de la baiser et de l’enculer « à couilles rabattues ». Mais son moment le plus pénible reste, tous les vendredis, sa visite hebdomadaire chez son vicieux collègue.

Celui-ci, chaque semaine, trouve toujours de nouveaux tourments à faire subir à la secrétaire, l’obligeant à faire, cuisses ou fesses écartées, des photos plus que pornographiques.

Par exemple, elle est contrainte de se branler avec un concombre ou encore de le faire bander en se servant de ses pieds. Et toute séance se termine de la même manière : Sophie est sauvagement enculée pendant une demi-heure avant d’être congédiée.

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Halloween

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Lesbian

CHAPTER ONE

Cora sat in the passenger seat of Rose’s VW Beetle, so excited that she could barely contain herself. The October sun cast long shadows across the road from the sparsely clad trees, their colorful leaves floating down like large snowflakes in February. Both girls were 1984 high school seniors and had recently turned eighteen.

“Oh, Rose, I’m so nervous. So much so that I’m going to chicken out. I can’t even believe we thought up this plan.”

Rose smiled. “You won’t chicken out. I won’t let you. And even if you do, I’ll speak with Randy and make it known you have the hots for him.”

“Oh, God.” Cora’s little feet bounced nervously on the floorboard. “Oh God, oh God, oh God. Do you think he’ll go for it?” Since puberty, Cora had a crush on Randy, Rose’s fraternal twin.

Rose giggled. “I suppose if he’s desperate enough, he will.”

Cora’s mouth went wide. “Shut up! You’re not making me feel any better about this.”

Rose giggled again. “You know I’m only kidding. You’re cuter than you think of yourself, even though you dress like a nerd.”

“Oh, and you don’t?”

Rose giggled, but it sounded more like a snort. “Yeah, I suppose you’re right. We’re nerds, so what?”

Cora frowned. “Randy won’t want to be with a nerd.”

“Hey, think positively about this. Randy likes you, and it’s been over a month since he and Liz broke up, and he hasn’t dated anyone else since. Plus, he’s grounded this weekend and can’t go to the big Halloween party, so yeah, I’d say if he’s horny and you’re available and willing, your chances of getting laid tonight are pretty good. And sex and love are synonymous with Randy. You two will probably end up getting married and having kids.”

“Oh, God. I’m kinda scared. What if the sex hurts too bad, and I can’t take it?”

“You’re silly. It won’t hurt too bad.”

“Oh, and how would you know?”

“Well, if sex hurt too bad, no one would ever do it.”

The girls passed house after house with lawns decorated in Halloween décor—ghosts and goblins, skeletons hanging from trees, witches on broomsticks, and Jack-O’-Lanterns sitting on porches.

Cora stared out the windshield silently for a moment before turning to Rose. “Is he…big?”

Rose’s lower jaw dropped as she stared at Cora. “How would I know?”

“Aw, come on, Rose. Cause he’s your brother. Surely you’ve seen it before, and don’t tell me you haven’t because I’ll know you’re lying.”

Rose giggled. “Okay, yeah, I’ve seen it before, and I’ll only say this about it—you should be well satisfied.”

“Oh, God, I don’t know if I can do it. He’ll probably brush me off and tell everybody I asked him to have sex with me.”

“Well, don’t ask him directly, silly. Just start flirting with him and see if he takes the bait.” Rose glanced at Cora. “And take those nerdy glasses off when we get to my house and put in your contacts. Did you bring anything nice to wear for him? Remember I told you he likes girls that dress nice.”

Cora bit her lower lip as she stared at Rose. “I bought a new costume this year and was going to wear it just for Randy.”

“A costume?” Rose slowly shook her head. “Oh, Cora. Is it something nerdy like you wore last year?”

“It’s a vampire costume.”

“But that’s what you wore last year—a silly, nerdy-looking vampire costume. Plus, you dress like the walking dead every day more and more here lately. Randy will probably think the costume’s your regular everyday attire. You’re starting to remind me of Wednesday Addams, and you might as well keep on what you have.

“Hey, what’s wrong with Wednesday? She’s cute.”

Rose shook her head. “Oh, Cora, you’re hopeless.”

CHAPTER TWO

Rose pulled into the driveway and parked under the old oak tree, then wrapped her long fingers around the gearshift and moved it to first gear before killing the engine. She watched a falling leaf slowly float down like a feather before landing on the hood of her car, its red tint blending almost perfectly with the vehicle’s paint.

“Rose, what is it?”

Cora’s voice shook Rose from her thoughts. She looked around the yard and then stared at Cora. “I don’t know. Something feels weird. Is it just me, or do you feel it too?”

“Yeah, it’s Halloween, and I may be having sex for the first time tonight. How weird is that?”

“No, besides that, something else feels strange. I can’t describe it except to say something’s off.”

“Good or bad?”

“Both.”

“Hmm, maybe tonight’s the night I’ll turn into a vampire.”

“Oh, stop it with your vampire bullshit again. Why are you so obsessed with vampires?”

“Hey, it’s Halloween. And I will be a vampire if only for tonight.”

Rose shook her head and sighed. “Oh, Cora, you’re a mess. Let’s go in.”

The girls grabbed their backpacks from the rear seat and headed inside the house.

“Hello, girls,” Rose’s mom called out from the kitchen.

“Hi, Mom.”

“Hi, Mrs. Schnider,” Cora said.

“Mom, what time is afyon escort Dad getting home?”

Stacy Schnider stepped into the living room. She still looked youthful for thirty-eight, and she and Rose looked so much alike that they were sometimes confused for sisters. Like Rose, Stacy had dark brown hair trimmed at shoulder length. She was petite but rather tall and stood at five-seven, a half-inch taller than Rose.

Stacy had a sad look on her face. “He’s not coming home tonight, honey. He called a little bit ago and said he was hauling a load to Destin. And from there, he’s going to Mobile and then Jackson.” Stacey wiped her left eye. “He won’t be home for another week.”

“I’m sorry, Mom. I know you miss him.”

“It’s just that I was looking forward to him coming home tonight.” Stacey slowly shook her head. “I even cooked his favorite meal—pot roast with potatoes and carrots.” She blew out a breath and shook her head again. “I think I’m going to go to the Halloween bingo with the ladies, get my mind off it. Will you girls be okay?”

Rose and Cora glanced at one another before Rose answered. “Yeah, Mom, we’ll be fine. We’re going to hand out Halloween candy and watch A HALLOWEEN TALE afterward. You have fun and stay out as late as you want. Don’t worry about us.”

The girls headed to Rose’s room and tossed their backpacks on the bed. Cora said, “Oh God, I can’t believe how this is all falling into place.”

Rose said, “Hey, I have an idea. I’ll pretend I’m not feeling well, and then you and Randy can have the whole evening to yourselves.”

“Oh, Rose,” Cora stared at her lifelong friend, concerned, “I’d feel bad dumping you like that.”

Rose giggled. “Nonsense. Hey, this is the opportunity you’ve been waiting for, right? You’ll make it up to me one day. Why don’t you go take a shower and try on your costume?”

“Okay.” Cora grinned from ear to ear. “I promise I’ll make this up to you one day, Rose.”

Rose walked to the living room, sat on the sofa, and mindlessly scanned the channels on the TV, anxious to see Cora come out of the bathroom in her new Halloween costume. Randy was in his room, probably sulking over being grounded. Mom and Dad were not home, and things were about to get exciting for little Cora. Would Randy take the bait? Rose had a strong feeling he would. He’d always liked Cora and even flirted with her on occasion. Well, not really flirted, but Rose had picked up on a few instances where Cora had caught Randy’s interest. After all, beneath her nerdy appearance, she was a pretty girl.

The bathroom door opened, and Rose stared in that direction. “Cora, what are you doing? Come on out. You’ve been in there forever.”

“I look ridiculous.”

“Let me see it.”

“I can’t wear this. It’s stupid.”

Rose hopped off the sofa and walked into the bathroom, where she found her friend staring at herself in the mirror. Rose’s jaw dropped when she saw Cora, and her eyes widened.

“Oh my God,” Rose said. “Where’d you come from? And what happened to my friend, Cora?”

The dress was burgundy, accented with black spiderweb designs, and it was short, to say the least. It came with long draping sleeves matching the spiderweb design on the dress and a red cape with a large collar and ruffled hem. But what really made the costume extremely sexy-looking on Cora was the black fishnet stockings that accented Cora’s pale thighs.

“You really like it?” Cora asked.

Rose looked Cora up and down, still amazed by the transformation. Cora’s dyed, might-black hair fell over her shoulders and stopped at her cleavage, where Rose’s eyes landed. Cora had always appeared nearly flat-chested, but the dress exposed half her milky-white breasts, only the size of softballs, yet alluring and sensual. “When did you get boobs?”

Cora giggled shyly. “Shut up! Is it too revealing? I probably shouldn’t wear it.”

“No, it’s perfect on you. I’m shocked, and you look sexy as hell.” Rose surprised herself with her statement.

Cora grinned from ear to ear. “You really think so?”

“Yes. You look smoking hot, girl. If I were Randy, I’d—”

Footsteps in the hallway broke the conversation. Rose stared in that direction and whispered excitedly, “Randy’s out of his room.”

Cora covered her face with her hands. “Oh God, Rose, I can’t do it. I can’t let him see me like this.”

“Why not? You want to seduce him, don’t you? He’ll be all over you. Let’s go see what he’s up to.”

“No, I can’t do it.”

Rose grabbed Cora’s hand. “Come on.” She pulled Cora across the bathroom with her only resisting halfheartedly. Rose continued pulling Cora down the hall, through the living room, and into the kitchen, where they found Randy.

“Hello, ladies,” Randy said. His eyes caught sight of Cora, and he catcalled at her. “Cora, my god, you look hot.”

Cora smiled shyly, and her cheeks turned red.

“Where are you going dressed like that?”

“Nowhere,” Cora said. “Rose and I thought we’d hang aydın escort out with you this evening and watch movies.”

Randy’s eyes ran up and down Cora’s body. “Oh—well—um—I wish I could stay, but I’m leaving soon.”

“But you’re grounded,” Rose said. “If Mom finds out, you’ll be grounded for six more months.”

“Mom knows. She’s okay with it.”

“Oh? So where are you going anyway?”

“To Liz’s. We need to talk.” Randy glanced between the two girls and saw disappointment on their faces. “What? I thought you girls would be glad to have the house to yourselves.”

Rose said, “Well, we were hoping you’d stay home and watch A HALLOWEEN TALE with us.”

“Some other time. Liz and I need to figure out whether we’re getting back together. You two enjoy yourselves.” Randy glanced from one girl to the other, gave Rose a sideways hug and a kiss on the forehead, and surprised Cora by doing the same to her. Then he grabbed his keys and headed for the front door. But before reaching it, Randy turned around and stared at Cora again. He said, “You really look sweet in that costume. You’re one hot vampire.”

Cora gave him a half-hearted smile. But on the inside, her heart was broken. And the worst thing about the situation was that she realized the plan would have fallen into place if it wasn’t for that snotty bitch, Liz.

“Bye, Randy.”

CHAPTER THREE

Cora slumped on a kitchen chair and laid her head on the table. “Oh, Rose, I’m so disappointed I could cry.”

Rose stepped up to Cora and softly stroked her long, dark hair. She’d always looked so tiny and fragile and looked even more so now. Rose had probably been as excited for Cora as Cora herself had been. Randy was a good guy—smart and handsome and could have been so good for her.

Rose said, “I’m so sorry, Cora. But, hey, maybe Randy and Liz won’t get back together. Maybe you’ll have another chance.”

Cora sat up and wiped her eyes. “I don’t know, Rose. I’m way out of his league. I’m a nerd, and he’s Mr. Popular.”

“Cora, did you see how he looked at you and the comments he made? He thinks you’re hot. You’ll get your chance.”

*****

The girls had each eaten a helping of Rose’s mother’s pot roast. They’d put away the food and washed their dishes. Dusk was falling over the neighborhood, and the trick-or-treaters would soon be there. Rose grabbed the Halloween candy from the pantry, and she and Cora walked to the living room and sat on the sofa.

Rose stared at Cora, who had just turned on the TV and was skimming channels. Cora sat cross-legged on the sofa, her knees spread apart and her feet under her thighs. Her costume dress covered nothing, her black panties were fully exposed, and even from where Rose sat, she could see the outline of Cora’s twat and even some exposed pubic hair.

“Cora, I can see your pussy.” It was only a thought in Rose’s mind that she’d mindlessly spoken out loud. The moment the words escaped her lips, her eyes widened.

Cora quickly sat up straight and tugged at the hem of her dress. “Shut up.” Her face turned red. “What are you doing looking anyway?”

Rose shrugged, and although she didn’t mean to say the words that popped into her head, she blurted them out. “Maybe I like what I see.”

Cora’s mouth went wide at hearing her friend’s comment. “Shut up!”

Rose knew Cora took the comment as a joke, but Rose had been serious. Why was she feeling this way toward her best friend? Was it that silly costume dress?

While Rose sat on the sofa mindlessly watching a TV program Cora had landed on, her mind was elsewhere, thinking about the new lust she’d developed for her best friend. Rose snuck sideways glances at Cora, admiring her little body and how the fishnet stockings accented her thighs. She wished more than anything at the moment to run her hand up and down them and squeeze those little breasts. But why was she feeling this way? She’d never considered herself to be a lesbian or even Bisexual.

An unexpected knock on the door broke Rose’s thoughts, and Cora hopped off the sofa and grabbed the Halloween candy.

“First trick-or-treater,” Cora said. She rushed to the door, opened it, looked out, paused, and then turned to Rose. “There’s no one here, strange.” Cora looked out again, looked right and then left, and suddenly let out an ear-piercing scream.

CHAPTER FOUR

Rose jumped off the sofa and sprinted toward the door where Cora stood, looking terrified.

“Cora, what is it?”

Cora pointed toward the end of the porch, and when Rose glanced in that direction, she screamed louder than Cora had and grabbed onto her friend. Sitting near the end of the porch and facing their direction was a lopsided Jack-O’-Lantern with jagged sawtooth teeth, a sinister crooked smile, and haunting eyes that glowed orange from the candle inside.

“Oh, Rose,” Cora cried, her voice shaky and terrified, “That looks just like—”

“—The Jack-O’-Lantern ağrı escort from A HALLOWEEN TALE,” Rose said, eyes wide and staring at the evil-looking thing. It looked almost life-like, and Rose would have sworn that she saw its mouth move.

A HALLOWEEN TALE was a movie series that aired a new two-hour show every Halloween and always started the same way. A Jack-Lantern would unexpectedly show up on the porch or driveway of a different family on Halloween. And as the evening progressed, the Jack-O’-Lantern would materialize in other parts of the house. When the evil being had had enough fun terrorizing the family, it would possess one or more of the family members and make them do horrific things. In last year’s movie, the Jack-O’-Lantern had fused itself with the eldest son, giving him the look of a young man with a pumpkin head and, once possessed, had done unspeakable things to his family.

“Oh, Rose, do you think—”

The terrified look on Rose’s face slowly faded and was soon replaced by a smile. She walked up to the Jack-O’-Lantern, stared at it, and burst out laughing.

“Rose,” Cora said, “it’s not funny.”

“Yes, it is. Don’t you get it? Someone played a joke on us. A HALLOWEEN TALE is only a movie, silly.”

“But who would want to play a joke on us? No one even knows it’s our favorite Halloween movie.”

“Randy knows.”

“Yeah, but he went to Liz’s some time ago.”

“I know he didn’t do it himself, but I’m sure he put one of his friends up to doing it. You know how Randy is, always playing a joke on someone.”

Cora giggled. “Oh God, he sure had me almost convinced. We need to get him back.”

“That we do,” Rose said. “Hey, let’s take the Jack-O’-Lantern inside.”

“Are you out of your mind? That thing’s creepy.”

“Yeah, but it’ll make the movie that much more exciting.” Rose cautiously picked up the Jack-O’-Lantern and headed back inside, with Cora on her heels cautiously eyeing the thing. Rose sat the Jack-O’-Lantern on the coffee table. “There. Perfect.”

The girls sat on the sofa and stared at the Jack-O’-Lantern, mesmerized by its flickering, pulsing, and almost life-like appearance, and time passed by unnoticed until the first trick-or-treater knocked at the door. Both girls jumped, breaking the trance. Cora sprang off the sofa, anxious to see the first trick-or-treater’s costume. When she opened the door, she saw a young pirate and his mother standing outside the door.

“Trick or treat!”

The boy’s mother eyed Cora suspiciously as Cora gave the young pirate a generous amount of candy.

“There you go,” Cora said. “Have fun.”

*****

The evening had been busy with kids in Halloween costumes coming and going. Cora enjoyed every minute of it, mainly got good comments on her costume from the adult chaperones, and even got catcalled by a boy of about ten dressed as a rockstar. Since the trick-or-treaters had started coming, the girls had dismissed any evil thoughts about the strange Jack-O’-Lantern on the coffee table.

Cora opened the door to what would be the last trick-or-treater of the evening. She handed the rest of the candy to a young witch with a broom in one hand and a pumpkin pail almost overflowing with candy in the other.

“That’s the last of the candy,” Cora said as she shut the door and turned off the porch light.

“Good. I’ll make us some popcorn, and we’ll watch A HALLOWEEN TALE. It starts in fifteen minutes.”

A few minutes before the movie started, Rose came out of the kitchen carrying a big bowl of popcorn. Cora sat on the end of the sofa, remote in hand, eyes glued to the TV screen. Rose sat next to Cora tonight, the bowl of popcorn in her lap, just in time to catch the trailer of A HALLOWEEN TALE.

CHAPTER FIVE

Near the end of the movie, the girls had popcorn scattered everywhere as one bloody scene after another unfolded. They had watched Phillip, the nerdy son in the family, evolve from a shy geek teenager to a monster with a pumpkin head. He’d already killed his parents and best friend with an axe, and now he was chasing his sister through the woods.

“Oh God, Rose, I can’t look.” The girls held on to one another as Stacey, Phillip’s sister, ran through the woods screaming, and Phillip, the living Jack-O’-Lantern, was hot on her trail with the axe.

Rose put her arm around Cora, and when she did, Cora buried her head in the crook of Rose’s neck, peeking sideways at the TV screen. Rose was enjoying the movie, but what she was enjoying even more was holding Cora, and this new feeling of lust for her best friend grew stronger and stronger. Rose chanced a peek between Cora’s thighs, her dress all askew and wrapped around her waist, her mound clearly visible under the little lacy panties.

On the TV screen, Stacey tripped on a tree root and collapsed to the ground, out of breath and out of hope for escape. She stared up at the full moon, crying and mumbling to herself. Out of the shadows stepped Phillip, axe laying on his shoulder, an evil grin on his Jack-Lantern face. Stacey saw him and pleaded, “No! Please, no!”

“Oh god,” Rose said as she held Cora tight. At that moment, Rose realized that the upcoming movie scene presented an even greater opportunity and would be perfect.

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Meine Cousine und ich Teil 02

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Anal

Dies ist die Fortsetzung zu meiner allerersten Geschichte „Meine Cousine und ich”.

Ich habe mich sehr über die vielen Kritiken gefreut und versuche nun meine Geschichte noch etwas realistischer und erotischer zu gestalten.

Ich hoffe, dass diese Geschichte noch um einiges besser wird!

Kritik ist natürlich wie immer erwünscht 😉

Als ich meine entsetzte Tante gesehen hatte, stieß ich Bettina sanft von mir weg. Es war schwer zu sagen, wer von uns beiden röter im Gesicht war. Diese Situation war wirklich unangenehm.

Tante Isabella war ebenfalls rot angelaufen, doch ich konnte nicht sagen ob sie mehr Wut oder mehr Scham verspürte. Anscheinend eher ersteres, denn nachdem sie sich vom ersten Schock erholt hatte, begann sie lautstark uns zu belehren. Ich verstand kaum was sie sagte, denn das rauschende Blut in meinen Ohren übertönte fast alles.

Irgendwann, vermutlich nach 5 oder 10 Minuten, war Isabella fertig mit ihrer Standpauke. Meine Cousine und ich standen auf und zogen uns schnell an.

Während ich meine Jeans anzog, versuchte ich mich an die Wort von Isabella zu erinnern, die ich hatte aufschnappen können.

„Seit wann läuft das schon?” – „Das ist Inzest! So etwas ist verboten” – „…Hausarrest. Ich werde deine Mutter informieren!”

Ihre Worte kreisten in meinem Kopf wie die kleine Modelleisenbahn meines jüngeren Bruders. Aber was war daran schon falsch, wenn man zusammen Spaß hatte? Ich konnte nicht schwanger werden. Es wäre doch viel schlimmer gewesen, wenn meine Cousine ein Junge gewesen wäre?

Und während ich so nachdachte wurde mir klar, dass es mir egal war, was die anderen sagten. Ich bekam bursa escort immer was ich wollte. Und ich wollte Bettina. Und vielleicht auch sogar meine hübsche Tante?

Nach 2 Wochen harter Arbeit und argwöhnischen Blicken von Tante Isabella, relativierte sich die Situation nach und nach.

Meine Tante hatte meine Mutter nicht angerufen, weil sie mich noch als Arbeitshilfe hatte behalten wollen. War meine Mutter erst einmal alarmiert worden, war sie nicht mehr aufzuhalten.

Trotz dieser Demütigung war ich bei meiner Tante geblieben, denn ich wollte jede noch so kleine Gelegenheit ausnutzen, um Bettina noch einmal zu vögeln.

Mein Plan scheiterte jedoch ständig, denn meine Tante achtete stets darauf, dass wir nicht länger als ein paar Minuten alleine waren.

Es war hart für mich, gegen meinen Willen erzogen zu werden und es wurde nicht leichter, als mir meine Tante verkündete, dass meine Mutter bei einem Autounfall ums Leben gekommen war. Das hieß, dass ich nun für immer hier bleiben musste, denn ansonsten hatte ich keine anderen Verwandten. Mein Vater war nach meiner Geburt wegen seinem Drogenproblem ebenfalls verstorben.

Es dauerte lange, bis ich mich vom Schock und von der Trauer erholt hatte und vor allem: bis meine Lust zurückgekehrt war.

Eines Nachts wachte ich auf, denn mich plagte großer Durst. Außerdem hörte ich laute Geräusche, die meine Aufmerksamkeit erregten.

Ich ging zuerst in die Küche; danach lauschte ich angestrengt und vermutete, dass die Geräusche aus Tante Isabellas Schlafzimmer kamen.

Meine Muschi kribbelte schon allein wegen meinen erotischen Gedanken, çanakkale escort die ich mit diesem inzwischen schon leisem Stöhnen verband.

Im Prinzip hätte meine Tante Bettinas Zwillingsschwester sein können:

Schwarzes, seidiges Haar, süßer Knackarsch, wohlgeformte Titten und doch ein bisschen weiblicher und rundlicher.

Was Isabella wohl trieb?

Ich war nun vor Isabellas Zimmer und bemerkte, dass das Stöhnen nicht nur von ihr alleine kam. Ich riskierte einen Blick, indem ich die Tür einen Spalt breit aufmachte und reinschaute.

Doch ich traute meinen Augen nicht: Dort lag meine Tante, splitterfasernackt mit gespreizten Beinen und ließ sich von meiner Bettina, ihrer Tochter, die Möse ausschlecken und gleichzeitig mit einem Dildo in den Arsch ficken!

Ich hörte, wie der Dildo schmatzend rein und raus fuhr und wurde dabei so geil, dass ich mir meine Hand in meinen Slip schob und begann, mir meinen Kitzler zu reiben.

Was sollte ich tun? Sollte ich zum Liebesspiel hinzustoßen?

Doch während ich kurz vorm Höhepunkt war, kam mir eine viel bessere Idee. Aber diese würde ich erst in der nächsten Nacht durchführen können.

Ich sah jetzt, wie Bettina den Dildo beiseite legte und jetzt Isabella mit ihrer Zunge fickte. Isabella versuchte ihre Schreie zu unterdrücken, doch gelegentlich kam trotzdem ein lautes Stöhnen zustande. Sie flüsterte Bettina etwas zu, aber ich verstand es leider nicht. Dennoch konnte ich mir es ihrer lüsternen Blicke wegen denken und kam endlich zum erlösenden Orgasmus.

Jetzt wollte ich aber lieber schnell verschwinden, denn Isabella war ebenfalls kurz çankırı escort davor zu kommen.

Am nächsten Abend beschloss ich, meinen Plan durchzuziehen.

Es war kurz vor Mitternacht, als ich mich in das Zimmer meiner Tante schlich (natürlich ohne Klamotten!). Sie schlief tief und fest und vor allem nackt, wie ich zu meiner Freude feststellte. Vorsichtig ging ich zum Bett und hob die Decke hoch. Ich kroch darunter und krabbelte bis zu ihrer Muschi. Ich atmete ihren süßlichen Geruch ein und wurde dabei schon selber ganz geil. Ich streckte meine Zunge aus und näherte mich langsam ihrem Lustzentrum. Isabella war nicht rasiert, was mich noch zusätzlich geil machte. Ich begann mit meiner Zunge ganz langsam von ihrem Poloch bis zu ihrem Kitzler hin zu lecken, wie ein Hund. Dabei steigerte ich mein Tempo stetig und währenddessen flossen immer mehr Säfte aus der Muschi meiner Tante.

Ihr Kitzler schwoll zur Größe einer Kirsche an und ich wollte nun auch meine Zunge endlich in ihr Loch stecken. Sie war so heiß und schmeckte so geil, dass ich selber fast schon zum Orgasmus gekommen wäre, denn während ich sie leckte, rieb ich mit meiner Möse immer wieder über das inzwischen schon nasse Bettlaken. Erbarmungslos trieb ich ihr meine Zunge immer wieder in ihr Loch, bis mich plötzlich ihre Hände am Kopf fassten. Sie schlang ihre Beine um meinen Körper und ritt meine Zunge, während sie „Jaaaa Bettina Schatz, fick mich mit deiner süßen Mädchenzunge!” keuchte.

Ich blieb mit meiner Zunge als Penisersatz in ihrer Möse und steckte derweil mir selber einen Finger in die Lustgrotte, doch das nur um ihn zu befeuchten. Diesen Finger steckte ich ihr dann ihr Poloch, was sie mit einem Quieken quittierte. Leider konnte ich sie nicht länger als ein paar Sekunden in den Arsch ficken, denn schon bald kam sie so heftig, wie sie wahrscheinlich noch nie gekommen war.

Doch über was ich mir vorher keine Gedanken gemacht hatte: Wie ging es jetzt weiter?

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Verfickte Zombieschlampen 06

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Anal

„Die sind sogar ganz nützlich,” sagte Rebekka, als sie die Lanze untersuchte.

„Mhm. Und schwer,” antwortete ich und wog eine Hellebarde in meiner Hand. An den Wänden der Burg hingen diverse mittelalterliche Waffen, hauptsächlich Schwerter und Speere, aber auch ein paar Helme und Rüstungen.

„Naja, die sind jedenfalls für Mädels mit weniger Oberweite gemacht,” meinte Rebekka als sie eine Brustplatte misstrauisch beäugte, und dann mit ihrer eigenen, ausladenden Brust verglich.

Ich zuckte mit den Schultern. „Ist sowieso nicht vollständig. Da fehlt die Rückenplatte. Und selbst wenn wir das tragen könnten, würden wir nur noch im Schneckentempo weiterkommen. Ich stellte die Hellebarde in eine Ecke. „Aber du hast recht, wir sollten ein paar von den leichteren Waffen mitnehmen. Um die Zombies auf Abstand zu halten.”

Nach unserer kurzen Rast hatten wir damit begonnen, die Burg zu untersuchen, gingen von Raum zu Raum, immer auf der Hut vor jedem Geräusch, dass die Gegenwart eines Zombies andeuten könnte, aber das Gebäude war so still wie ein Grab.

„Also, wenn wir dann am Fluss angekommen sind, was dann?” fragte Rebekka und flüsterte dabei fast, als ob sie die Stille nicht durchbrechen wollte.

Ich zuckte mit den Schultern. „Da gibt’s irgendwo ein Bootshaus,” antwortete ich. „Die Passer ist für Schiffe nicht breit genug, aber wir haben einen Bootsverein.” Ich versuchte, mich an die genaue Stelle zu erinnern, aber es war schon viele Jahre her, dass ich dort gewesen bin.

Sie nickte und zerbrach ein paar Ausstellungsvitrinen, und spielte dann mit etwas, das wie eine eiserne Flöte aussah. „Und wohin dann?” fragte sie. „Was ist unser Ziel?”

Ich lehnte mich gegen die Vitrine und starrte in die Ferne. „Ich bin mir nicht sicher,” gab ich zu. „Mein Plan bestand hauptsächlich darin, auf ein Boot zu kommen, denn ich dachte, dass das der sicherste Ort wäre, an dem man in diesem Schlamassel leben konnte. Ich glaube, diese Zombies können nicht schwimmen, und wir können damit reisen und unsere Sachen darin verstauen, während wir außer Reichweite sind.” Vor meinem geistigen Auge wechselten sich die Bilder von uns auf einem Hausboot mit dem nagenden Bedenken ab, dass ich nicht das Geringste über Boote und Schifffahrt wusste. Ich war schließlich ein Mädel der Berge.

„Naja, und ich wollte nur weiter nach Süden kommen, denn ich will wirklich nicht in Tirol in der Patsche sitzen, wenn es Winter wird und wir kein Öl und keine Elektrizität haben. Also vielleicht Griechenland, oder die Türkei, oder Ägypten?” sagte ich und spekulierte über Länder, von denen ich kaum etwas wusste, und schon gar nicht, wie die Zombie Apokalypse sie getroffen hatte.

„Guter Plan,” sagte sie ernst, mehr zu sich selbst als zu mir. „Vielleicht können wir sogar nach Äthiopien und sehen, was da passiert ist. Es ist dort nicht so heiß wie in vielen anderen Orten in Afrika, und manchmal vermisse ich es.” Sie seufzte. „Komisch, oder? Ich war nicht mal 9 als wir geflohen sind, aber ich erinnere mich immer noch an das Hochland, den Monsun, und wie die Erde riecht.”

Ich nickte bitlis escort und fragte mich, wie es wohl sein musste, das Land der Kindheit zu verlassen. Andererseits, dachte ich dann, leben wir doch jetzt alle in einem neuen Land, und das Land unserer Kindheit war für immer verloren.

„Die müssen das hier wohl für Hochzeiten genutzt haben,” unterbrach Rebekka meine Gedanken, als sie eine zweiflügelige Tür aufstieß, die in einen festlichen, großen, dekorierten Raum führte, wo auf einem Tisch Hochzeitsarrangements ausgebreitet waren. Wir liefen umher und ließen unsere Hände über die künstlichen Plastikblumen streifen, die Kränze, die kleinen Porzellanfiguren von Braut und Bräutigam, die silbernen Kerzenhalter und das Spitzentischtuch.

„Das ist alles weg,” sagte ich plötzlich. „Die ganzen Rituale, die Religion, die Regierung. Hochzeit. Alles, was es bedeutet. Das ist alles weg.”

Rebekka runzelte die Stirn. „Das glaube ich nicht,” sagte sie. „Ich weiß immer noch, woran ich glaube. Und man braucht auch nicht unbedingt einen Pfarrer, oder Standesbeamten, oder Bürgermeister, oder was auch immer, um zu heiraten. Mein Gott, meine Liebe, mein Glaube und meine Treue sind alle hier.” Sie nahm meine Hand und legte sie auf ihre Brust, direkt über ihrem Herzen.

Ich sah ihr tief in die Augen. „Ich weiß nicht, woran ich glaube,” gab ich zu und spürte ihre weiche, warme Brust an meiner Handfläche. „Ich habe nie viel an Gott geglaubt. Oder an Heiraten. Oder an Rituale. Aber in dieser Welt, in der Leben nichts mehr wert ist, brauchen wir vielleicht mehr davon.”

Ich hielt inne und sah sie an. Sie nickte und lächelte sanft. „Willst du mir gehören?” fragte ich sie.

Sie sah mich an, stolz und ernst, aber tief berührt. „Du bist meine Herrin,” sagte sie. „Vom ersten Augenblick an, als ich dich gesehen habe, vom Moment an, als du mich berührt hast, war ich dein. Ich folge dir bis zum Ende der Welt und wieder zurück. Also ja, ich wäre mit Freuden dein.”

Ich lächelte, und zu meiner eigenen Überraschung fühlte ich, wie mir Tränen das Gesicht herabliefen. Vor lauter Aufregung und Anspannung und der beständigen Achtsamkeit hatte ich vergessen, was ich fühlte. Und jetzt kam es alles wieder zurück. „Es ist kaum noch jemand übrig,” sagte ich ein wenig linkisch und versuchte, die richtigen Worte zu finden. „Ich meine, es ist nicht so, als hätten wir beide eine riesige Auswahl, was Partner angeht. Aber selbst wenn, selbst wenn die ganze Welt noch am Leben wäre, unter all diesen Leuten würde ich nie eine bessere Dienerin finden als dich.”

Ich zog sie an mich und wir hielten uns eng umschlungen in den Armen, küssten uns leidenschaftlich und verzweifelt, als ob es das Einzige war, was noch zählte, die einzige Sache, die wir noch tun konnten, um Menschen zu sein. Sie schmeckte so gut, so vertraut, so sehr nach zuhause. Ich heulte wie ein Baby und Rebekka ebenfalls, meine Tränen liefen hinab auf ihren Hals und ihre Schulter als wir in inniger Umarmung dastanden.

Schließlich beruhigte ich mich ein wenig und sah in ihr Gesicht. „Also,” sagte ich. „Das bolu escort ist es dann? Ich meine, ich habe kein Halsband oder irgendwas. Ich hab noch nicht mal Musik.”

Sie lächelte zurück. „Wir brauchen das alles nicht,” sagte sie. „Wir können unser eigenes Ritual machen, etwas, das für uns funktioniert.” Und damit sank sie auf die Knie vor mir, ihr Gesicht auf Augenhöhe mit meinem Schamhaar. Sie sah zu mir auf und flüsterte, bevor sie ihren Mund weit aufmachte: „Gib mir dein Wasser, Herrin.”

Ich sah zu ihr hinab und spreizte dann meine Beine über ihr. Obwohl wir das nun mehrmals zuvor getan hatten, fühlte es sich in diesem Moment nur richtig an. Es war intim, vertraut, seltsam heilig und ganz unseres. Ich griff hinter mich und drückte langsam einen Finger in meinen Hintern, krümmte ihn und fühlte darin umher, bis ich den Platz gefunden hatte, der meine Blase kitzelte. Sofort schoss ein heißer Strahl aus meiner Spritzfotze direkt in Bekahs Gesicht.

Sie duschte im Pisseregen und schluckte alles, was in ihrem Mund landete, während der Rest ihren Kopf und ihre Brust bedeckte, warm und nass. Als der Strom nachließ, folgte sie ihm an meinen Venushügel und lutschte die letzten paar Tropfen heraus, und küsste es dann ehrfürchtig. Nun kniete ich ebenfalls und küsste sie, schmeckte meine Pisse auf ihren Lippen, roch sie auf ihrer Haut und spürte die Nässe auf ihren Titten. „Jetzt du,” sagte ich.

Sie lächelte und drehte sich um, ging auf alle Viere und schob ihren breiten, schwarzen Arsch zu mir hin, mit weit gespreizten Beinen, bis ihre süße Fotze leicht klaffte. Ich legte mich auf den Rücken unter ihr und sah nach oben, auf die dichten, schwarzen Afrolocken ihres Busches, als dieser sich auf mein Gesicht herabsenkte, während ihre Titten über mir schwangen.

Ihre Pisse kam in einem Schwall und traf mich in die Augen, so dass ich sie reflexartig schließen musste. Ich fühlte, wie es über mein ganzes Gesicht schwappte, wie Wasser aus einem Schlauch. Ich öffnete meinen Mund und spürte, wie es hineinregnete, schmeckte den salzigen, herben Urin bevor ich ihn runterschluckte. Sie musste ziemlich dringend, und hatte es wohl schon eine Weile angesammelt. Ihre Muschi hörte gar nicht mehr auf zu spritzen und durchnässte meine Haare, bis ich merkte, wie sich unter meinem Kopf eine Pfütze bildete. Ich schluckte noch immer alles, was ich kriegen konnte, und öffnete gelegentlich meine Augen, nur um dem rosigen Schlitz in ihrer schwarzen Möse dabei zuzusehen, wie er auf mich herabregnete.

Danach gingen wir langsam durch den Rest der Burg, Arm in Arm, als ob es unser Zuhause wäre. Im ersten Stock fanden wir ein paar Räume, die mit echten mittelalterlichen Möbelstücken eingerichtet waren. In einem davon stand sogar ein Bett. „Die haben an uns gedacht,” sagte ich lachend zu Bekah. „Wir kriegen sogar ein Bett.”

Sie grinste und sah sich interessiert die Pfosten an, welche ein Seil darum spannten, um Touristen davon abzuhalten, zu nah zu kommen. „Oh ja,” sagte sie. „Und sogar an Spielzeug haben sie gedacht.”

Sie warf ihre Kleider und Waffen ab, burdur escort und stand bald völlig nackt vor mir. Ich musterte ihren Körper langsam auf und ab und nahm alles in mich auf — ihre dunkle Haut, die breiten, runden Hüften, die großen Pobacken, ihren Bauch, die riesigen Hängetitten, das süße, dichte Schamhaar, das ich so sehr liebte, und natürlich ihr wunderschönes, liebliches Gesicht.

„Steig auf,” befahl ich ihr, in dem Wissen, dass sie nur auf meine Anweisungen wartete. Ohne zu zögern griff sie nach einem Pfosten und spreizte ihre Beine über seiner dicken, runden, knolligen Spitze. Es sah aus, als wäre es aus Metall, und schien schwer und kalt, aber sie schreckte nicht davor zurück. Ihre Schamlippen strichen darüber und hinterließen einen feuchten Schimmer überall, wo sie es berührten, und bald liefen auch ein paar übrig gebliebene Pissströme die Seiten herab, als sie es befeuchtete.

Ich ließ mich ihr gegenüber auf das Bett fallen und zog die Lederbeinschützer und die Jacke aus, warf meine Kleider ab bis mein bleicher, molliger, rothaariger Körper direkt vor ihr lag und ich meine Beine zu ihr hin spreizte. Sie beugte sich vor und schloss die Augen, während sie ihr bestes gab, um den dicken, harten, grapefruitgroßen Pfosten in ihre hungrige Fotze zu kriegen.

Plötzlich glitt er in sie hinein und ihre Augen weiteten sich bei dem Gefühl, während sie nach Luft schnappte. Dann folgte das Vergnügen, und sie beugte sich weiter vor und fing an, sorgfältig an meiner Muschi zu lutschen. „Was würde meine Herrin von mir wollen?” fragte sie und sah mich an.

„Du kennst mich doch,” sagte ich und zog meine Beine hoch, schob meinen Hintern nach oben und zog meine Pobacken mit beiden Händen auseinander. Sie nickte und kannte mich nur allzu gut.

Ihre Finger fingen an, in meiner Rosette zu stochern, dehnten und weiteten sie langsam und vorsichtig und bereiteten sie auf das vor, was nun kommen würde. Sie spuckte dabei beständig Speichel auf sie drauf und befeuchtete sie, bis sie so glitschig wie meine Fotze war. Dann spürte ich, wie ihre Hand in mich hineindrückte, gnadenlos, immer dicker und breiter werdend. Sie riss mein Arschloch weit auf, als sie schob.

Ich wollte es. Ich wollte es so dringend, wollte spüren, wie ich voll mit ihr war, von ihr gefickt wurde, grob und gewalttätig, von ihr benutzt werde, und fertig gemacht werde. Meine Fotze fing sofort an zu laufen. Als ihre Knöchel schließlich meinen Schließmuskel passierten fühlte es sich an, als ob sie mich gleichzeitig auseinanderriss und vervollständigte. Und dann fickte sie mich hart, tief und leidenschaftlich, grob und heftig, während sie auf dem Pfosten ritt, mit ihrer ganzen Hand in meinem Arsch.

Ich kam so heftig, und so viel. Mein Pissloch sprudelte und spritzte über das ganze Zimmer und der Gedanke daran, dass sie nun meine Sklavin war, ließ mich noch mehr kommen.

Nach einer Ewigkeit saßen wir schließlich nackt in einem Alkoven im ersten Stock der Burg und sahen aus dem offenen Fenster hinaus auf die paar Zombies, die ziellos auf dem Platz darunter umherstolzierten.

„Lass uns immer zusammen bleiben,” sagte ich.

Sie nickte. „Und nie mehr etwas gefährliches machen,” antwortete sie. „Ich will dich nicht verlieren, und ganz sicher nicht wegen einer Dummheit.”

Ich lächelte und küsste sie. „Abgemacht,” sagte ich.

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Die Annonce

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Amateur

Meine erste sexuelle Erfahrung mit einer anderen Frau hatte ich leider erst mit 34 Jahren, also jetzt vor ungefähr 2 Jahren.

Hätte ich gewusst, wie herrlich der leidenschaftliche Sex mit einer Frau sein kann, hätte ich es sicher schon früher ausprobiert.

Angefangen hatte alles mit einer Zeitungsannonce.

Ich war damals gerade seit einem halben Jahr von meinem Ex-Mann geschieden. Wir hatten uns auseinander gelebt, da wir beide sehr viel arbeiteten und eines Tages hatte mir mein Mann gestanden, dass er in eine andere Frau verliebt sei und so kam es zur Trennung.

Im Grunde war ich ihm gar nicht wirklich böse, im Bett hatte es schon lange nicht mehr richtig geklappt und so war es wohl auch besser so.

Ein halbes Jahr später las ich morgens vor der Arbeit in meiner Wohnküche die Zeitung.

Ich bin eine recht erfolgreiche Innenarchitektin und an diesem sonnigen Frühlingsmorgen hatte ich erst um 10:30 Uhr einen Kundentermin, so dass ich mein Frühstück in aller Ruhe genießen konnte.

Ich weiß nicht, ob es daran lag, dass ich schon seit mehr als einem halben Jahr keinen richtigen Sex mehr hatte, oder ob es nur Langeweile war. An diesem Morgen las ich auch die Kontaktanzeigen, was ich sonst eigentlich so gut wie nie mache.

Unter der Rubrik “Er sucht Sie” bemerkte ich eine weitere Rubrik “Sie sucht sie” mit nur einer einzigen Anzeige. Neugierig geworden las ich:

“19 jährige Schülerin sucht reifere Sie um gemeinsame Fantasien auszuleben. Zuschriften unter Chiffre 6969”

Als ich das las, traf es mich wie einen Schlag.

Ich las die Annonce noch ein zweites Mal.

Ich konnte es kaum glauben, da suchte tatsächlich ein 19jähriges Mädchen per Annonce eine ältere Frau, um es mit ihr wild zu treiben!

An dieser Stelle sollte ich vielleicht erwähnen, dass mich die Vorstellung Sex çorum escort mit einer Frau zu haben schon seit Jahren anmachte.

Angefangen hatte das, als ich mir damals mit meinem (jetzt Ex-)Mann gemeinsam Pornos angesehen hatte um ein bisschen Schwung in unser Sex-Leben zu bringen. Fast jeder dieser Pornos hatte natürlich auch Szenen, in denen es zwei oder mehr Frauen miteinander trieben. Vermutlich stehen Männer auf so was – mein Ex-Mann übrigens auch.

Jedenfalls stellte ich zu meiner eigenen Verwunderung fest, dass mich diese Lesbenszenen jedesmal auch ziemlich anmachten. Und wenn ich masturbierte stellte ich mir immer häufiger vor, es auch mal mit einer Frau zu treiben.

Nach dem ich dann geschieden war, hatte ich mir schließlich sogar tatsächlich mal einen reinen Lesben-Porno auf DVD übers Internet bestellt. Und ehrlich gesagt, war das in letzter Zeit mein absoluter Lieblings-Porno.

Die Szenen in denen sich zwei Frauen gegenseitig ihre feuchten Muschis lecken und dann ihre heißen Fotzen aneinander reiben machten mich immer unglaublich geil, und meistens dauerte es dann auch nicht lange, bis ich in einem heftigen Orgasmus kam. Doch bis zu diesem Zeitpunkt hatte ich nie daran gedacht, diese Fantasien auch in die Tat umzusetzen.

Doch nun wurde ich genau damit konfrontiert.

Ich las mir die Annonce noch ein drittes Mal laut vor.

Meine Fantasie spielte vollkommen verrückt.

Szenen, in denen eine 19-Jährige meine feuchte Muschi leckte, wie ich ihre junge Fotze streichelte und sie mit meinen Fingern fickte, wie wir unsere glitschigen Mösen bis zur Ekstase aneinander reiben und ähnliche Sauereien schossen mir durch den Kopf und ich spürte wie ich immer feuchter zwischen meinen Beinen wurde.

Geschockt von meinen eigenen lüsternen Gedanken, schollt ich mich denizli escort selbst und fragte mich, ob ich inzwischen vollkommen durchgeknallt war, oder ob ich nur einfach schon zu lange keinen Sex mehr gehabt hatte.

Ich legte die Zeitung zur Seite und stellte fest, dass ich mich langsam auf den Weg zur Arbeit machen musste.

Doch diese Annonce ging mir während des ganzen Tages einfach nicht mehr aus dem Kopf.

Als ich schließlich abends wieder zu Hause ankam, fiel mein erster Blick auf die Zeitung, die noch immer aufgeschlagen auf dem Küchentisch lag.

Erneut las ich die Annonce:

“19 jährige Schülerin sucht reifere Sie um gemeinsame Fantasien auszuleben. Zuschriften unter Chiffre 6969”

Mit einem Seufzer lege ich die Zeitung wieder zur Seite.

Da ich am Nachmittag auf einer Baustelle ein Treffen mit einem Kunden und seinem Architekten hatte und es dort recht staubig war, wollte ich schnell noch unter die Dusche.

Im Badezimmer zog ich mich aus. Als ich so nackt vor dem Spiegel stand, betrachtete ich meinen Körper und fragte mich, ob wohl ein 19jähriges Mädchen Gefallen an mir finden könnte.

Ich habe kurze blonde Haare und blaue Augen. Da ich 2mal pro Woche im Fitnessstudio einen Spinning-Kurs besuchte, war ich für mein Alter noch sehr gut in Form. Mein Hintern war noch recht knackig und meine durchtrainierten Oberschenkel zeigten noch kaum Anzeichen von Cellulite. Besonders stolz war ich aber auf meine Brüste, die nicht zu groß und nicht zu klein waren und die Schwerkraft hatte noch kaum Spuren hinterlassen. Meine Nippel standen bereits leicht erregt deutlich hervor. Meine Muschi rasierte ich mir immer vor meinem Fitnesstraining komplett kahl. Ich liebte nicht nur das weiche Gefühl sondern auch den herrlichen Anblick einer kahl rasierten Möse! Ich düzce escort hatte recht große Schamlippen und auch eine ziemlich große Klit, die bereits leicht aus ihrem Versteck hervor ragte, wie ich bemerkte.

Schon den ganzen Tag hatten mich die Gedanken an die 19jährige Schülerin erregt und so war ich inzwischen regelrecht geil und ziemlich feucht!

Ich stieg unter die heiße Dusche und begann mich genüsslich einzuseifen. Meine Hände wanderten über meinen heißen Körper und meine Gedanken wieder zu der Annonce und dem 19jährigen Mädchen.

Ich ließ meiner Fantasie freien Lauf und stellte mir vor, ihren jungen, strammen Körper zu streicheln und zu küssen, an ihren steifen Nippeln zu saugen und schließlich meine Zunge in ihre feuchte Fotze zu schieben und ihren heißen Mösensaft zu kosten.

Natürlich war meine Hand längst zwischen meine Beine gewandert und streichelten meine steinharte Klit mit schnellen Hin- und Herbewegungen, während meine andere Hand meine Brüste massierte.

Ich stellte mir vor, ihr dabei zu zusehen, wie sie genüsslich meine nasse Lustspalte leckte und an meiner steifen Klit saugte. Beim Gedanken daran, meine nasse Fotze an ihrer zu reiben, kam ich schließlich in einem unglaublich heftigen Orgasmus. Trotz der laufenden Dusche, spürte ich wie mir mein Mösensaft über die Hand und den Innenseiten meiner Schenkel hinab lief, während meinen Körper eine Lustwelle nach der anderen durchlief.

Wow, das war echt heftig!

Und von diesem Moment an wusste ich, was ich zu tun hatte!

Nach dem ich fertig geduscht, mich abgetrocknet und mir etwas Bequemes angezogen hatte, holte ich aus meinem Schreibtisch im Schlafzimmer einen Briefblock und aus der Küche die Zeitung und setzte mich mit einem Glas Wein ins Wohnzimmer und begann mit zitternden Händen einen Brief zu schreiben:

“Liebe Unbekannte,

ich habe Deine Annonce in der Zeitung gelesen…”

****

Dies ist der erste Teil meiner neuen Geschichte. Ich hoffe, sie hat Dir gefallen!? Wenn Du wissen willst, wie es weiter geht, würde ich mich über jede positive Wertung, Kommentar oder Mail sehr freuen! ;o)

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Femme Séduite Par Le Patron

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Non Nude

Un jeune couple se rend chez le patron du gars et, après une journée de tension sexuelle entre le patron et la jeune femme, le patron la séduit, et abuse d’elle.

Bérengère a ressenti une immense déception lorsque Guillaume lui a expliqué, en s’excusant, qu’ils devaient reporter leur voyage à Venise. Il lui annonçait que Robert, son patron, avait besoin de lui pour planifier un rendez-vous avec un client important, qui avait avancé sa venue de deux semaines. Il lui a promis qu’ils pourraient y aller le mois prochain, en essayant d’apaiser son évidente irritation.

«Je vais en avoir pour la journée entière à organiser la logistique et à peaufiner tous les détails. La bonne nouvelle, c’est que Robert m’a proposé de venir travailler chez lui plutôt qu’au bureau. Il a dit que tu pourras m’accompagner pour profiter de sa piscine pendant que je travaillerai.»

Son patron lui avait présenté cette offre en prétendant que cela calmerait la contrariété de la jeune femme, et qu’une journée passée à bronzer au bord de la piscine rétablirait l’harmonie dans le couple.

Bérengère se résigna à reporter ses vacances, se consolant en pensant à sa journée de farniente au bord de la piscine. En cas d’imprévu, si son travail se prolongeait plus longtemps que prévu, Guillaume lui a indiqué qu’elle devrait prendre des affaires pour la nuit.

Bérengère a été accueillie chaleureusement par le patron. qui a salué Guillaume en lui serrant la main, et il a enlacé Bérengère en la complimentant sur sa beauté, avant de l’embrasser familièrement. Bérengère était vêtue de manière sexy, d’une courte jupe en tartan et d’un chemisier vaporeux, qui dévoilait son haut de bikini. Sexy et classe à la fois, la mignonne jeune femme a rougit légèrement à cause du compliment et de la manière un peu rustre du patron qui la pressait fortement contre son torse musculeux.

Robert était un véritable colosse. Puissamment bâti, très grand et large d’épaule, il se dégageait de sa personne une assurance et une estime de soi. Il est très bel homme, pensa-t-elle.

Bérengère a observé le contraste entre Robert et son mari. Robert avait la cinquantaine, tandis que Guillaume avait la trentaine. Robert était taillé comme un culturiste, tandis que Guillaume était plutôt maigrichon, et Robert dépassait Guillaume d’une bonne tête. Robert installa Guillaume dans son bureau, et prit Bérengère par le poignet.

«Venez voir la piscine, Bérengère» et il l’entraîna dehors. Bérengère sourit à Guillaume en agitant ses doigts vers lui.

Guillaume a regardé sa fiancée de 23 ans partir tout en organisant ses documents pour commencer son travail.

«Voilà !» annonça triomphalement Robert. «Vous pouvez bronzer sur les chaises longues, ou vous mettre à l’ombre sous le patio si vous avez trop chaud. Les toilettes de la piscine sont juste là, et vous avez des rafraîchissements ici».

Robert a laissé la jeune beauté s’installer, en rejoignant Guillaume dans la maison pour lui donner ses instructions. Restée seule au bord de la piscine, Bérengère se posait des questions sur cet hôte bizarre. Vivait-il seul dans ce grand domaine? Sans femme, sans enfants, même pas un serviteur? Il parlait à Guillaume comme si c’était son domestique, et s’adressait à elle avec douceur, comme s’il parlait à une enfant.

Robert aidait Guillaume à débarrasser le bureau afin qu’il puisse s’installer quand soudain, il a vu sa corbeille de lotions et de crèmes protectrices et hydratantes qu’il avait préparé pour Bérengère. S’apercevant de son oubli, il a saisi sa corbeille et s’est précipité vers Bérengère pour lui proposer ses services.

Au bord de la piscine, Bérengère appliquait déjà son propre produit. Elle était maintenant seulement vêtue de son bikini, qui dévoilait ses courbes alléchantes. Ses formes parfaites confirmait les espérances de Robert. C’est en voyant la photo de Bérengère sur le bureau de Guillaume qu’il avait conçu ce plan sulfureux.

En voyant cette photo de la jeune femme sage et réservée, son sourire coquin et une lueur dans son regard lui avait fait soupçonner une nature sensuelle. La baratinant sur la qualité des produits qu’il lui présentait, il s’est approché tout près d’elle. Voyant le doute dans ses yeux, Robert lui demanda simplement de s’allonger.

«Allez, jeune fille, faites-moi confiance, je ne voudrais pas que vous brûliez !».

Il prenait la direction des opérations, sans lui demander son avis, et la jeune femme abasourdie se laissait diriger. Une autre différence entre Robert et Guillaume. Là où le jeune homme demandait, suggérait, Robert lui disait quoi faire. Tel un père, ou un patron habitué à dicter ses instructions.

Elle s’allongea sur le ventre, et Robert commença à appliquer de la crème sur son dos. Ses grandes mains puissantes et chaudes massaient les chairs tendres en insistant, prétextant que le produit agissait mieux en le faisant pénétrer. Elle ne pouvait s’empêcher de ressentir les bruissements des papillons au fond de son ventre que lui procurait le massage.

D’abord les épaules, diyarbakır escort les bras, le dos, sans oublier de glisser ses mains sous les bretelles du soutien-gorge. Dans les reins, même processus, il a glissé ses doigts sous l’élastique de la culotte. Puis les jambes, l’une après l’autre, étalant la lotion suffisamment haut entre ses cuisses pour faire frissonner la jeune femme.

«Tournez-vous». Bérengère était déconcertée par la façon énergique dont Robert gérait la situation. Il lui disait quoi faire, et elle suivait ses ordres, subjuguée par la forte personnalité du patron. Puis, il s’est mis à la toucher si près de ses zones intimes en appliquant sa lotion, jusque sous le fragile tissu. Il la massait en pétrissant ses chairs, alors que tout homme devrait savoir que ces endroits de son corps étaient réservés à son chéri, mais il agissait comme s’il l’ignorait.

Robert a laissé Bérengère seule au bord de la piscine, avec cette tache d’humidité sous sa culotte, et a rejoint Guillaume qui était au téléphone. Il notait sa progression sur un bloc-notes, collait des post-it, suivant un cheminement rigoureux.

Robert pensa qu’il pouvait le laisser travailler, car il n’avait besoin d’aucune aide. Tout se passait bien, et il pensait qu’il serait aussi bien au bord de la piscine, avec Bérengère, pendant que Guillaume organisait le programme.

Robert est allé se changer dans sa chambre, en arrangeant le positionnement de sa bite devant son miroir, afin que Bérengère puisse bien voir la taille de l’engin. Jetant une serviette sur son épaule, il se dirigea vers la piscine.

Bérengère regarda Robert s’approcher d’un pas décidé, en admirant sa carrure, sa musculature, sa stature. Tout son être dégageait une puissance tranquille, mais le gonflement de son slip de bain fit rougir la jeune femme, qui détourna le regard. Robert, qui la surveillait à travers ses lunettes de soleil, fut satisfait de sa réaction.

Il s’est allongé sur une chaise longue, près d’elle, de manière à ce qu’elle puisse admirer son … corps !

Bérengère était impressionnée par la taille de son sexe. Elle faisait de son mieux pour regarder ailleurs, mais mentalement, elle ne pouvait s’empêcher de comparer avec celui de Guillaume. Bien évidemment, la comparaison n’était pas en faveur du jeune homme.

Est-ce qu’un pénis aussi gros n’était gênant pour son propriétaire? Était-ce douloureux pour sa partenaire? Elle comprenait, en voyant son sourire satisfait, qu’il savait qu’elle avait vérifié son colis, et que toutes ces questions se bousculaient dans son esprit.

Essayant de dissimuler sa gêne, elle tentait de comprendre ses supputations grivoises, ne sachant pas si elle éprouvait de l’envie ou de la crainte d’être baisée par un tel morceau. C’est à ce moment-là que Robert a décidé de baiser cette délicate jeune femme.

«Il commence à faire chaud au soleil, venez vous baigner» dit Robert en se levant. Bérengère le regarda d’un air penaud, visiblement embarrassée : «Ne vous moquez pas de moi, mais je ne sais pas nager». Elle lui parlait en baissant les yeux, visiblement gênée.

«Venez avec moi, je vais vous apprendre» décida Robert, en soulevant Bérengère de la chaise longue comme si elle était un poids plume. Dans les bras du colosse, elle se tortillait, troublée, en agitant les jambes.

“Il est temps que vous appreniez”. Bérengère s’étonnait de sa force, et se sentait en sécurité dans ses bras. Il la déposa dans l’eau. Dans cette partie de la piscine, elle avait de l’eau juste en dessous des seins, et Robert juste au-dessus de la ceinture.

«Maintenant, je vais vous aider à flotter. Utilisez vos bras et vos jambes comme je vous l’indiquerai» ordonna-t-il, passant sa main sous son ventre pour la maintenir à la surface. «Ne vous inquiétez pas, il ne vous arrivera rien» Il la soutenait en lui enseignant quoi faire.

Robert a soudain passé son bras entre les jambes de la jeune femme, son avant-bras calé confortablement dans son entrejambe, la paume de sa main sous son estomac, le bout de ses doigts juste entre ses seins. Bérengère tressaillit, surprise de sentir ainsi tenue.

Robert admirait les fesses fermes de la jeune femme, tandis qu’elle se tortillait en agitant les jambes. Il pensait qu’elle avait un petit cul parfait pour la sodomie. Ses pensées salaces faisaient palpiter son sexe qui se gorgeait de sang.

Après que Robert se soit assuré que Bérengère maîtrisait les bases, il lui a offert une pause.

Retirant tirant lentement son bras d’entre ses jambes, utilisant la gravité pour que l’entrejambe de Bérengère reste en contact, il a glissé sa paume tout le long de son ventre, jusqu’à ce qu’elle effleure sa chatte. La pauvre fille eut beau se cambrer, rien n’y fit, et elle dû subir l’impertinente caresse du mâle dominateur.

Elle le dévisagea rapidement, essayant de déterminer si cela pouvait être involontaire. Mais ni son visage impassible, ni ses yeux cachés par les lunettes de soleil ne trahissaient ses pensées lubriques. Sortant edirne escort de l’eau, Robert lui indiqua de s’allonger pour qu’il puisse remettre plus de lotion sur elle.

Bérengère hésitait, pas convaincue, mais Robert attrapa le flacon et tapota la chaise longue impatiemment. Encore une fois, elle céda. Elle se dirigea lentement vers la chaise, comme une suppliciée monte à l’échafaud. Vaincue, elle s’allongea, acceptant sa capitulation. De nouveau, elle sentit ses mains fortes et chaudes masser sa peau, les doigts pétrissait ses chairs de manière experte.

Puis, comme précédemment, ses doigts s’infiltrèrent sous le tissu du bikini, au plus près de ses zones érogènes. Sans subtilité ni délicatesse, ses mains prenaient possession du jeune corps docile. Finalement, il a dû arrêter ses caresses, car son pénis menaçait de se tendre.

Robert s’est éloigné sous le prétexte de surveiller le travail de Guillaume. Le jeune homme n’avait besoin de rien, mais le patron, lui, avait besoin de se calmer et de laisser redescendre son niveau d’excitation. Il est allé préparer une collation pour Guillaume et pour Bérengère, qu’il leur a apporté.

Plusieurs fois, le patron a dû s’éloigner pour surveiller l’avancement du travail de son employé. À chaque fois, Guillaume jetait un coup d’œil effaré à la bosse qui gonflait le slip de bain de son patron.

À midi, ils ont mangé sous le patio, grillades et salades. Puis, Guillaume est retourné travailler, et Robert a continué ses travaux d’approche auprès de Bérengère, l’émoustillant et la troublant par son comportement indécent.

En début de soirée, sentant la griserie de sa proie au paroxysme, il lui a proposé une douche pour se rafraîchir avant le dîner. L’entraînant dans sa chambre, pour la conduire dans la salle de bain attenante, il lui a montré le fonctionnement, et lui a expliqué ce qu’elle avait besoin de savoir. Puis il l’a laissée en disant qu’il allait commander des pizzas. Il n’a pas été retenu longtemps pour passer commande.

Puis il est retourné la rejoindre dans la salle de bain. Bérengère était nue sous la douche, elle s’était savonnée et elle était en train de se rincer. C’est pour ça qu’elle ne la pas vu venir. Stupéfaite, elle a vu Robert rappliquer sous la douche, entièrement nu. Elle a bien essayé de se couvrir, lui demandant ce qu’il faisait là. Robert a rigolé en lui disant que c’était une douche à deux places, et il lui a demandé si elle avait honte de son corps.

«Ce n’est pas question de ça, je suis fiancée avec Guillaume, je ne suis pas libre» lui a-t-elle rappelé.

«Et alors, quoi, on prend juste une douche !» Il a répliqué. «J’ai déjà vu des filles nues, auparavant, et t’es pas mal foutue !» Il continuait : «Tiens regarde, t’en as déjà vu des bites comme celle-là !»

Bérengère ne put s’empêcher de rester bouche bée devant sa bite en semi-érection. L’engin pendait, trois fois plus long que celui de Guillaume, et bien plus gros. Son sexe tressaillait, indiquant l’excitation de son propriétaire.

Robert craquait devant le corps sexy de la jeune femme, sa chatte impeccablement épilée. Il était décidé à saisir sa chance, et à la forcer ici. Guillaume, dans le bureau proche, ne l’intimidait pas. C’était un être faible, veule, incapable de se rebeller. C’est d’ailleurs pour ça qu’il l’avait embauché, il l’avait à sa botte, et il le savait. Il pensait que ce garçon était un cocu en puissance, et il voulait qu’il sache qu’il lui volait sa femme, conquise par un être supérieur.

Il se retourna et lui intima l’ordre : «Frotte-moi le dos !» Bérengère était abasourdie, choquée, ne comprenant pas sa docilité face à cet individu hors du commun. Tremblante, elle a saisit l’éponge pour lui savonner le dos.

Une fois rincé, il est sorti de la douche, et l’a attendue en tenant une grande serviette déployée.

«Viens te sécher, petite» dit-il en entourant la fille nue avec la serviette chaude et en frottant son corps. Il la séchait comme un amant, massant ses seins, glissant le tissu éponge entre ses fesses et son entrejambe. Finalement, il laissa tomber la serviette et l’admira sous toutes les coutures, la faisant tourner sur elle-même.

«Tu es très belle, Bérengère. Beaucoup trop belle pour Guillaume !»

Sans qu’elle ait eu le temps de trouver une réponse cinglante pour lui clouer le bec, juste au même instant, on a toqué à la porte de la chambre.

«Robert?» Guillaume appelait doucement. «Je pense que j’ai fini, si vous voulez bien contrôler mon travail»

«C’est bien, va m’attendre dans le bureau, je te rejoins sous peu»

Alors que Guillaume attendait dans le couloir, près du bureau, il vit la porte de la chambre s’ouvrir, et fut surpris de voir sortir Robert, accompagné de sa fiancée. Bérengère était enveloppée dans un peignoir et, sans regarder dans sa direction, se dirigea vers la chambre d’amis. Robert adopta une attitude nonchalante en informant Guillaume qu’il avait montré à Bérengère comment utiliser la douche.

«Maintenant, montrez-moi votre edirne escort bayan travail» demanda Robert en changeant de sujet.

Après le dîner, Robert mit de la musique. Des musiques sirupeuses, propices aux danses langoureuses. Il invita Bérengère à danser. Guillaume regardait son patron enlacer la jeune femme, la presser contre lui, tandis que ses mains caressaient sa chair nue. Bérengère n’avait pas prévu de tenue de soirée. Guillaume lui avait dit de prévoir pour la nuit.

Elle n’était vêtue que de sa tenue de nuit, un short en pilou, et un haut coupé court qui laissait son ventre nu. Pratique pour dormir, impudique pour danser. Beaucoup de chair découverte, que le patron caressait tranquillement en dansant.

Finalement, ses mains puissantes descendirent sur le bas des reins pour presser fermement la jeune femme contre lui. Bérengère était décontenancée, elle ressentait un tourbillon d’émotions, serrée contre Robert et sa bite massive qui semblait vouloir pénétrer dans son ventre. Ce qui l’intriguait surtout, c’était l’absence de réaction de Guillaume.

Entre les danses, elle retournait s’asseoir auprès de son mari, mais chaque nouvelle danse était pour Robert, qui semblait ne pas avoir de limite dans l’impertinence

Bérengère n’était pas coutumière de se donner en spectacle. La façon dont cet homme grossier la touchait et l’attirait fortement contre lui, indiquait clairement qu’il en était le maître. Le traitement qu’elle recevait de Robert était exactement l’opposé de celui qu’elle recevait habituellement de Guillaume

Guillaume était doux et tendre avec elle, Robert était audacieux et déterminé. Elle ne pouvait s’empêcher de sentir un frisson dans son ventre, quand il la traitait comme une créature, plutôt que comme une demoiselle.

Lorsque la danse s’est terminée, Bérengère s’est dirigée vers Guillaume, mais elle a été retenue par Robert qui la fit asseoir sur ses genoux. Il s’était installé de manière à ce que Guillaume puisse voir clairement, et il a posé sans vergogne sa main sur le haut de la cuisse de Bérengère. Bientôt, tout en discutant nonchalamment du travail avec Guillaume, sa main caressait la cuisse de la jeune femme, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde.

Lorsque l’envie de danser le reprit, Robert a entraîné Bérengère pour danser près de Guillaume, posant immédiatement une main sur son cul sublime en l’attirant contre lui. Bérengère, comprenant que son fiancé ne lui serait d’aucun secours, posa sa joue sur la poitrine musclée de Robert. Ils se balançaient sur un rythme langoureux. Subitement, Robert lui pencha la tête en arrière pour l’embrasser à pleine bouche.

Un baiser passionné, bouche ouverte, auquel elle ne résista pas. Elle savait que Guillaume la regardait répondre favorablement au baiser de son patron. Guillaume a vu son patron prendre de plus en plus de libertés avec sa fiancée. Il savait qu’il devrait au moins essayer de manière diplomatique d’y mettre un terme, mais ne voulait pas provoquer la colère de Robert.

Lorsque Robert a embrassé Bérengère, son conflit intérieur a atteint son maximum. La réaction de Bérengère le déconcertait. Le baiser de Robert suggérait un droit, comme s’il pouvait avoir tout ce qu’il voulait, mais la manière qu’avait la jeune femme de se soumettre au baiser, suggérait-elle que Bérengère acceptait cette évidence?

Encore une fois, à la fin de la danse, lorsque Robert installa de nouveau Bérengère sur ses genoux, Guillaume décida de ne rien dire. Bérengère passa son bras sur les épaules de Robert, et les deux tourtereaux s’embrassèrent langoureusement. Quand Robert mit fin au baiser, il regarda Guillaume droit dans les yeux, comme une provocation.

«Nous allons nous coucher. Guillaume, vous pouvez prendre la chambre d’amis.»

Il enlaça Bérengère et entraîna la jeune femme derrière lui. Guillaume regarda partir sa fiancée avec confusion, la main de Robert sur ses fesses, et le majeur qui s’insérait entre elles. La jeune femme rougissante suivait docilement le maître des lieux, sans un regard en arrière.

Guillaume restait assis, seul, médusé. Il venait de voir son patron lui piquer sa femme. De toute évidence, il allait la baiser. Ses pensées s’emballaient en pensant à ce qu’il devrait faire. Devait-il partir en abandonnant Bérengère? Devrait-il aller la chercher et exiger qu’ils partent ensemble, immédiatement? Mais la jeune femme n’avait pas montré de résistance, était-elle consentante? Accepterait-elle de le suivre s’il l’exigeait?

Il entendait des bruits venant de la chambre proche, des exclamations, puis un cri de Bérengère. Résistait-elle? Est-ce que le couple se disputait? Avait-elle besoin de secours? Guillaume se leva et vint coller son oreille à la porte de la chambre. Juste pour savoir si Bérengère avait besoin de son aide, et s’il devait intervenir.

En écoutant attentivement les sons émanant de l’intérieur, il comprit que les bruits qu’il entendait n’étaient pas des bruits de lutte, ou des cris de rage, mais de doux sons féminins qu’émet une jeune femme quand on lui fait l’amour.

Il entendait clairement sa femme haleter, gémir et s’extasier. Bérengère a poussé un autre cri. De douleur? De surprise? D’extase? Le ventre de Guillaume était noué, mais sa bite était bien raide tandis qu’il écoutait sa femme être intime avec un autre homme.

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