Un fils indigne 05

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Bbw

J’arrive dans la cuisine et j’aperçoit immédiatement ma mère, Isabelle, debout devant l’évier en train de faire la vaisselle du petit déjeuner.Je sens mon ventre s’embraser.Elle est vêtu d’une espèce de kimono en soie ultra court qui s’arrête à la limite de ses fesses.Elle est juchée sur ses mules à talons.Je m’approche d’elle silencieusement et me collant subitement, avançant mon ventre pour qu’elle sente mon sexe bien dur. Je lui empoigne ses seins par la même occasion..Elle sursauta et tenta de se dégager mais je la coinçait contre l’évier.Ma main se faufila sous le kimono et je lui touchait la chatte, introduisant mon index dans sa fente.Je la retourne et elle me regarda avec cet air qu’elle avait toujours quand j’avais envie de la baiser.Un regard de reproche et de soumission.J’appuie sur ses épaules et lui ordonne de me tailler une pipe.La petite pipe du matin pour se mettre en forme et bien commencer la journée.Elle s’agenouilla et baissant mon caleçon sur mes cuisses , pris ma bite à pleine main, me branlant légèrement, avec douceur.Elle me regarde par en dessous..Soumise.Elle aspira ma queue et commença à me sucer.Me titillant le gland avec sa langue, me léchant les couilles, me masturbant.Nen pouvant plus, je la relevais et l’allongeait sur la table de la cuisine.Lui relevant les jambes à la verticale, je la pénétrait de toute ma longueur.Elle poussa un gémissement quand elle senti ma queue s’enfoncer dans son ventre.Je commençais les allers-retours.la pilonnant comme une brute tant j’étais exciter.ma mère répondait à mes va et vient.Secouant sa tête de droite à gauche en poussant des petits cris brefs.Le regard fou, j’observe mon membre luisant rentrer et sortir du ventre de ma mère à une cadence infernale.Ma mère gémit, se plaint, supplie.

– Oui…Oui.Vas y, salaud, bien à fond, bourre moi comme une chienne.

– T’es vraiment une salope!

– Oui, t’as salope mon chérie, baise moi.

J’accélérais mes coups de reins la pénétrant encore plus loin, elle criait chaque fois que je lui perforais la chatte.Je sentis les picotements du plaisir arriver et je sortis précipitamment du vagin de maman pour lui éjaculer tout mon sperme sur son ventre..

Depuis que maman a été contrainte par Chris de se faire sauter comme la dernière des putes dans l’arrière-salle d’un bar sordide, je rumine ma vengeance. Je sonne à la porte d’entrée du pavillon de Chris et c’est sa mère qui m’ouvre. Je vous ai déjà parlé de Nadine. Elle est plus petite que maman, je sais qu’elle est un tout petit peu plus âgée que ma mère, elle a 48 ans, des jambes magnifiques toujours mis en valeur. Sa poitrine est moins grosse que celle de ma mère mais ca n’empêche pas que j’ai toujours fantasmé sur elle.Aujourd’hui, j’ai décidé d’en faire l’instrument de ma vengeance. Nadine me sourit en me reconnaissant.

– Tiens, Gabriel.Comment vas-tu? Tu sais Chris n’est pas la.

Elle me fait la bise et j’entre.

– Je sais qu’il n’est pas la, c’est vous que je voulais voir.

Elle parait surprise mais ne dit rien.Nous nous asseyons sur le canapé.

– Je peux t’accorder quelques minutes mais pas plus j’ai rendez vous avec une amie pour aller faire une partie de tennis dans notre kütahya escort club.

Elle n’avait pas vraiment besoin de me le signaler.J’ai failli avoir une éjaculation quand je l’ai vu.Elle est très sexy dans une jupette blanche sur des collants brillant satiné avec des baskets.Son polo Lacoste moule une poitrine agressive.Elle croisa ses jambes et je ne pus m’empêcher de mater ses cuisses dévoiler par la jupe.Je prends un air contrit et commence à lui raconter mon histoire..

Comment ma mère a été kidnappé et contrainte par Chris de se prostituer dans un bar.Et que j’ai toutes les peines du monde à empêcher maman de porter plainte à la Police.

Nadine devient aussi blanche que son polo.Bon, j’ai enjolivé un peu l’histoire, maman est très, très, loin de vouloir porter plainte mais enfin.

Nadine reste les yeux dans le vague un instant, ses lèvres trembles puis elle se tourne vers moi, le regard larmoyant et demande d’une voix brisée.

– Mais que compte faire Isabelle?

– Je pense que je peux arriver à la dissuader de porter plainte contre Chris.

Elle me regarde de la reconnaissance dans les yeux.

– Tu ferais ca?

Mon coeur bat très fort dans ma poitrine, le moment est arrivé, ça passe ou ça casse.

– A une condition.

– Laquelle? Dis-moi? Je ferais tout pour que Chris n’aille pas en prison.

C’est beau l’instinct maternel.

Je me rapproche d’elle et pose une main possessive sur sa cuisse gainée de nylon.Je commence à la remonter doucement.Nadine se leva d’un bond, me repoussant.Les joues rouges, le souffle court.

– Mais…Qu’est ce qui te prend enfin Gabriel! Tu pourrais être mon fils!

Je me lève et la rejoint.

– Mais c’est vous qui venez de me dire que vous feriez n’importe quoi.

– Mais.mais.bafouille t’elle.

Elle me regarde avec effarement, pour la première fois, elle réalise que je suis un homme et qu’elle est une jolie femme et que, malgré la différence d’âge, j’avais envie d’elle.

Je me colle presque à elle, elle ne recule pas.Je pose ma main sur un de ses seins et le malaxe un peu à travers le polo.On ne se quitte pas des yeux.Elle est toute rouge et se recule de nouveau.

– Non.Non.Il ne faut pas.

Je fais mine de partir en lançant.

– Très bien! Maman ira porter plainte ce soir.C’est combien la peine de prison pour agression sexuelle déjà? 15/20 ans non?

Et pour chantage, c’est combien au fait?

– Non! d’accord, d’accord.Je ferais tout ce que tu voudras.

Je me retourne, triomphant.Nadine me regarde les bras ballants au milieu de son salon.

– Soulève ta jupe.

Elle souleva doucement sa jupette blanche la remontant jusqu’en haut laissant apparaitre les cuisses fuselées et le string rose emprisonné dans le fin collant.Je lui demandais de se retourner et elle obéit.Sa croupe moulée dans le nylon me fit l’effet d’un électrochoc!! Je me précipite et commence à lui malaxer son cul, le contact du nylon, sur mes mains, me donne un trique d’enfer.Je dois être un peu fétichiste.Collé à elle, je remonte mes mains et lui malaxe les seins.Cette fois, elle ne se dérobe pas.Ma main se faufile sous le polo, je manisa escort sens un soutien-gorge.

– Déshabille toi, fais moi un strip-tease! lui dis-je en m’installant dans le canapé.

Honteuse, rougissante mais une lueur trouble dans le regard, Nadine alla allumer la radio et tomba sur une musique entrainante. Elle commença à danser, enlevant tout doucement sa jupette qu’elle laissa tomber à terre, apparaissant en collant.Son polo y passa aussi et je sifflais en découvrant un soutien-gorge pigeonnant en dentelle rose assortie avec le string.Elle baissa son collant mais je l’arrêtais la.Je lui demandais de venir me rejoindre.Elle commença à avancer gêné par le collant toujours descendu à mi-cuisse .

Je claquais des doigts.

– Non! A genoux, salope.

Elle sursauta sous l’insulte mais s’exécuta.Elle avança péniblement sur le dallage, ses seins ballotant. Quel pied de voir une femme qu’on a tant désiré être à vos pieds.

Elle arriva prés de moi et je lui ordonnais de sortir ma bite et de me sucer.

Elle me regarda avec un air outré mais d’une main tremblante elle s’activa sur la fermeture de mon jean et dégagea ma bite de mon caleçon. Ma queue jaillit comme un ressort.Elle observa un instant ma bite dressée devant ses yeux comme si elle se demandait quoi faire.J’appuyais un peu sur sa tête.

– Vas y, suce moi salope, pompe ma bite et applique toi, fais comme avec ton mari.

Je prends un plaisir immonde à faire référence à son mari.

Je frémis en sentant la langue de Nadine s’enrouler autour de ma bite.Ma queue s’enfonça dans la bouche brulante de la mère de Chris.Quelle vengeance!! Je dirigeais Nadine en appuyant sur sa tête.Elle montait et descendait sur ma queue, salivant dessus. On n’entendait plus que les bruits de succions et mes halètements.La maman de mon copain était une sacrée suceuse!

Sa main tenait mon sexe, j’observais avec plaisir ma bite qui disparaissait dans sa bouche aux rouge à lèvres carmins.Par moment elle me branlait avec ses doigts aux ongles longs et vernis.

Je savoure cette fellation digne d’une professionnelle.Je donne des coups de reins involontaire voulant m’enfoncer encore plus loin dans la bouche de Nadine, elle a des hauts le coeur par moment et ses yeux se remplissent de larmes.

J’ai relevé Nadine et je l’ai contrainte à s’allonger par terre. Je baisse les balconnets de son soutien-gorge et suce les pointes de ses seins. Les malaxant sans douceur, mordillant ses tétons.Elle poussa un gémissement. Le collant baisée, j’écarte le string découvrant sa fente.Elle est rasée, je caresse le simple duvet.J’introduis deux doigts dans sa vulve, elle est légèrement humide.Nadine n’est donc pas indifférente au traitement qu’elle subie depuis tout à l’heure.Je m’agenouille et lui relève les jambes.Je suçai son clitoris, le mordillant légèrement, Nadine répondit en donnant un imperceptible coup de rein.Je dirigeai mon membre vers son vagin et m’introduisis dedans.Nadine sursauta mais ne dis rien.

– Je vais te baiser.

Pas de réaction.Je m’enfonçais au maximum dans le con de Nadine et ressortait pour m’enfoncer de nouveau de toute ma longueur.Je commençais à lui mardin escort donner des coups de reins. Je sentis soudain les mains de Nadine m’agripper les avant bras.

– Oui.oui.baise moi à fond, défonce moi.

Tout content, j’accélérais mes coups de reins, m’enfonçant encore plus dans le ventre de la mère de Chris. Je la limai en profondeur m’enfonçant jusqu’aux couilles.Nadine criait par moment, me suppliant de la déchirer.Je la retournais et la prenait en levrette. Les mains crochées aux hanches grasses de Nadine, je la bourrais comme un sauvage en poussant des cris inarticulés auquel répondaient les gémissements de Nadine, la tête cachée dans ses bras et qui poussait des cris.

– Oh.Oh.Oh.Mon Dieu.Oui.Oui.

Mon bassin allait cogner contre ses fesses avec violence.Je serrais tellement fort ses hanches que j’eu l’impression que j’allais les briser.Mon ventre claquait de plus en plus fort contre ses fesses.J’étais en sueur et j’entendais Nadine qui haletait comme si elle manquait d’air, qu’elle n’arrivait plus à respirer.

Je sortis du ventre de Nadine, la queue encore raide et appuyait mon gland sur l’ouverture de ses reins.Nadine paniqua et cria :

– Non.Non.Pas ca.Je ne l’ai jamais fait.

Je lui donnais une claque sur les fesses en ricanant.

– Ce n’est pas vrai? Tu veux me faire croire que t’es encore vierge du cul à ton âge? C’est parce que la bite de ton mari n’est pas assez grosse?

Je donnais un violent coup de reins et ma bite rentra d’un coup dans l’anus de Nadine.Elle poussa un hurlement.Je savourais cet instant magique.J’étais en train d’enculer la mère de Chris! Je commençais à bouger permettant à Nadine de s’habituer à l’épaisseur de mon membre qui coulissait dans son trou du cul.Elle gémit sourdement et elle commença à onduler de la croupe.Je la saisi aux hanches et j’accélérais mes va et vient, la pilonnant de plus en plus vite.Nadine poussa soudain un cri bref..Elle eu un orgasme foudroyant qui la laissa pantelante, effondrée sur le sol.C’est totalement passive qu’elle continua à subir mes coups de bite dans son cul.

Je n’arrivais plus à me retenir et je sortit du cul de Nadine, j’empoignais ma bite et me masturbait au dessus du visage de la mère de Chris.Elle est en sueur, sa permanente est complètement détruite.Je me masturbe tout en lui enfonçant ma bite entre ses lèvres et en lui ordonnant de me sucer ce qu’elle fit avec un plaisir non dissimulé.J’éjaculai en libérant des giclées de sperme qui allèrent s’écraser sur le visage de Nadine.Elle passa sa langue sur ses lèvres, avalant du sperme.Quelle salope!!Si j’avais su, je l’aurais baisé plus tôt!

Nadine est de nouveau prête pour aller faire sa partie de tennis.Maintenant que l’excitation est retombée, elle me dit que c’est mal ce que nous venons de faire et qu’il ne faudra pas recommencer. Hypocrisie charmante et typiquement féminine. Je lui fis un sourire enjôleur.

– Je n’ai pas l’intention d’arrêter…T’es une sacrée salope! Tu seras à ma disposition si tu ne veux pas que ton fils apprenne tout et je te rappelle qu’il peut passer de longues années en prison à faire des pipes aux autres détenues.

Elle baissa la tête acceptant sa nouvelle condition de femmes soumises.J’étais assez fier de moi, tout comme Philippe et mon père j’étais en train de me constituer mon petit harem.Et je me demandais bien avec laquelle j’allais pouvoir continuer à élargir mon cheptel..Si vous voulez le savoir, rendez vous au prochain épisode mes amis.

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Femme Séduite Par Le Patron

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Un jeune couple se rend chez le patron du gars et, après une journée de tension sexuelle entre le patron et la jeune femme, le patron la séduit, et abuse d’elle.

Bérengère a ressenti une immense déception lorsque Guillaume lui a expliqué, en s’excusant, qu’ils devaient reporter leur voyage à Venise. Il lui annonçait que Robert, son patron, avait besoin de lui pour planifier un rendez-vous avec un client important, qui avait avancé sa venue de deux semaines. Il lui a promis qu’ils pourraient y aller le mois prochain, en essayant d’apaiser son évidente irritation.

«Je vais en avoir pour la journée entière à organiser la logistique et à peaufiner tous les détails. La bonne nouvelle, c’est que Robert m’a proposé de venir travailler chez lui plutôt qu’au bureau. Il a dit que tu pourras m’accompagner pour profiter de sa piscine pendant que je travaillerai.»

Son patron lui avait présenté cette offre en prétendant que cela calmerait la contrariété de la jeune femme, et qu’une journée passée à bronzer au bord de la piscine rétablirait l’harmonie dans le couple.

Bérengère se résigna à reporter ses vacances, se consolant en pensant à sa journée de farniente au bord de la piscine. En cas d’imprévu, si son travail se prolongeait plus longtemps que prévu, Guillaume lui a indiqué qu’elle devrait prendre des affaires pour la nuit.

Bérengère a été accueillie chaleureusement par le patron. qui a salué Guillaume en lui serrant la main, et il a enlacé Bérengère en la complimentant sur sa beauté, avant de l’embrasser familièrement. Bérengère était vêtue de manière sexy, d’une courte jupe en tartan et d’un chemisier vaporeux, qui dévoilait son haut de bikini. Sexy et classe à la fois, la mignonne jeune femme a rougit légèrement à cause du compliment et de la manière un peu rustre du patron qui la pressait fortement contre son torse musculeux.

Robert était un véritable colosse. Puissamment bâti, très grand et large d’épaule, il se dégageait de sa personne une assurance et une estime de soi. Il est très bel homme, pensa-t-elle.

Bérengère a observé le contraste entre Robert et son mari. Robert avait la cinquantaine, tandis que Guillaume avait la trentaine. Robert était taillé comme un culturiste, tandis que Guillaume était plutôt maigrichon, et Robert dépassait Guillaume d’une bonne tête. Robert installa Guillaume dans son bureau, et prit Bérengère par le poignet.

«Venez voir la piscine, Bérengère» et il l’entraîna dehors. Bérengère sourit à Guillaume en agitant ses doigts vers lui.

Guillaume a regardé sa fiancée de 23 ans partir tout en organisant ses documents pour commencer son travail.

«Voilà !» annonça triomphalement Robert. «Vous pouvez bronzer sur les chaises longues, ou vous mettre à l’ombre sous le patio si vous avez trop chaud. Les toilettes de la piscine sont juste là, et vous avez des rafraîchissements ici».

Robert a laissé la jeune beauté s’installer, en rejoignant Guillaume dans la maison pour lui donner ses instructions. Restée seule au bord de la piscine, Bérengère se posait des questions sur cet hôte bizarre. Vivait-il seul dans ce grand domaine? Sans femme, sans enfants, même pas un serviteur? Il parlait à Guillaume comme si c’était son domestique, et s’adressait à elle avec douceur, comme s’il parlait à une enfant.

Robert aidait Guillaume à débarrasser le bureau afin qu’il puisse s’installer quand soudain, il a vu sa corbeille de lotions et de crèmes protectrices et hydratantes qu’il avait préparé pour Bérengère. S’apercevant de son oubli, il a saisi sa corbeille et s’est précipité vers Bérengère pour lui proposer ses services.

Au bord de la piscine, Bérengère appliquait déjà son propre produit. Elle était maintenant seulement vêtue de son bikini, qui dévoilait ses courbes alléchantes. Ses formes parfaites confirmait les espérances de Robert. C’est en voyant la photo de Bérengère sur le bureau de Guillaume qu’il avait conçu ce plan sulfureux.

En voyant cette photo de la jeune femme sage et réservée, son sourire coquin et une lueur dans son regard lui avait fait soupçonner une nature sensuelle. La baratinant sur la qualité des produits qu’il lui présentait, il s’est approché tout près d’elle. Voyant le doute dans ses yeux, Robert lui demanda simplement de s’allonger.

«Allez, jeune fille, faites-moi confiance, je ne voudrais pas que vous brûliez !».

Il prenait la direction des opérations, sans lui demander son avis, et la jeune femme abasourdie se laissait diriger. Une autre différence entre Robert et Guillaume. Là où le jeune homme demandait, suggérait, Robert lui disait quoi faire. Tel un père, ou un patron habitué à dicter ses instructions.

Elle s’allongea sur le ventre, et Robert commença à appliquer de la crème sur son dos. Ses grandes mains puissantes et chaudes massaient les chairs tendres en insistant, prétextant que le produit agissait mieux en le faisant pénétrer. Elle ne pouvait s’empêcher de ressentir les bruissements des papillons au fond de son ventre que lui procurait le massage.

D’abord les épaules, diyarbakır escort les bras, le dos, sans oublier de glisser ses mains sous les bretelles du soutien-gorge. Dans les reins, même processus, il a glissé ses doigts sous l’élastique de la culotte. Puis les jambes, l’une après l’autre, étalant la lotion suffisamment haut entre ses cuisses pour faire frissonner la jeune femme.

«Tournez-vous». Bérengère était déconcertée par la façon énergique dont Robert gérait la situation. Il lui disait quoi faire, et elle suivait ses ordres, subjuguée par la forte personnalité du patron. Puis, il s’est mis à la toucher si près de ses zones intimes en appliquant sa lotion, jusque sous le fragile tissu. Il la massait en pétrissant ses chairs, alors que tout homme devrait savoir que ces endroits de son corps étaient réservés à son chéri, mais il agissait comme s’il l’ignorait.

Robert a laissé Bérengère seule au bord de la piscine, avec cette tache d’humidité sous sa culotte, et a rejoint Guillaume qui était au téléphone. Il notait sa progression sur un bloc-notes, collait des post-it, suivant un cheminement rigoureux.

Robert pensa qu’il pouvait le laisser travailler, car il n’avait besoin d’aucune aide. Tout se passait bien, et il pensait qu’il serait aussi bien au bord de la piscine, avec Bérengère, pendant que Guillaume organisait le programme.

Robert est allé se changer dans sa chambre, en arrangeant le positionnement de sa bite devant son miroir, afin que Bérengère puisse bien voir la taille de l’engin. Jetant une serviette sur son épaule, il se dirigea vers la piscine.

Bérengère regarda Robert s’approcher d’un pas décidé, en admirant sa carrure, sa musculature, sa stature. Tout son être dégageait une puissance tranquille, mais le gonflement de son slip de bain fit rougir la jeune femme, qui détourna le regard. Robert, qui la surveillait à travers ses lunettes de soleil, fut satisfait de sa réaction.

Il s’est allongé sur une chaise longue, près d’elle, de manière à ce qu’elle puisse admirer son … corps !

Bérengère était impressionnée par la taille de son sexe. Elle faisait de son mieux pour regarder ailleurs, mais mentalement, elle ne pouvait s’empêcher de comparer avec celui de Guillaume. Bien évidemment, la comparaison n’était pas en faveur du jeune homme.

Est-ce qu’un pénis aussi gros n’était gênant pour son propriétaire? Était-ce douloureux pour sa partenaire? Elle comprenait, en voyant son sourire satisfait, qu’il savait qu’elle avait vérifié son colis, et que toutes ces questions se bousculaient dans son esprit.

Essayant de dissimuler sa gêne, elle tentait de comprendre ses supputations grivoises, ne sachant pas si elle éprouvait de l’envie ou de la crainte d’être baisée par un tel morceau. C’est à ce moment-là que Robert a décidé de baiser cette délicate jeune femme.

«Il commence à faire chaud au soleil, venez vous baigner» dit Robert en se levant. Bérengère le regarda d’un air penaud, visiblement embarrassée : «Ne vous moquez pas de moi, mais je ne sais pas nager». Elle lui parlait en baissant les yeux, visiblement gênée.

«Venez avec moi, je vais vous apprendre» décida Robert, en soulevant Bérengère de la chaise longue comme si elle était un poids plume. Dans les bras du colosse, elle se tortillait, troublée, en agitant les jambes.

“Il est temps que vous appreniez”. Bérengère s’étonnait de sa force, et se sentait en sécurité dans ses bras. Il la déposa dans l’eau. Dans cette partie de la piscine, elle avait de l’eau juste en dessous des seins, et Robert juste au-dessus de la ceinture.

«Maintenant, je vais vous aider à flotter. Utilisez vos bras et vos jambes comme je vous l’indiquerai» ordonna-t-il, passant sa main sous son ventre pour la maintenir à la surface. «Ne vous inquiétez pas, il ne vous arrivera rien» Il la soutenait en lui enseignant quoi faire.

Robert a soudain passé son bras entre les jambes de la jeune femme, son avant-bras calé confortablement dans son entrejambe, la paume de sa main sous son estomac, le bout de ses doigts juste entre ses seins. Bérengère tressaillit, surprise de sentir ainsi tenue.

Robert admirait les fesses fermes de la jeune femme, tandis qu’elle se tortillait en agitant les jambes. Il pensait qu’elle avait un petit cul parfait pour la sodomie. Ses pensées salaces faisaient palpiter son sexe qui se gorgeait de sang.

Après que Robert se soit assuré que Bérengère maîtrisait les bases, il lui a offert une pause.

Retirant tirant lentement son bras d’entre ses jambes, utilisant la gravité pour que l’entrejambe de Bérengère reste en contact, il a glissé sa paume tout le long de son ventre, jusqu’à ce qu’elle effleure sa chatte. La pauvre fille eut beau se cambrer, rien n’y fit, et elle dû subir l’impertinente caresse du mâle dominateur.

Elle le dévisagea rapidement, essayant de déterminer si cela pouvait être involontaire. Mais ni son visage impassible, ni ses yeux cachés par les lunettes de soleil ne trahissaient ses pensées lubriques. Sortant edirne escort de l’eau, Robert lui indiqua de s’allonger pour qu’il puisse remettre plus de lotion sur elle.

Bérengère hésitait, pas convaincue, mais Robert attrapa le flacon et tapota la chaise longue impatiemment. Encore une fois, elle céda. Elle se dirigea lentement vers la chaise, comme une suppliciée monte à l’échafaud. Vaincue, elle s’allongea, acceptant sa capitulation. De nouveau, elle sentit ses mains fortes et chaudes masser sa peau, les doigts pétrissait ses chairs de manière experte.

Puis, comme précédemment, ses doigts s’infiltrèrent sous le tissu du bikini, au plus près de ses zones érogènes. Sans subtilité ni délicatesse, ses mains prenaient possession du jeune corps docile. Finalement, il a dû arrêter ses caresses, car son pénis menaçait de se tendre.

Robert s’est éloigné sous le prétexte de surveiller le travail de Guillaume. Le jeune homme n’avait besoin de rien, mais le patron, lui, avait besoin de se calmer et de laisser redescendre son niveau d’excitation. Il est allé préparer une collation pour Guillaume et pour Bérengère, qu’il leur a apporté.

Plusieurs fois, le patron a dû s’éloigner pour surveiller l’avancement du travail de son employé. À chaque fois, Guillaume jetait un coup d’œil effaré à la bosse qui gonflait le slip de bain de son patron.

À midi, ils ont mangé sous le patio, grillades et salades. Puis, Guillaume est retourné travailler, et Robert a continué ses travaux d’approche auprès de Bérengère, l’émoustillant et la troublant par son comportement indécent.

En début de soirée, sentant la griserie de sa proie au paroxysme, il lui a proposé une douche pour se rafraîchir avant le dîner. L’entraînant dans sa chambre, pour la conduire dans la salle de bain attenante, il lui a montré le fonctionnement, et lui a expliqué ce qu’elle avait besoin de savoir. Puis il l’a laissée en disant qu’il allait commander des pizzas. Il n’a pas été retenu longtemps pour passer commande.

Puis il est retourné la rejoindre dans la salle de bain. Bérengère était nue sous la douche, elle s’était savonnée et elle était en train de se rincer. C’est pour ça qu’elle ne la pas vu venir. Stupéfaite, elle a vu Robert rappliquer sous la douche, entièrement nu. Elle a bien essayé de se couvrir, lui demandant ce qu’il faisait là. Robert a rigolé en lui disant que c’était une douche à deux places, et il lui a demandé si elle avait honte de son corps.

«Ce n’est pas question de ça, je suis fiancée avec Guillaume, je ne suis pas libre» lui a-t-elle rappelé.

«Et alors, quoi, on prend juste une douche !» Il a répliqué. «J’ai déjà vu des filles nues, auparavant, et t’es pas mal foutue !» Il continuait : «Tiens regarde, t’en as déjà vu des bites comme celle-là !»

Bérengère ne put s’empêcher de rester bouche bée devant sa bite en semi-érection. L’engin pendait, trois fois plus long que celui de Guillaume, et bien plus gros. Son sexe tressaillait, indiquant l’excitation de son propriétaire.

Robert craquait devant le corps sexy de la jeune femme, sa chatte impeccablement épilée. Il était décidé à saisir sa chance, et à la forcer ici. Guillaume, dans le bureau proche, ne l’intimidait pas. C’était un être faible, veule, incapable de se rebeller. C’est d’ailleurs pour ça qu’il l’avait embauché, il l’avait à sa botte, et il le savait. Il pensait que ce garçon était un cocu en puissance, et il voulait qu’il sache qu’il lui volait sa femme, conquise par un être supérieur.

Il se retourna et lui intima l’ordre : «Frotte-moi le dos !» Bérengère était abasourdie, choquée, ne comprenant pas sa docilité face à cet individu hors du commun. Tremblante, elle a saisit l’éponge pour lui savonner le dos.

Une fois rincé, il est sorti de la douche, et l’a attendue en tenant une grande serviette déployée.

«Viens te sécher, petite» dit-il en entourant la fille nue avec la serviette chaude et en frottant son corps. Il la séchait comme un amant, massant ses seins, glissant le tissu éponge entre ses fesses et son entrejambe. Finalement, il laissa tomber la serviette et l’admira sous toutes les coutures, la faisant tourner sur elle-même.

«Tu es très belle, Bérengère. Beaucoup trop belle pour Guillaume !»

Sans qu’elle ait eu le temps de trouver une réponse cinglante pour lui clouer le bec, juste au même instant, on a toqué à la porte de la chambre.

«Robert?» Guillaume appelait doucement. «Je pense que j’ai fini, si vous voulez bien contrôler mon travail»

«C’est bien, va m’attendre dans le bureau, je te rejoins sous peu»

Alors que Guillaume attendait dans le couloir, près du bureau, il vit la porte de la chambre s’ouvrir, et fut surpris de voir sortir Robert, accompagné de sa fiancée. Bérengère était enveloppée dans un peignoir et, sans regarder dans sa direction, se dirigea vers la chambre d’amis. Robert adopta une attitude nonchalante en informant Guillaume qu’il avait montré à Bérengère comment utiliser la douche.

«Maintenant, montrez-moi votre edirne escort bayan travail» demanda Robert en changeant de sujet.

Après le dîner, Robert mit de la musique. Des musiques sirupeuses, propices aux danses langoureuses. Il invita Bérengère à danser. Guillaume regardait son patron enlacer la jeune femme, la presser contre lui, tandis que ses mains caressaient sa chair nue. Bérengère n’avait pas prévu de tenue de soirée. Guillaume lui avait dit de prévoir pour la nuit.

Elle n’était vêtue que de sa tenue de nuit, un short en pilou, et un haut coupé court qui laissait son ventre nu. Pratique pour dormir, impudique pour danser. Beaucoup de chair découverte, que le patron caressait tranquillement en dansant.

Finalement, ses mains puissantes descendirent sur le bas des reins pour presser fermement la jeune femme contre lui. Bérengère était décontenancée, elle ressentait un tourbillon d’émotions, serrée contre Robert et sa bite massive qui semblait vouloir pénétrer dans son ventre. Ce qui l’intriguait surtout, c’était l’absence de réaction de Guillaume.

Entre les danses, elle retournait s’asseoir auprès de son mari, mais chaque nouvelle danse était pour Robert, qui semblait ne pas avoir de limite dans l’impertinence

Bérengère n’était pas coutumière de se donner en spectacle. La façon dont cet homme grossier la touchait et l’attirait fortement contre lui, indiquait clairement qu’il en était le maître. Le traitement qu’elle recevait de Robert était exactement l’opposé de celui qu’elle recevait habituellement de Guillaume

Guillaume était doux et tendre avec elle, Robert était audacieux et déterminé. Elle ne pouvait s’empêcher de sentir un frisson dans son ventre, quand il la traitait comme une créature, plutôt que comme une demoiselle.

Lorsque la danse s’est terminée, Bérengère s’est dirigée vers Guillaume, mais elle a été retenue par Robert qui la fit asseoir sur ses genoux. Il s’était installé de manière à ce que Guillaume puisse voir clairement, et il a posé sans vergogne sa main sur le haut de la cuisse de Bérengère. Bientôt, tout en discutant nonchalamment du travail avec Guillaume, sa main caressait la cuisse de la jeune femme, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde.

Lorsque l’envie de danser le reprit, Robert a entraîné Bérengère pour danser près de Guillaume, posant immédiatement une main sur son cul sublime en l’attirant contre lui. Bérengère, comprenant que son fiancé ne lui serait d’aucun secours, posa sa joue sur la poitrine musclée de Robert. Ils se balançaient sur un rythme langoureux. Subitement, Robert lui pencha la tête en arrière pour l’embrasser à pleine bouche.

Un baiser passionné, bouche ouverte, auquel elle ne résista pas. Elle savait que Guillaume la regardait répondre favorablement au baiser de son patron. Guillaume a vu son patron prendre de plus en plus de libertés avec sa fiancée. Il savait qu’il devrait au moins essayer de manière diplomatique d’y mettre un terme, mais ne voulait pas provoquer la colère de Robert.

Lorsque Robert a embrassé Bérengère, son conflit intérieur a atteint son maximum. La réaction de Bérengère le déconcertait. Le baiser de Robert suggérait un droit, comme s’il pouvait avoir tout ce qu’il voulait, mais la manière qu’avait la jeune femme de se soumettre au baiser, suggérait-elle que Bérengère acceptait cette évidence?

Encore une fois, à la fin de la danse, lorsque Robert installa de nouveau Bérengère sur ses genoux, Guillaume décida de ne rien dire. Bérengère passa son bras sur les épaules de Robert, et les deux tourtereaux s’embrassèrent langoureusement. Quand Robert mit fin au baiser, il regarda Guillaume droit dans les yeux, comme une provocation.

«Nous allons nous coucher. Guillaume, vous pouvez prendre la chambre d’amis.»

Il enlaça Bérengère et entraîna la jeune femme derrière lui. Guillaume regarda partir sa fiancée avec confusion, la main de Robert sur ses fesses, et le majeur qui s’insérait entre elles. La jeune femme rougissante suivait docilement le maître des lieux, sans un regard en arrière.

Guillaume restait assis, seul, médusé. Il venait de voir son patron lui piquer sa femme. De toute évidence, il allait la baiser. Ses pensées s’emballaient en pensant à ce qu’il devrait faire. Devait-il partir en abandonnant Bérengère? Devrait-il aller la chercher et exiger qu’ils partent ensemble, immédiatement? Mais la jeune femme n’avait pas montré de résistance, était-elle consentante? Accepterait-elle de le suivre s’il l’exigeait?

Il entendait des bruits venant de la chambre proche, des exclamations, puis un cri de Bérengère. Résistait-elle? Est-ce que le couple se disputait? Avait-elle besoin de secours? Guillaume se leva et vint coller son oreille à la porte de la chambre. Juste pour savoir si Bérengère avait besoin de son aide, et s’il devait intervenir.

En écoutant attentivement les sons émanant de l’intérieur, il comprit que les bruits qu’il entendait n’étaient pas des bruits de lutte, ou des cris de rage, mais de doux sons féminins qu’émet une jeune femme quand on lui fait l’amour.

Il entendait clairement sa femme haleter, gémir et s’extasier. Bérengère a poussé un autre cri. De douleur? De surprise? D’extase? Le ventre de Guillaume était noué, mais sa bite était bien raide tandis qu’il écoutait sa femme être intime avec un autre homme.

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Die Annonce

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Amateur

Meine erste sexuelle Erfahrung mit einer anderen Frau hatte ich leider erst mit 34 Jahren, also jetzt vor ungefähr 2 Jahren.

Hätte ich gewusst, wie herrlich der leidenschaftliche Sex mit einer Frau sein kann, hätte ich es sicher schon früher ausprobiert.

Angefangen hatte alles mit einer Zeitungsannonce.

Ich war damals gerade seit einem halben Jahr von meinem Ex-Mann geschieden. Wir hatten uns auseinander gelebt, da wir beide sehr viel arbeiteten und eines Tages hatte mir mein Mann gestanden, dass er in eine andere Frau verliebt sei und so kam es zur Trennung.

Im Grunde war ich ihm gar nicht wirklich böse, im Bett hatte es schon lange nicht mehr richtig geklappt und so war es wohl auch besser so.

Ein halbes Jahr später las ich morgens vor der Arbeit in meiner Wohnküche die Zeitung.

Ich bin eine recht erfolgreiche Innenarchitektin und an diesem sonnigen Frühlingsmorgen hatte ich erst um 10:30 Uhr einen Kundentermin, so dass ich mein Frühstück in aller Ruhe genießen konnte.

Ich weiß nicht, ob es daran lag, dass ich schon seit mehr als einem halben Jahr keinen richtigen Sex mehr hatte, oder ob es nur Langeweile war. An diesem Morgen las ich auch die Kontaktanzeigen, was ich sonst eigentlich so gut wie nie mache.

Unter der Rubrik “Er sucht Sie” bemerkte ich eine weitere Rubrik “Sie sucht sie” mit nur einer einzigen Anzeige. Neugierig geworden las ich:

“19 jährige Schülerin sucht reifere Sie um gemeinsame Fantasien auszuleben. Zuschriften unter Chiffre 6969”

Als ich das las, traf es mich wie einen Schlag.

Ich las die Annonce noch ein zweites Mal.

Ich konnte es kaum glauben, da suchte tatsächlich ein 19jähriges Mädchen per Annonce eine ältere Frau, um es mit ihr wild zu treiben!

An dieser Stelle sollte ich vielleicht erwähnen, dass mich die Vorstellung Sex çorum escort mit einer Frau zu haben schon seit Jahren anmachte.

Angefangen hatte das, als ich mir damals mit meinem (jetzt Ex-)Mann gemeinsam Pornos angesehen hatte um ein bisschen Schwung in unser Sex-Leben zu bringen. Fast jeder dieser Pornos hatte natürlich auch Szenen, in denen es zwei oder mehr Frauen miteinander trieben. Vermutlich stehen Männer auf so was – mein Ex-Mann übrigens auch.

Jedenfalls stellte ich zu meiner eigenen Verwunderung fest, dass mich diese Lesbenszenen jedesmal auch ziemlich anmachten. Und wenn ich masturbierte stellte ich mir immer häufiger vor, es auch mal mit einer Frau zu treiben.

Nach dem ich dann geschieden war, hatte ich mir schließlich sogar tatsächlich mal einen reinen Lesben-Porno auf DVD übers Internet bestellt. Und ehrlich gesagt, war das in letzter Zeit mein absoluter Lieblings-Porno.

Die Szenen in denen sich zwei Frauen gegenseitig ihre feuchten Muschis lecken und dann ihre heißen Fotzen aneinander reiben machten mich immer unglaublich geil, und meistens dauerte es dann auch nicht lange, bis ich in einem heftigen Orgasmus kam. Doch bis zu diesem Zeitpunkt hatte ich nie daran gedacht, diese Fantasien auch in die Tat umzusetzen.

Doch nun wurde ich genau damit konfrontiert.

Ich las mir die Annonce noch ein drittes Mal laut vor.

Meine Fantasie spielte vollkommen verrückt.

Szenen, in denen eine 19-Jährige meine feuchte Muschi leckte, wie ich ihre junge Fotze streichelte und sie mit meinen Fingern fickte, wie wir unsere glitschigen Mösen bis zur Ekstase aneinander reiben und ähnliche Sauereien schossen mir durch den Kopf und ich spürte wie ich immer feuchter zwischen meinen Beinen wurde.

Geschockt von meinen eigenen lüsternen Gedanken, schollt ich mich denizli escort selbst und fragte mich, ob ich inzwischen vollkommen durchgeknallt war, oder ob ich nur einfach schon zu lange keinen Sex mehr gehabt hatte.

Ich legte die Zeitung zur Seite und stellte fest, dass ich mich langsam auf den Weg zur Arbeit machen musste.

Doch diese Annonce ging mir während des ganzen Tages einfach nicht mehr aus dem Kopf.

Als ich schließlich abends wieder zu Hause ankam, fiel mein erster Blick auf die Zeitung, die noch immer aufgeschlagen auf dem Küchentisch lag.

Erneut las ich die Annonce:

“19 jährige Schülerin sucht reifere Sie um gemeinsame Fantasien auszuleben. Zuschriften unter Chiffre 6969”

Mit einem Seufzer lege ich die Zeitung wieder zur Seite.

Da ich am Nachmittag auf einer Baustelle ein Treffen mit einem Kunden und seinem Architekten hatte und es dort recht staubig war, wollte ich schnell noch unter die Dusche.

Im Badezimmer zog ich mich aus. Als ich so nackt vor dem Spiegel stand, betrachtete ich meinen Körper und fragte mich, ob wohl ein 19jähriges Mädchen Gefallen an mir finden könnte.

Ich habe kurze blonde Haare und blaue Augen. Da ich 2mal pro Woche im Fitnessstudio einen Spinning-Kurs besuchte, war ich für mein Alter noch sehr gut in Form. Mein Hintern war noch recht knackig und meine durchtrainierten Oberschenkel zeigten noch kaum Anzeichen von Cellulite. Besonders stolz war ich aber auf meine Brüste, die nicht zu groß und nicht zu klein waren und die Schwerkraft hatte noch kaum Spuren hinterlassen. Meine Nippel standen bereits leicht erregt deutlich hervor. Meine Muschi rasierte ich mir immer vor meinem Fitnesstraining komplett kahl. Ich liebte nicht nur das weiche Gefühl sondern auch den herrlichen Anblick einer kahl rasierten Möse! Ich düzce escort hatte recht große Schamlippen und auch eine ziemlich große Klit, die bereits leicht aus ihrem Versteck hervor ragte, wie ich bemerkte.

Schon den ganzen Tag hatten mich die Gedanken an die 19jährige Schülerin erregt und so war ich inzwischen regelrecht geil und ziemlich feucht!

Ich stieg unter die heiße Dusche und begann mich genüsslich einzuseifen. Meine Hände wanderten über meinen heißen Körper und meine Gedanken wieder zu der Annonce und dem 19jährigen Mädchen.

Ich ließ meiner Fantasie freien Lauf und stellte mir vor, ihren jungen, strammen Körper zu streicheln und zu küssen, an ihren steifen Nippeln zu saugen und schließlich meine Zunge in ihre feuchte Fotze zu schieben und ihren heißen Mösensaft zu kosten.

Natürlich war meine Hand längst zwischen meine Beine gewandert und streichelten meine steinharte Klit mit schnellen Hin- und Herbewegungen, während meine andere Hand meine Brüste massierte.

Ich stellte mir vor, ihr dabei zu zusehen, wie sie genüsslich meine nasse Lustspalte leckte und an meiner steifen Klit saugte. Beim Gedanken daran, meine nasse Fotze an ihrer zu reiben, kam ich schließlich in einem unglaublich heftigen Orgasmus. Trotz der laufenden Dusche, spürte ich wie mir mein Mösensaft über die Hand und den Innenseiten meiner Schenkel hinab lief, während meinen Körper eine Lustwelle nach der anderen durchlief.

Wow, das war echt heftig!

Und von diesem Moment an wusste ich, was ich zu tun hatte!

Nach dem ich fertig geduscht, mich abgetrocknet und mir etwas Bequemes angezogen hatte, holte ich aus meinem Schreibtisch im Schlafzimmer einen Briefblock und aus der Küche die Zeitung und setzte mich mit einem Glas Wein ins Wohnzimmer und begann mit zitternden Händen einen Brief zu schreiben:

“Liebe Unbekannte,

ich habe Deine Annonce in der Zeitung gelesen…”

****

Dies ist der erste Teil meiner neuen Geschichte. Ich hoffe, sie hat Dir gefallen!? Wenn Du wissen willst, wie es weiter geht, würde ich mich über jede positive Wertung, Kommentar oder Mail sehr freuen! ;o)

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Verfickte Zombieschlampen 06

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Anal

„Die sind sogar ganz nützlich,” sagte Rebekka, als sie die Lanze untersuchte.

„Mhm. Und schwer,” antwortete ich und wog eine Hellebarde in meiner Hand. An den Wänden der Burg hingen diverse mittelalterliche Waffen, hauptsächlich Schwerter und Speere, aber auch ein paar Helme und Rüstungen.

„Naja, die sind jedenfalls für Mädels mit weniger Oberweite gemacht,” meinte Rebekka als sie eine Brustplatte misstrauisch beäugte, und dann mit ihrer eigenen, ausladenden Brust verglich.

Ich zuckte mit den Schultern. „Ist sowieso nicht vollständig. Da fehlt die Rückenplatte. Und selbst wenn wir das tragen könnten, würden wir nur noch im Schneckentempo weiterkommen. Ich stellte die Hellebarde in eine Ecke. „Aber du hast recht, wir sollten ein paar von den leichteren Waffen mitnehmen. Um die Zombies auf Abstand zu halten.”

Nach unserer kurzen Rast hatten wir damit begonnen, die Burg zu untersuchen, gingen von Raum zu Raum, immer auf der Hut vor jedem Geräusch, dass die Gegenwart eines Zombies andeuten könnte, aber das Gebäude war so still wie ein Grab.

„Also, wenn wir dann am Fluss angekommen sind, was dann?” fragte Rebekka und flüsterte dabei fast, als ob sie die Stille nicht durchbrechen wollte.

Ich zuckte mit den Schultern. „Da gibt’s irgendwo ein Bootshaus,” antwortete ich. „Die Passer ist für Schiffe nicht breit genug, aber wir haben einen Bootsverein.” Ich versuchte, mich an die genaue Stelle zu erinnern, aber es war schon viele Jahre her, dass ich dort gewesen bin.

Sie nickte und zerbrach ein paar Ausstellungsvitrinen, und spielte dann mit etwas, das wie eine eiserne Flöte aussah. „Und wohin dann?” fragte sie. „Was ist unser Ziel?”

Ich lehnte mich gegen die Vitrine und starrte in die Ferne. „Ich bin mir nicht sicher,” gab ich zu. „Mein Plan bestand hauptsächlich darin, auf ein Boot zu kommen, denn ich dachte, dass das der sicherste Ort wäre, an dem man in diesem Schlamassel leben konnte. Ich glaube, diese Zombies können nicht schwimmen, und wir können damit reisen und unsere Sachen darin verstauen, während wir außer Reichweite sind.” Vor meinem geistigen Auge wechselten sich die Bilder von uns auf einem Hausboot mit dem nagenden Bedenken ab, dass ich nicht das Geringste über Boote und Schifffahrt wusste. Ich war schließlich ein Mädel der Berge.

„Naja, und ich wollte nur weiter nach Süden kommen, denn ich will wirklich nicht in Tirol in der Patsche sitzen, wenn es Winter wird und wir kein Öl und keine Elektrizität haben. Also vielleicht Griechenland, oder die Türkei, oder Ägypten?” sagte ich und spekulierte über Länder, von denen ich kaum etwas wusste, und schon gar nicht, wie die Zombie Apokalypse sie getroffen hatte.

„Guter Plan,” sagte sie ernst, mehr zu sich selbst als zu mir. „Vielleicht können wir sogar nach Äthiopien und sehen, was da passiert ist. Es ist dort nicht so heiß wie in vielen anderen Orten in Afrika, und manchmal vermisse ich es.” Sie seufzte. „Komisch, oder? Ich war nicht mal 9 als wir geflohen sind, aber ich erinnere mich immer noch an das Hochland, den Monsun, und wie die Erde riecht.”

Ich nickte bitlis escort und fragte mich, wie es wohl sein musste, das Land der Kindheit zu verlassen. Andererseits, dachte ich dann, leben wir doch jetzt alle in einem neuen Land, und das Land unserer Kindheit war für immer verloren.

„Die müssen das hier wohl für Hochzeiten genutzt haben,” unterbrach Rebekka meine Gedanken, als sie eine zweiflügelige Tür aufstieß, die in einen festlichen, großen, dekorierten Raum führte, wo auf einem Tisch Hochzeitsarrangements ausgebreitet waren. Wir liefen umher und ließen unsere Hände über die künstlichen Plastikblumen streifen, die Kränze, die kleinen Porzellanfiguren von Braut und Bräutigam, die silbernen Kerzenhalter und das Spitzentischtuch.

„Das ist alles weg,” sagte ich plötzlich. „Die ganzen Rituale, die Religion, die Regierung. Hochzeit. Alles, was es bedeutet. Das ist alles weg.”

Rebekka runzelte die Stirn. „Das glaube ich nicht,” sagte sie. „Ich weiß immer noch, woran ich glaube. Und man braucht auch nicht unbedingt einen Pfarrer, oder Standesbeamten, oder Bürgermeister, oder was auch immer, um zu heiraten. Mein Gott, meine Liebe, mein Glaube und meine Treue sind alle hier.” Sie nahm meine Hand und legte sie auf ihre Brust, direkt über ihrem Herzen.

Ich sah ihr tief in die Augen. „Ich weiß nicht, woran ich glaube,” gab ich zu und spürte ihre weiche, warme Brust an meiner Handfläche. „Ich habe nie viel an Gott geglaubt. Oder an Heiraten. Oder an Rituale. Aber in dieser Welt, in der Leben nichts mehr wert ist, brauchen wir vielleicht mehr davon.”

Ich hielt inne und sah sie an. Sie nickte und lächelte sanft. „Willst du mir gehören?” fragte ich sie.

Sie sah mich an, stolz und ernst, aber tief berührt. „Du bist meine Herrin,” sagte sie. „Vom ersten Augenblick an, als ich dich gesehen habe, vom Moment an, als du mich berührt hast, war ich dein. Ich folge dir bis zum Ende der Welt und wieder zurück. Also ja, ich wäre mit Freuden dein.”

Ich lächelte, und zu meiner eigenen Überraschung fühlte ich, wie mir Tränen das Gesicht herabliefen. Vor lauter Aufregung und Anspannung und der beständigen Achtsamkeit hatte ich vergessen, was ich fühlte. Und jetzt kam es alles wieder zurück. „Es ist kaum noch jemand übrig,” sagte ich ein wenig linkisch und versuchte, die richtigen Worte zu finden. „Ich meine, es ist nicht so, als hätten wir beide eine riesige Auswahl, was Partner angeht. Aber selbst wenn, selbst wenn die ganze Welt noch am Leben wäre, unter all diesen Leuten würde ich nie eine bessere Dienerin finden als dich.”

Ich zog sie an mich und wir hielten uns eng umschlungen in den Armen, küssten uns leidenschaftlich und verzweifelt, als ob es das Einzige war, was noch zählte, die einzige Sache, die wir noch tun konnten, um Menschen zu sein. Sie schmeckte so gut, so vertraut, so sehr nach zuhause. Ich heulte wie ein Baby und Rebekka ebenfalls, meine Tränen liefen hinab auf ihren Hals und ihre Schulter als wir in inniger Umarmung dastanden.

Schließlich beruhigte ich mich ein wenig und sah in ihr Gesicht. „Also,” sagte ich. „Das bolu escort ist es dann? Ich meine, ich habe kein Halsband oder irgendwas. Ich hab noch nicht mal Musik.”

Sie lächelte zurück. „Wir brauchen das alles nicht,” sagte sie. „Wir können unser eigenes Ritual machen, etwas, das für uns funktioniert.” Und damit sank sie auf die Knie vor mir, ihr Gesicht auf Augenhöhe mit meinem Schamhaar. Sie sah zu mir auf und flüsterte, bevor sie ihren Mund weit aufmachte: „Gib mir dein Wasser, Herrin.”

Ich sah zu ihr hinab und spreizte dann meine Beine über ihr. Obwohl wir das nun mehrmals zuvor getan hatten, fühlte es sich in diesem Moment nur richtig an. Es war intim, vertraut, seltsam heilig und ganz unseres. Ich griff hinter mich und drückte langsam einen Finger in meinen Hintern, krümmte ihn und fühlte darin umher, bis ich den Platz gefunden hatte, der meine Blase kitzelte. Sofort schoss ein heißer Strahl aus meiner Spritzfotze direkt in Bekahs Gesicht.

Sie duschte im Pisseregen und schluckte alles, was in ihrem Mund landete, während der Rest ihren Kopf und ihre Brust bedeckte, warm und nass. Als der Strom nachließ, folgte sie ihm an meinen Venushügel und lutschte die letzten paar Tropfen heraus, und küsste es dann ehrfürchtig. Nun kniete ich ebenfalls und küsste sie, schmeckte meine Pisse auf ihren Lippen, roch sie auf ihrer Haut und spürte die Nässe auf ihren Titten. „Jetzt du,” sagte ich.

Sie lächelte und drehte sich um, ging auf alle Viere und schob ihren breiten, schwarzen Arsch zu mir hin, mit weit gespreizten Beinen, bis ihre süße Fotze leicht klaffte. Ich legte mich auf den Rücken unter ihr und sah nach oben, auf die dichten, schwarzen Afrolocken ihres Busches, als dieser sich auf mein Gesicht herabsenkte, während ihre Titten über mir schwangen.

Ihre Pisse kam in einem Schwall und traf mich in die Augen, so dass ich sie reflexartig schließen musste. Ich fühlte, wie es über mein ganzes Gesicht schwappte, wie Wasser aus einem Schlauch. Ich öffnete meinen Mund und spürte, wie es hineinregnete, schmeckte den salzigen, herben Urin bevor ich ihn runterschluckte. Sie musste ziemlich dringend, und hatte es wohl schon eine Weile angesammelt. Ihre Muschi hörte gar nicht mehr auf zu spritzen und durchnässte meine Haare, bis ich merkte, wie sich unter meinem Kopf eine Pfütze bildete. Ich schluckte noch immer alles, was ich kriegen konnte, und öffnete gelegentlich meine Augen, nur um dem rosigen Schlitz in ihrer schwarzen Möse dabei zuzusehen, wie er auf mich herabregnete.

Danach gingen wir langsam durch den Rest der Burg, Arm in Arm, als ob es unser Zuhause wäre. Im ersten Stock fanden wir ein paar Räume, die mit echten mittelalterlichen Möbelstücken eingerichtet waren. In einem davon stand sogar ein Bett. „Die haben an uns gedacht,” sagte ich lachend zu Bekah. „Wir kriegen sogar ein Bett.”

Sie grinste und sah sich interessiert die Pfosten an, welche ein Seil darum spannten, um Touristen davon abzuhalten, zu nah zu kommen. „Oh ja,” sagte sie. „Und sogar an Spielzeug haben sie gedacht.”

Sie warf ihre Kleider und Waffen ab, burdur escort und stand bald völlig nackt vor mir. Ich musterte ihren Körper langsam auf und ab und nahm alles in mich auf — ihre dunkle Haut, die breiten, runden Hüften, die großen Pobacken, ihren Bauch, die riesigen Hängetitten, das süße, dichte Schamhaar, das ich so sehr liebte, und natürlich ihr wunderschönes, liebliches Gesicht.

„Steig auf,” befahl ich ihr, in dem Wissen, dass sie nur auf meine Anweisungen wartete. Ohne zu zögern griff sie nach einem Pfosten und spreizte ihre Beine über seiner dicken, runden, knolligen Spitze. Es sah aus, als wäre es aus Metall, und schien schwer und kalt, aber sie schreckte nicht davor zurück. Ihre Schamlippen strichen darüber und hinterließen einen feuchten Schimmer überall, wo sie es berührten, und bald liefen auch ein paar übrig gebliebene Pissströme die Seiten herab, als sie es befeuchtete.

Ich ließ mich ihr gegenüber auf das Bett fallen und zog die Lederbeinschützer und die Jacke aus, warf meine Kleider ab bis mein bleicher, molliger, rothaariger Körper direkt vor ihr lag und ich meine Beine zu ihr hin spreizte. Sie beugte sich vor und schloss die Augen, während sie ihr bestes gab, um den dicken, harten, grapefruitgroßen Pfosten in ihre hungrige Fotze zu kriegen.

Plötzlich glitt er in sie hinein und ihre Augen weiteten sich bei dem Gefühl, während sie nach Luft schnappte. Dann folgte das Vergnügen, und sie beugte sich weiter vor und fing an, sorgfältig an meiner Muschi zu lutschen. „Was würde meine Herrin von mir wollen?” fragte sie und sah mich an.

„Du kennst mich doch,” sagte ich und zog meine Beine hoch, schob meinen Hintern nach oben und zog meine Pobacken mit beiden Händen auseinander. Sie nickte und kannte mich nur allzu gut.

Ihre Finger fingen an, in meiner Rosette zu stochern, dehnten und weiteten sie langsam und vorsichtig und bereiteten sie auf das vor, was nun kommen würde. Sie spuckte dabei beständig Speichel auf sie drauf und befeuchtete sie, bis sie so glitschig wie meine Fotze war. Dann spürte ich, wie ihre Hand in mich hineindrückte, gnadenlos, immer dicker und breiter werdend. Sie riss mein Arschloch weit auf, als sie schob.

Ich wollte es. Ich wollte es so dringend, wollte spüren, wie ich voll mit ihr war, von ihr gefickt wurde, grob und gewalttätig, von ihr benutzt werde, und fertig gemacht werde. Meine Fotze fing sofort an zu laufen. Als ihre Knöchel schließlich meinen Schließmuskel passierten fühlte es sich an, als ob sie mich gleichzeitig auseinanderriss und vervollständigte. Und dann fickte sie mich hart, tief und leidenschaftlich, grob und heftig, während sie auf dem Pfosten ritt, mit ihrer ganzen Hand in meinem Arsch.

Ich kam so heftig, und so viel. Mein Pissloch sprudelte und spritzte über das ganze Zimmer und der Gedanke daran, dass sie nun meine Sklavin war, ließ mich noch mehr kommen.

Nach einer Ewigkeit saßen wir schließlich nackt in einem Alkoven im ersten Stock der Burg und sahen aus dem offenen Fenster hinaus auf die paar Zombies, die ziellos auf dem Platz darunter umherstolzierten.

„Lass uns immer zusammen bleiben,” sagte ich.

Sie nickte. „Und nie mehr etwas gefährliches machen,” antwortete sie. „Ich will dich nicht verlieren, und ganz sicher nicht wegen einer Dummheit.”

Ich lächelte und küsste sie. „Abgemacht,” sagte ich.

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Meine Cousine und ich Teil 02

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Anal

Dies ist die Fortsetzung zu meiner allerersten Geschichte „Meine Cousine und ich”.

Ich habe mich sehr über die vielen Kritiken gefreut und versuche nun meine Geschichte noch etwas realistischer und erotischer zu gestalten.

Ich hoffe, dass diese Geschichte noch um einiges besser wird!

Kritik ist natürlich wie immer erwünscht 😉

Als ich meine entsetzte Tante gesehen hatte, stieß ich Bettina sanft von mir weg. Es war schwer zu sagen, wer von uns beiden röter im Gesicht war. Diese Situation war wirklich unangenehm.

Tante Isabella war ebenfalls rot angelaufen, doch ich konnte nicht sagen ob sie mehr Wut oder mehr Scham verspürte. Anscheinend eher ersteres, denn nachdem sie sich vom ersten Schock erholt hatte, begann sie lautstark uns zu belehren. Ich verstand kaum was sie sagte, denn das rauschende Blut in meinen Ohren übertönte fast alles.

Irgendwann, vermutlich nach 5 oder 10 Minuten, war Isabella fertig mit ihrer Standpauke. Meine Cousine und ich standen auf und zogen uns schnell an.

Während ich meine Jeans anzog, versuchte ich mich an die Wort von Isabella zu erinnern, die ich hatte aufschnappen können.

„Seit wann läuft das schon?” – „Das ist Inzest! So etwas ist verboten” – „…Hausarrest. Ich werde deine Mutter informieren!”

Ihre Worte kreisten in meinem Kopf wie die kleine Modelleisenbahn meines jüngeren Bruders. Aber was war daran schon falsch, wenn man zusammen Spaß hatte? Ich konnte nicht schwanger werden. Es wäre doch viel schlimmer gewesen, wenn meine Cousine ein Junge gewesen wäre?

Und während ich so nachdachte wurde mir klar, dass es mir egal war, was die anderen sagten. Ich bekam bursa escort immer was ich wollte. Und ich wollte Bettina. Und vielleicht auch sogar meine hübsche Tante?

Nach 2 Wochen harter Arbeit und argwöhnischen Blicken von Tante Isabella, relativierte sich die Situation nach und nach.

Meine Tante hatte meine Mutter nicht angerufen, weil sie mich noch als Arbeitshilfe hatte behalten wollen. War meine Mutter erst einmal alarmiert worden, war sie nicht mehr aufzuhalten.

Trotz dieser Demütigung war ich bei meiner Tante geblieben, denn ich wollte jede noch so kleine Gelegenheit ausnutzen, um Bettina noch einmal zu vögeln.

Mein Plan scheiterte jedoch ständig, denn meine Tante achtete stets darauf, dass wir nicht länger als ein paar Minuten alleine waren.

Es war hart für mich, gegen meinen Willen erzogen zu werden und es wurde nicht leichter, als mir meine Tante verkündete, dass meine Mutter bei einem Autounfall ums Leben gekommen war. Das hieß, dass ich nun für immer hier bleiben musste, denn ansonsten hatte ich keine anderen Verwandten. Mein Vater war nach meiner Geburt wegen seinem Drogenproblem ebenfalls verstorben.

Es dauerte lange, bis ich mich vom Schock und von der Trauer erholt hatte und vor allem: bis meine Lust zurückgekehrt war.

Eines Nachts wachte ich auf, denn mich plagte großer Durst. Außerdem hörte ich laute Geräusche, die meine Aufmerksamkeit erregten.

Ich ging zuerst in die Küche; danach lauschte ich angestrengt und vermutete, dass die Geräusche aus Tante Isabellas Schlafzimmer kamen.

Meine Muschi kribbelte schon allein wegen meinen erotischen Gedanken, çanakkale escort die ich mit diesem inzwischen schon leisem Stöhnen verband.

Im Prinzip hätte meine Tante Bettinas Zwillingsschwester sein können:

Schwarzes, seidiges Haar, süßer Knackarsch, wohlgeformte Titten und doch ein bisschen weiblicher und rundlicher.

Was Isabella wohl trieb?

Ich war nun vor Isabellas Zimmer und bemerkte, dass das Stöhnen nicht nur von ihr alleine kam. Ich riskierte einen Blick, indem ich die Tür einen Spalt breit aufmachte und reinschaute.

Doch ich traute meinen Augen nicht: Dort lag meine Tante, splitterfasernackt mit gespreizten Beinen und ließ sich von meiner Bettina, ihrer Tochter, die Möse ausschlecken und gleichzeitig mit einem Dildo in den Arsch ficken!

Ich hörte, wie der Dildo schmatzend rein und raus fuhr und wurde dabei so geil, dass ich mir meine Hand in meinen Slip schob und begann, mir meinen Kitzler zu reiben.

Was sollte ich tun? Sollte ich zum Liebesspiel hinzustoßen?

Doch während ich kurz vorm Höhepunkt war, kam mir eine viel bessere Idee. Aber diese würde ich erst in der nächsten Nacht durchführen können.

Ich sah jetzt, wie Bettina den Dildo beiseite legte und jetzt Isabella mit ihrer Zunge fickte. Isabella versuchte ihre Schreie zu unterdrücken, doch gelegentlich kam trotzdem ein lautes Stöhnen zustande. Sie flüsterte Bettina etwas zu, aber ich verstand es leider nicht. Dennoch konnte ich mir es ihrer lüsternen Blicke wegen denken und kam endlich zum erlösenden Orgasmus.

Jetzt wollte ich aber lieber schnell verschwinden, denn Isabella war ebenfalls kurz çankırı escort davor zu kommen.

Am nächsten Abend beschloss ich, meinen Plan durchzuziehen.

Es war kurz vor Mitternacht, als ich mich in das Zimmer meiner Tante schlich (natürlich ohne Klamotten!). Sie schlief tief und fest und vor allem nackt, wie ich zu meiner Freude feststellte. Vorsichtig ging ich zum Bett und hob die Decke hoch. Ich kroch darunter und krabbelte bis zu ihrer Muschi. Ich atmete ihren süßlichen Geruch ein und wurde dabei schon selber ganz geil. Ich streckte meine Zunge aus und näherte mich langsam ihrem Lustzentrum. Isabella war nicht rasiert, was mich noch zusätzlich geil machte. Ich begann mit meiner Zunge ganz langsam von ihrem Poloch bis zu ihrem Kitzler hin zu lecken, wie ein Hund. Dabei steigerte ich mein Tempo stetig und währenddessen flossen immer mehr Säfte aus der Muschi meiner Tante.

Ihr Kitzler schwoll zur Größe einer Kirsche an und ich wollte nun auch meine Zunge endlich in ihr Loch stecken. Sie war so heiß und schmeckte so geil, dass ich selber fast schon zum Orgasmus gekommen wäre, denn während ich sie leckte, rieb ich mit meiner Möse immer wieder über das inzwischen schon nasse Bettlaken. Erbarmungslos trieb ich ihr meine Zunge immer wieder in ihr Loch, bis mich plötzlich ihre Hände am Kopf fassten. Sie schlang ihre Beine um meinen Körper und ritt meine Zunge, während sie „Jaaaa Bettina Schatz, fick mich mit deiner süßen Mädchenzunge!” keuchte.

Ich blieb mit meiner Zunge als Penisersatz in ihrer Möse und steckte derweil mir selber einen Finger in die Lustgrotte, doch das nur um ihn zu befeuchten. Diesen Finger steckte ich ihr dann ihr Poloch, was sie mit einem Quieken quittierte. Leider konnte ich sie nicht länger als ein paar Sekunden in den Arsch ficken, denn schon bald kam sie so heftig, wie sie wahrscheinlich noch nie gekommen war.

Doch über was ich mir vorher keine Gedanken gemacht hatte: Wie ging es jetzt weiter?

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Halloween

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Lesbian

CHAPTER ONE

Cora sat in the passenger seat of Rose’s VW Beetle, so excited that she could barely contain herself. The October sun cast long shadows across the road from the sparsely clad trees, their colorful leaves floating down like large snowflakes in February. Both girls were 1984 high school seniors and had recently turned eighteen.

“Oh, Rose, I’m so nervous. So much so that I’m going to chicken out. I can’t even believe we thought up this plan.”

Rose smiled. “You won’t chicken out. I won’t let you. And even if you do, I’ll speak with Randy and make it known you have the hots for him.”

“Oh, God.” Cora’s little feet bounced nervously on the floorboard. “Oh God, oh God, oh God. Do you think he’ll go for it?” Since puberty, Cora had a crush on Randy, Rose’s fraternal twin.

Rose giggled. “I suppose if he’s desperate enough, he will.”

Cora’s mouth went wide. “Shut up! You’re not making me feel any better about this.”

Rose giggled again. “You know I’m only kidding. You’re cuter than you think of yourself, even though you dress like a nerd.”

“Oh, and you don’t?”

Rose giggled, but it sounded more like a snort. “Yeah, I suppose you’re right. We’re nerds, so what?”

Cora frowned. “Randy won’t want to be with a nerd.”

“Hey, think positively about this. Randy likes you, and it’s been over a month since he and Liz broke up, and he hasn’t dated anyone else since. Plus, he’s grounded this weekend and can’t go to the big Halloween party, so yeah, I’d say if he’s horny and you’re available and willing, your chances of getting laid tonight are pretty good. And sex and love are synonymous with Randy. You two will probably end up getting married and having kids.”

“Oh, God. I’m kinda scared. What if the sex hurts too bad, and I can’t take it?”

“You’re silly. It won’t hurt too bad.”

“Oh, and how would you know?”

“Well, if sex hurt too bad, no one would ever do it.”

The girls passed house after house with lawns decorated in Halloween décor—ghosts and goblins, skeletons hanging from trees, witches on broomsticks, and Jack-O’-Lanterns sitting on porches.

Cora stared out the windshield silently for a moment before turning to Rose. “Is he…big?”

Rose’s lower jaw dropped as she stared at Cora. “How would I know?”

“Aw, come on, Rose. Cause he’s your brother. Surely you’ve seen it before, and don’t tell me you haven’t because I’ll know you’re lying.”

Rose giggled. “Okay, yeah, I’ve seen it before, and I’ll only say this about it—you should be well satisfied.”

“Oh, God, I don’t know if I can do it. He’ll probably brush me off and tell everybody I asked him to have sex with me.”

“Well, don’t ask him directly, silly. Just start flirting with him and see if he takes the bait.” Rose glanced at Cora. “And take those nerdy glasses off when we get to my house and put in your contacts. Did you bring anything nice to wear for him? Remember I told you he likes girls that dress nice.”

Cora bit her lower lip as she stared at Rose. “I bought a new costume this year and was going to wear it just for Randy.”

“A costume?” Rose slowly shook her head. “Oh, Cora. Is it something nerdy like you wore last year?”

“It’s a vampire costume.”

“But that’s what you wore last year—a silly, nerdy-looking vampire costume. Plus, you dress like the walking dead every day more and more here lately. Randy will probably think the costume’s your regular everyday attire. You’re starting to remind me of Wednesday Addams, and you might as well keep on what you have.

“Hey, what’s wrong with Wednesday? She’s cute.”

Rose shook her head. “Oh, Cora, you’re hopeless.”

CHAPTER TWO

Rose pulled into the driveway and parked under the old oak tree, then wrapped her long fingers around the gearshift and moved it to first gear before killing the engine. She watched a falling leaf slowly float down like a feather before landing on the hood of her car, its red tint blending almost perfectly with the vehicle’s paint.

“Rose, what is it?”

Cora’s voice shook Rose from her thoughts. She looked around the yard and then stared at Cora. “I don’t know. Something feels weird. Is it just me, or do you feel it too?”

“Yeah, it’s Halloween, and I may be having sex for the first time tonight. How weird is that?”

“No, besides that, something else feels strange. I can’t describe it except to say something’s off.”

“Good or bad?”

“Both.”

“Hmm, maybe tonight’s the night I’ll turn into a vampire.”

“Oh, stop it with your vampire bullshit again. Why are you so obsessed with vampires?”

“Hey, it’s Halloween. And I will be a vampire if only for tonight.”

Rose shook her head and sighed. “Oh, Cora, you’re a mess. Let’s go in.”

The girls grabbed their backpacks from the rear seat and headed inside the house.

“Hello, girls,” Rose’s mom called out from the kitchen.

“Hi, Mom.”

“Hi, Mrs. Schnider,” Cora said.

“Mom, what time is afyon escort Dad getting home?”

Stacy Schnider stepped into the living room. She still looked youthful for thirty-eight, and she and Rose looked so much alike that they were sometimes confused for sisters. Like Rose, Stacy had dark brown hair trimmed at shoulder length. She was petite but rather tall and stood at five-seven, a half-inch taller than Rose.

Stacy had a sad look on her face. “He’s not coming home tonight, honey. He called a little bit ago and said he was hauling a load to Destin. And from there, he’s going to Mobile and then Jackson.” Stacey wiped her left eye. “He won’t be home for another week.”

“I’m sorry, Mom. I know you miss him.”

“It’s just that I was looking forward to him coming home tonight.” Stacey slowly shook her head. “I even cooked his favorite meal—pot roast with potatoes and carrots.” She blew out a breath and shook her head again. “I think I’m going to go to the Halloween bingo with the ladies, get my mind off it. Will you girls be okay?”

Rose and Cora glanced at one another before Rose answered. “Yeah, Mom, we’ll be fine. We’re going to hand out Halloween candy and watch A HALLOWEEN TALE afterward. You have fun and stay out as late as you want. Don’t worry about us.”

The girls headed to Rose’s room and tossed their backpacks on the bed. Cora said, “Oh God, I can’t believe how this is all falling into place.”

Rose said, “Hey, I have an idea. I’ll pretend I’m not feeling well, and then you and Randy can have the whole evening to yourselves.”

“Oh, Rose,” Cora stared at her lifelong friend, concerned, “I’d feel bad dumping you like that.”

Rose giggled. “Nonsense. Hey, this is the opportunity you’ve been waiting for, right? You’ll make it up to me one day. Why don’t you go take a shower and try on your costume?”

“Okay.” Cora grinned from ear to ear. “I promise I’ll make this up to you one day, Rose.”

Rose walked to the living room, sat on the sofa, and mindlessly scanned the channels on the TV, anxious to see Cora come out of the bathroom in her new Halloween costume. Randy was in his room, probably sulking over being grounded. Mom and Dad were not home, and things were about to get exciting for little Cora. Would Randy take the bait? Rose had a strong feeling he would. He’d always liked Cora and even flirted with her on occasion. Well, not really flirted, but Rose had picked up on a few instances where Cora had caught Randy’s interest. After all, beneath her nerdy appearance, she was a pretty girl.

The bathroom door opened, and Rose stared in that direction. “Cora, what are you doing? Come on out. You’ve been in there forever.”

“I look ridiculous.”

“Let me see it.”

“I can’t wear this. It’s stupid.”

Rose hopped off the sofa and walked into the bathroom, where she found her friend staring at herself in the mirror. Rose’s jaw dropped when she saw Cora, and her eyes widened.

“Oh my God,” Rose said. “Where’d you come from? And what happened to my friend, Cora?”

The dress was burgundy, accented with black spiderweb designs, and it was short, to say the least. It came with long draping sleeves matching the spiderweb design on the dress and a red cape with a large collar and ruffled hem. But what really made the costume extremely sexy-looking on Cora was the black fishnet stockings that accented Cora’s pale thighs.

“You really like it?” Cora asked.

Rose looked Cora up and down, still amazed by the transformation. Cora’s dyed, might-black hair fell over her shoulders and stopped at her cleavage, where Rose’s eyes landed. Cora had always appeared nearly flat-chested, but the dress exposed half her milky-white breasts, only the size of softballs, yet alluring and sensual. “When did you get boobs?”

Cora giggled shyly. “Shut up! Is it too revealing? I probably shouldn’t wear it.”

“No, it’s perfect on you. I’m shocked, and you look sexy as hell.” Rose surprised herself with her statement.

Cora grinned from ear to ear. “You really think so?”

“Yes. You look smoking hot, girl. If I were Randy, I’d—”

Footsteps in the hallway broke the conversation. Rose stared in that direction and whispered excitedly, “Randy’s out of his room.”

Cora covered her face with her hands. “Oh God, Rose, I can’t do it. I can’t let him see me like this.”

“Why not? You want to seduce him, don’t you? He’ll be all over you. Let’s go see what he’s up to.”

“No, I can’t do it.”

Rose grabbed Cora’s hand. “Come on.” She pulled Cora across the bathroom with her only resisting halfheartedly. Rose continued pulling Cora down the hall, through the living room, and into the kitchen, where they found Randy.

“Hello, ladies,” Randy said. His eyes caught sight of Cora, and he catcalled at her. “Cora, my god, you look hot.”

Cora smiled shyly, and her cheeks turned red.

“Where are you going dressed like that?”

“Nowhere,” Cora said. “Rose and I thought we’d hang aydın escort out with you this evening and watch movies.”

Randy’s eyes ran up and down Cora’s body. “Oh—well—um—I wish I could stay, but I’m leaving soon.”

“But you’re grounded,” Rose said. “If Mom finds out, you’ll be grounded for six more months.”

“Mom knows. She’s okay with it.”

“Oh? So where are you going anyway?”

“To Liz’s. We need to talk.” Randy glanced between the two girls and saw disappointment on their faces. “What? I thought you girls would be glad to have the house to yourselves.”

Rose said, “Well, we were hoping you’d stay home and watch A HALLOWEEN TALE with us.”

“Some other time. Liz and I need to figure out whether we’re getting back together. You two enjoy yourselves.” Randy glanced from one girl to the other, gave Rose a sideways hug and a kiss on the forehead, and surprised Cora by doing the same to her. Then he grabbed his keys and headed for the front door. But before reaching it, Randy turned around and stared at Cora again. He said, “You really look sweet in that costume. You’re one hot vampire.”

Cora gave him a half-hearted smile. But on the inside, her heart was broken. And the worst thing about the situation was that she realized the plan would have fallen into place if it wasn’t for that snotty bitch, Liz.

“Bye, Randy.”

CHAPTER THREE

Cora slumped on a kitchen chair and laid her head on the table. “Oh, Rose, I’m so disappointed I could cry.”

Rose stepped up to Cora and softly stroked her long, dark hair. She’d always looked so tiny and fragile and looked even more so now. Rose had probably been as excited for Cora as Cora herself had been. Randy was a good guy—smart and handsome and could have been so good for her.

Rose said, “I’m so sorry, Cora. But, hey, maybe Randy and Liz won’t get back together. Maybe you’ll have another chance.”

Cora sat up and wiped her eyes. “I don’t know, Rose. I’m way out of his league. I’m a nerd, and he’s Mr. Popular.”

“Cora, did you see how he looked at you and the comments he made? He thinks you’re hot. You’ll get your chance.”

*****

The girls had each eaten a helping of Rose’s mother’s pot roast. They’d put away the food and washed their dishes. Dusk was falling over the neighborhood, and the trick-or-treaters would soon be there. Rose grabbed the Halloween candy from the pantry, and she and Cora walked to the living room and sat on the sofa.

Rose stared at Cora, who had just turned on the TV and was skimming channels. Cora sat cross-legged on the sofa, her knees spread apart and her feet under her thighs. Her costume dress covered nothing, her black panties were fully exposed, and even from where Rose sat, she could see the outline of Cora’s twat and even some exposed pubic hair.

“Cora, I can see your pussy.” It was only a thought in Rose’s mind that she’d mindlessly spoken out loud. The moment the words escaped her lips, her eyes widened.

Cora quickly sat up straight and tugged at the hem of her dress. “Shut up.” Her face turned red. “What are you doing looking anyway?”

Rose shrugged, and although she didn’t mean to say the words that popped into her head, she blurted them out. “Maybe I like what I see.”

Cora’s mouth went wide at hearing her friend’s comment. “Shut up!”

Rose knew Cora took the comment as a joke, but Rose had been serious. Why was she feeling this way toward her best friend? Was it that silly costume dress?

While Rose sat on the sofa mindlessly watching a TV program Cora had landed on, her mind was elsewhere, thinking about the new lust she’d developed for her best friend. Rose snuck sideways glances at Cora, admiring her little body and how the fishnet stockings accented her thighs. She wished more than anything at the moment to run her hand up and down them and squeeze those little breasts. But why was she feeling this way? She’d never considered herself to be a lesbian or even Bisexual.

An unexpected knock on the door broke Rose’s thoughts, and Cora hopped off the sofa and grabbed the Halloween candy.

“First trick-or-treater,” Cora said. She rushed to the door, opened it, looked out, paused, and then turned to Rose. “There’s no one here, strange.” Cora looked out again, looked right and then left, and suddenly let out an ear-piercing scream.

CHAPTER FOUR

Rose jumped off the sofa and sprinted toward the door where Cora stood, looking terrified.

“Cora, what is it?”

Cora pointed toward the end of the porch, and when Rose glanced in that direction, she screamed louder than Cora had and grabbed onto her friend. Sitting near the end of the porch and facing their direction was a lopsided Jack-O’-Lantern with jagged sawtooth teeth, a sinister crooked smile, and haunting eyes that glowed orange from the candle inside.

“Oh, Rose,” Cora cried, her voice shaky and terrified, “That looks just like—”

“—The Jack-O’-Lantern ağrı escort from A HALLOWEEN TALE,” Rose said, eyes wide and staring at the evil-looking thing. It looked almost life-like, and Rose would have sworn that she saw its mouth move.

A HALLOWEEN TALE was a movie series that aired a new two-hour show every Halloween and always started the same way. A Jack-Lantern would unexpectedly show up on the porch or driveway of a different family on Halloween. And as the evening progressed, the Jack-O’-Lantern would materialize in other parts of the house. When the evil being had had enough fun terrorizing the family, it would possess one or more of the family members and make them do horrific things. In last year’s movie, the Jack-O’-Lantern had fused itself with the eldest son, giving him the look of a young man with a pumpkin head and, once possessed, had done unspeakable things to his family.

“Oh, Rose, do you think—”

The terrified look on Rose’s face slowly faded and was soon replaced by a smile. She walked up to the Jack-O’-Lantern, stared at it, and burst out laughing.

“Rose,” Cora said, “it’s not funny.”

“Yes, it is. Don’t you get it? Someone played a joke on us. A HALLOWEEN TALE is only a movie, silly.”

“But who would want to play a joke on us? No one even knows it’s our favorite Halloween movie.”

“Randy knows.”

“Yeah, but he went to Liz’s some time ago.”

“I know he didn’t do it himself, but I’m sure he put one of his friends up to doing it. You know how Randy is, always playing a joke on someone.”

Cora giggled. “Oh God, he sure had me almost convinced. We need to get him back.”

“That we do,” Rose said. “Hey, let’s take the Jack-O’-Lantern inside.”

“Are you out of your mind? That thing’s creepy.”

“Yeah, but it’ll make the movie that much more exciting.” Rose cautiously picked up the Jack-O’-Lantern and headed back inside, with Cora on her heels cautiously eyeing the thing. Rose sat the Jack-O’-Lantern on the coffee table. “There. Perfect.”

The girls sat on the sofa and stared at the Jack-O’-Lantern, mesmerized by its flickering, pulsing, and almost life-like appearance, and time passed by unnoticed until the first trick-or-treater knocked at the door. Both girls jumped, breaking the trance. Cora sprang off the sofa, anxious to see the first trick-or-treater’s costume. When she opened the door, she saw a young pirate and his mother standing outside the door.

“Trick or treat!”

The boy’s mother eyed Cora suspiciously as Cora gave the young pirate a generous amount of candy.

“There you go,” Cora said. “Have fun.”

*****

The evening had been busy with kids in Halloween costumes coming and going. Cora enjoyed every minute of it, mainly got good comments on her costume from the adult chaperones, and even got catcalled by a boy of about ten dressed as a rockstar. Since the trick-or-treaters had started coming, the girls had dismissed any evil thoughts about the strange Jack-O’-Lantern on the coffee table.

Cora opened the door to what would be the last trick-or-treater of the evening. She handed the rest of the candy to a young witch with a broom in one hand and a pumpkin pail almost overflowing with candy in the other.

“That’s the last of the candy,” Cora said as she shut the door and turned off the porch light.

“Good. I’ll make us some popcorn, and we’ll watch A HALLOWEEN TALE. It starts in fifteen minutes.”

A few minutes before the movie started, Rose came out of the kitchen carrying a big bowl of popcorn. Cora sat on the end of the sofa, remote in hand, eyes glued to the TV screen. Rose sat next to Cora tonight, the bowl of popcorn in her lap, just in time to catch the trailer of A HALLOWEEN TALE.

CHAPTER FIVE

Near the end of the movie, the girls had popcorn scattered everywhere as one bloody scene after another unfolded. They had watched Phillip, the nerdy son in the family, evolve from a shy geek teenager to a monster with a pumpkin head. He’d already killed his parents and best friend with an axe, and now he was chasing his sister through the woods.

“Oh God, Rose, I can’t look.” The girls held on to one another as Stacey, Phillip’s sister, ran through the woods screaming, and Phillip, the living Jack-O’-Lantern, was hot on her trail with the axe.

Rose put her arm around Cora, and when she did, Cora buried her head in the crook of Rose’s neck, peeking sideways at the TV screen. Rose was enjoying the movie, but what she was enjoying even more was holding Cora, and this new feeling of lust for her best friend grew stronger and stronger. Rose chanced a peek between Cora’s thighs, her dress all askew and wrapped around her waist, her mound clearly visible under the little lacy panties.

On the TV screen, Stacey tripped on a tree root and collapsed to the ground, out of breath and out of hope for escape. She stared up at the full moon, crying and mumbling to herself. Out of the shadows stepped Phillip, axe laying on his shoulder, an evil grin on his Jack-Lantern face. Stacey saw him and pleaded, “No! Please, no!”

“Oh god,” Rose said as she held Cora tight. At that moment, Rose realized that the upcoming movie scene presented an even greater opportunity and would be perfect.

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Flaschengeist

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Amateur

Zugegeben, ich habe meine dusseligen Momente. Ja. Sogar beim Zahnarzt. Meine Zahnärztin hatte ich wegen der günstigen Lage der Praxis und dem kurzfristigen Termin entdeckt, nachdem ich wie eine Bescheuerte herumtelefoniert hatte. Natürlich war ich nicht wirklich glücklich. Bohren und Herumkratzen an meinen Zähnen und dabei das Schaben von Geräten in meinem Mund sind bestimmt nichts was ich mochte.

Also hin und vergleichsweise mit mulmigem Gefühl brav bei der Assistentin alle Angaben eintragen lassen und dann ins Wartezimmer gesetzt. Schöner Altbau mit weissen Stuckdecken und doch wirklich einem Kristallleuchter an der Decke. Die Praxis schien ja gut zu laufen. Ich machte mich innerlich gefasst auf einen Anstieg meiner Krankenkassenbeiträge. Aber was soll’s, lieber das als Zehnweh!

Tür geht auf und eine weitere Sprechstundenhilfe murmelt mich an. – Hallo, Sie sind schon dran! Guten Tag! –

Sie gibt mir sehr freundlich eine Hand, ein Lächeln und einen aufmunternden Blick. Ich nehme alles sehr dankbar an. Sie weist mit der Hand nach vorne und meint nur kurz es sei die zweite Tür. Nicht anklopfen, einfach reingehen.

Sie kommt hinter mir her, tack, tack, tack , mit ihren Absätzen und ich wunder mich schon. Wenn ich den ganzen Tag gehen und stehen muss würde ich ja eher hässliche und dafür Füsse liebende Schuhe anziehen. Ich gucke ihr zu wie sie eine Schale mit Zahnarztutensilien hinstellt. Sehr schöne Schuhe und eine hübsche Frau. Ich setze mich schon mal brav auf den Behandlungsstuhl und betrachte meine etwas fleckigen Chucks, die immerhin noch als weiss durchgehen können. Ein weiteres Paar Schuhe schiebt sich unter meine Augen. Auch sehr hübsch. Ich gucke hoch und Frau Doktor guckt sehr freundlich. Sagt auch guten Tag, liest etwas zögerlich meinen Namen vom Bogen ab und bittet mich es mir so bequem zu machen wie es geht. Sie ist gross, sportlich, schlank und apart. Hier sind ja nur schöne Frauen dachte ich so bei mir.

– Entschuldigen Sie, habe ich Ihren Namen richtig ausgesprochen? Das sollte nicht unhöflich sein wenn es eine falsche Aussprache war? Ist das ein japanischer Name? – – Ja, aber wenn sie es so aussprechen wie die Automarke ist das völlig richtig. –

– Aha, also Frau Matsuda, dann machen Sie es sich richtig bequem bitte! –

Nunja. Bequemlichkeit ist nett, aber Schmerzfreiheit wäre mir lieber. Die Tür geht zu, aber sie reisst sie gleich nochmals auf und sagt etwas zur Assistentin. – …. soll bitte gleich kommen! – Den Anfang konnte ich nicht verstehen. Dann kam die Anamnese dran, Alter, Allergien, Asthma. Schön. – Wo tut es weh? –

Ich stecke den Zeigefinger in den Mund und deute nach hinten und nuschele ‚Backenzahn’ mit meinem Finger im Mund. Sie nickt, zieht sich den grünen Mundschutz über das Gesicht, rückt die Lampe zurecht und drückt meine Zunge mit einem kleinen Spiegel am Stiel herab. Ich höre die Tür leise im Hintergrund. Ein neues Gesicht schiebt sich in mein Blickfeld. Auch mit grünem Mundschutz. Schlagartig ist das kalte Gefühl des Spiegels in meinem Mund weg. Einfach so. Weg. Die Augen sind….. , ja, hm, ja gut ,es sind eben Augen, schon gross und so, ja. Dunkelbraun wie Kastanien. Auch genau so glänzend wie frische Kastanien. Klimperwimpern. Ich will verdammt sein wenn die nicht echt sind, aber es sind sehr lange und schwarze Wimpern.

Die Wimpern gehen oft hoch und runter und die Augen bewegen sich suchend nicht nur über meine Zähne, sondern irgendwie über mein ganzes Gesicht. Es macht einfach ‚Klick’ und meine Augen folgen diesem Paar wie ein Magnet dem anderen. Sie merkt es, aber ich kann kaum aufhören.

Ich beschliesse mich auf den Taster zu konzentrieren mit dem Frau Doktor an meinem Backenzahn schabt. Es tut auf einmal weh wie Hölle. Verdammter Mist! Aua! Ich zucke und sofort schiessen Tränen in meine Augen.

– Ja, der ist empfindlich –

Frau Doktor zieht den Mundschutz runter und lächelt mich an, legt das Instrument zurück und meint dann beruhigend, dass der Zahn jetzt erstmal geröntgt werden muss, um zu sehen ob es dort Karies gibt, eigentlich sähe der Zahn ja gesund aus, aber nur um sicher zu sein. Sie nickt der anderen zu und geht.

Die Wunderaugen ziehen den Mundschutz auch herunter und ein bisschen lächeln tut sie schon, ganz kurz nur, und dabei zeigt sie zwei Reihen blitzblanker weisser Zähne. Natürlich, es wäre ja auch zu doof wenn in einer Praxis schlechte Zähne zu sehen wären. Nur muss es dann gleich derartig übertrieben werden? Das waren schon sehr schöne Zähne. Eigentlich unverschämt. Als Patient kriegt man da doch Neid, oder? Da waren ganz schwarze Haare zu einem stramm zurück gebundenen Pferdeschwanz gebändigt, die eigentlich lockig und in kleinen Kringeln auf die Schultern gehört hätten, wäre ich gefragt worden. Die Augen hatten wir schon. Ja. Zwei Stück. Dunkel, fast schwarz. Gross. Aber eigentlich war es der Blick. Keine Ahnung wie sie das machte. Ein schwach brauner Teint. Geile Zähne. Braune Lippen die einen vollen Mund formten. Sehr…ja ich geb’s zu..sehr attraktiv. Gut, also aus meiner Sicht. Sie war weder gross noch ein Model, aber faszinierend. balıkesir escort Sehr sympathisch. Zumindest ich fand sie sehr schön.

Sie malt kleine Kreuze auf einen Behandlungsbogen, legt die Stirn kurz in Falten und entscheidet sich für ein weiteres Kreuz an einer anderen Stelle. Ich ertappe mich dabei wie meine Augen ihren schon wieder magnetisch folgen. Ein weiteres Kreuz. Ich tippe spontan auf orientalisch. Also die Augen. Eigentlich die ganze Person. Irgendwie passte das aber nicht so recht. Indien? Nee, zu heller Teint . Arabisch? Sie malt fleissig weiter Haken und kleine Kreuze auf den Bogen und schwenkt dann unvermutet die Augen zu mir hoch. Oh weia! Sie hatte mich schon wieder erwischt. Die Augen waren aber auch verdammt magisch, etwas aus Tausend-und-eine-Nacht? Wie kann das nur funktionieren? Einfach der Hammer.

Sie lächelt diesmal voll. – Nazim – sagt sie. Und grinst ziemlich frech aber unergründlich. Ich kann eine Kernschmelze gerade noch verhindern und kriege meine Augen eben noch so von ihr gelöst, ohne dass es extrem peinlich zu werden droht. Nazim? – Ich heisse Nazim. – Ich lächele sie an wie eine etwas Gestörte, kriege aber immerhin noch meinen Namen raus. Aber der stand ja schon auf meinem Bogen den sie in der Hand hatte. Ich bin so blöde. – Jetzt zum Röntgen .. das ist über den Flur. –

Ich rappele mich hoch und folge ihr rüber. Artig sperre ich wieder mein Schnäuzchen auf und sie steckt mir ein kleines Teil zwischen die Zähne. – Draufbeissen und bitte ein wenig still halten! –

Sie geht kurz raus. Es brummt kurz, es macht tick-tack. Sie kommt wieder rein.

– Schon fertig! Bitte wieder drüben Platz nehmen, ja? Ich werte das Bild gleich aus … –

Nazim verschwindet in einer Nische an einen Computer.

Ich gehe brav wieder zum Behandlungsstuhl zurück. Ihre Haare sind glattgezogen aber eigentlich lockig, ich entscheide mich nochmals um, mein aktueller Tipp fällt auf ‚Persisch’.

Frau Doktor setzt sich neben mich, zieht ein Display an einem Arm herunter und zeigt mir das Röntgenbild. Nazim kommt herein, setzt sich auch und deutet mit einem Finger auf meinen Auazahn auf dem Bild. Sie erklärt mir kurz was man da sieht. Dann rattert sie das ganze nochmal in Medizinersprache herunter, Frau Doktor nickt und fasst abschliessend zusammen: Kein Karies erkennbar. Uff. Ich bin sehr erleichtert.

Frau Doktor schaut sich das Bild nochmals an und meint dann, es sei wahrscheinlich eine Reizung des Nervs, das sollte in wenigen Tagen verschwinden. Falls es bleiben sollte, möge ich doch bitte wiederkommen. Wir verabschieden uns und ich gehe raus, ziehe meine kurze Jacke an, hänge mir meine Tasche über die Schulter und warte am Empfangstresen.

Nazim kommt selbst statt der anderen Assistentin über den Flur zu mir vor. Sie geht sehr schön, fast hätte ich gesagt anmutig. Sie sieht für mich umwerfend aus im taillierten weissen Kittel und den langen weissen Hosen darunter. Sie trägt bequeme Holzsandalen. Sie nimmt hinter dem Tresen Platz, liest auf dem Display erstmal meine Daten ab, tippert auf der Tastatur herum und sagt dann zufrieden, dass sie auch einen Termin in 7 Tagen frei hat. Zum Nachgucken. Ihre Klimperaugen machen mich richtig weich. Ich nehme sonst nie einen freiwilligen Termin beim Zahnarzt.

Nazim begleitet mich zur Tür von der aus ein sanfter Gong den nächsten Patienten ankündigt. Sie drückt mir noch eine kleine gefaltete Terminkarte in die Hand. – Bitte nicht vergessen! Es ist wichtig! Und kein Eis essen und nichts sehr heisses trinken, sonst kann es schlimmer werden! –

Ich gucke auf meine Hand. Ihre kleine Hand mit kurzen Nägeln verschwindet und der neue Patient wird von ihr begrüsst.

Die Treppe runter in diesem unglaublich grosszügigen Treppenhaus. Raus auf die Strasse. Es ist zugig und kalt. Ich stecke die Hände in meine Jackentaschen, ziehe die Schulten hoch und kuschele mich in die Kapuze.

Diese Augen, unfassbar!

Drei Tage später plagt mich der Hunger. Ein blöder Samstag. Ständig vergesse ich etwas. Diesmal fehlt Reis. Ich düse los, ziehe die Jacke an und taste in den Jackentaschen suchend nach meinem Schlüssel. Ausser dem Schlüssel ist da noch was drin. Später. Erstmal einkaufen!

Im International Food Store von Hwang gibt es natürlich viel Chinesisches, aber auch sonst alles was man für die ganze asiatische Küche braucht. Ich finde natürlich Reis und dazu noch frische Thai-Chillies plus Kokosmilch plus Thai Basilikum. Lecker. Zuhause an der Tür greife ich nach meinem Schlüssel und mit dem Anhänger ziehe ich etwas anderes aus meiner Jackentasche. Es fällt runter vor meine Füsse. Es ist klein, etwas wie mattes Messing glitzert schwach im Flurlicht.

Ich setze mich auf mein Sofa, streife die Schuhe von meinen Füssen, und drehe das kleine Ding zwischen meinen Fingern. Im Licht der Stehlampe muss ich meine Brille nach vorne auf die Nase schieben und kann es endlich erkennen. Es sieht aus wie eine winzige bauchige Flasche. Es ist aber ein Messinganhänger mit einer kleinen Öse. An der hängt ein winziger Streifen sehr weisses, halbtransparentes bartın escort Papier. Mit dünnem Bleistift ist eine Zahl drauf geschrieben worden. Das ganze war eingewickelt in einen jetzt leider schmutzigen und ziemlich verknüllten Zettel. Ihr Zahnarzttermin am, bitte absagen falls nicht, bitte kommen, danke.

Das kleine Flaschenteil war wirklich winzig und das Zettelchen daran auch. Die Schrift war auch winzig, ohne Brille kaum sichtbar. Zahlen?

Gut, ich bin manchmal langsam, es war ein sehr dummer Samstag und ich kochte mir erstmal etwas, setzte mich dann mit meinem Schüsselchen mit Reis und scharfem Gemüse in die Küche. Legte bequem meine Beine auf das Fensterbrett und war ein wenig verwirrt. 0173 .. blahblah… verdammt, ich ultrablöde , dämliche Kuh. Natürlich war das eine Telefonnummer.

Ich weiss auch nicht wieso, aber mein Herz hüpfte einfach los. Adrenalin schwappte durch meine Adern, ich bekam ein wenig Röte und Wärme ins Gesicht. Aufgeregt tippte ich die Nummer ins Telefon.

– drüüp…..drrüüüp…drüüp…drüüp …. drüüp … klack …. Nazim? Hallo? –

Ich fiel fast vom Stuhl. Das ging so schnell!

– Ja, hm, hallo … errm … –

Normalerweise stottere ich nicht und quatsche auch nicht ahnungslos und hilflos daher. Ich machte mich gefasst darauf, dass sie einfach auflegen würde. Natürlich hatte sie keine Ahnung wer ich war und warum ich abends anrufe. Das wusste ich ja nicht mal selbst.

– Ah… Katharina, nicht? Oh wie schön, dass du mal anrufst! –

Ich fiel fast schon wieder vom Stuhl. Meine Fersen rutschten von der Fensterbank und schlugen hart auf der Heizung auf.

Es wurde Zeit dass ich mich vom Küchenstuhl zum Sofa bewegte. Ich humpelte abwechselnd meine Füsse reibend zum Sofa.

– Ja, ich bin’s. Jetzt sage nicht, du hast meine Stimme erkannt? –

– Doch. Ich hatte gehofft ich höre vielleicht von dir. Super dass du anrufst! –

– Aber sage mir doch bitte warum ich eine kleine Flasche zwischen den Fingern habe an der deine Telefonnummer hängt? – Sie lachte leise aus dem Telefon. Es war ein helles, kleines Lachen, sehr lebendig, sehr weiblich, sehr charmant. Ich stellte mir vor wie sie dazu magisch mit den Augen klimperte.

– Du hast die Flasche gefunden und bis jetzt behalten? Sehr schön. Ich hatte gehofft du rufst mich vielleicht früher an. Meine Augen scheinen nachgelassen zu haben, ich dachte ich gefalle dir ein wenig? Du bist mir sofort sympathisch gewesen. –

– Ach was, deine Augen sind sicher nicht schwächer geworden. Sie verfolgen mich irgendwie. Aber sehr angenehm freundlich. Wie machst du das? –

– Ich zaubere einfach und schon rufst du an! –

So ging das ein wenig hin und her, sie plauderte sehr lieb, erzählte dies und das und ich auch und wir lachten ein wenig zusammen und im Hintergrund hörte ich ständig eine leise Musik bis ich direkt danach fragte.

– Lautenmusik. Sehr alt. Eine seltene Aufnahme die nachts in einem Garten unter den Sternen entstanden ist. Gefällt es dir? –

Es klang ziemlich magisch und sie drehte es dann aber leiser.

Kurz darauf kam neue Musik, diesmal sehr modern. Tanzbare Electronic Beats.

Ich gab ihr meine E-mail Adresse, was das einzige war, was sie nicht aus meiner Patientenakte bereits wusste.

– Magst du dich mit mir in einem Teehaus treffen? –

Zum Glück war ich auf meinem Sofa. Sonst wäre ich nun wirklich vom Hocker gefallen. Und ob ich wollte.

– Schau auf deinen Laptop! –

Sowieso. Eine kleine rote Eins auf meinem Mailprogramm informierte mich über eine neue Nachricht. Ping!

Eine Adresse. Eine Uhrzeit. Ein Tag. Ein Foto von einem Raum mit Kissen und Teppichen und einem nicht ganz orientalischen Flair. Modern aber mit einem Hauch Orient. Sehr hübsch.

Was will man mehr?

– Kannst du dann? –

– Sicher! Ich würde sowieso alles andere absagen! – Im Stillen schimpfte ich mich Idiotin. So sehr muss ich es ja doch nicht rauslassen wie begeistert ich bin.

– Ich freue mich dass du kommst. Bis dann! –

– Ich freue mich auch! Bis bald! –

Ich war in dem Lokal noch nie gewesen, hatte aber davon gehört. Nur war mir gar nicht bewusst gewesen, dass sie dieses Ding ausgesucht hatte. Teetrinken? Das war so ein Konzeptladen. Designermöbel in einer Hinterhoffabrikhalle. Dazu gibt es ein wenig Gastronomie, so dass man zwischen schicken Sofas, Sesseln, Tischen und Lampen Tee trinken und Kuchen futtern kann.

Der Betonboden war hart, aber zum Glück waren auch überall moderne Teppiche. Meine Füsse machten klack, tap, klack-klack, tab-tab-tab. Mitten drin war die Theke, aber da war sie nicht zu sehen. Ich drehte mich auf der Stelle. So ganz unauffällig. Kaffeeduftschwaden.

Beim Drehen kreuzten sich meine Beine und das Reiben der Strumpfhose an den Knien sagte mir, dass ich dabei war eine Laufmasche zu produzieren wenn ich nicht gleich aufhöre. Ich bin die Königin der Laufmaschen.

Nazim war nirgends zu sehen. Gut, ich war ja auch recht früh. Ich schob die Kapuze meines kurzen Mäntelchens zurück batman escort und zog den Knoten vom Gürtel auf. Der war neu. Also der kurze Mantel. Schwarz, warm, kurz, stark auf Taille geschnitten. Aber eine grosse dunkle Kapuze. Irgendwo muss ich ja meine Haare unterbringen. Heute war das auch nötig. Mittelscheitel, schwarz, mehr als schulterlang. Schon beim Kauf hatte jemand bemerkt es wäre ein Hexenmantel. Ich lächelte bei der Erinnerung. Wie Recht er doch gehabt hatte.

Ich steuerte auf eine Sitzgruppe hinten zu die besonders einladend wirkte. Das Sofa war rotweinrot. Eine sehr schöne naturfarbene Wolldecke lag drauf. Das Tischchen daneben war leer. Wahrscheinlich noch unbenutzt heute und daher ebenso vermutlich keine Krümel.

Ich setzte mich. Hatte ich vor. Ich wackelte.

Der ultragrob geflochtene Teppich bestand aus Streifen von grauem Wollfilz. Weich. Und eine Stolperfalle. Vorsichtig balancierend plumpste ich auf das Sofa. Weil ich heute besonders hübsch aussehen wollte hatte ich die Minnie Maus Pumps an. Schwarzes Wildleder, runde Kappe hoher Blockabsatz, etwas Plateau. Ja ich bin klein, was soll’s. Mit sagenhaften ein Meter und zweiundsechzig Zentimetern. Dazu dürfen auch mal zwei Zentimeter Plateau und acht Zentimeter Absatz kommen. Ausserdem macht es schöne Beine. So.

Das Sofa fühlte sich phantastisch an, nur die Lehne war weit weg. Ich schlängelte mich aus dem Kurzmantel. Mein pechschwarzes Kleidchen über der blickdichten Strumpfhose machte eine gute Figur. Ich sah’s an dem Gesicht zwei Sitzecken weiter. Ich fuhr mit dem Kamm meiner zehn Finger durch meine Haare. Das Gesicht lächelt. Jaja, das alles ist aber nicht für dich.

Ich gucke zur Theke hin und überlege ob man sich dort besser etwas abholt oder wartet bis jemand kommt. Gedankenverloren rieb ich die kleine Messingflasche an meinem Schlüsselbund. Ob ich sie wohl sehe bevor sie mich sieht? Ich seufzte ein wenig und überlege, ob es ok wäre die Schuhe auszuziehen und es sich etwas gemütlicher zu machen.

– Hallo –

Mein Kopf dreht sich von ganz alleine herum. Sie sass direkt hinter mir und strahlt. Sie hatte die Beine untergeschlagen hielt die Hände im Schoss und klimperte mit den Wimpern. Mir blieb der Mund etwas offen stehen.

– Ich wollte dich nicht erschrecken, nur überraschen! Tut mir leid wenn das schief gelaufen ist.- Der schöne Mund kräuselte sich und die Augen guckten ein wenig entschuldigend obwohl die ganze Haltung eine gewisse diebische Selbstsicherheit ausdrückte und irgendwie auch den Schalk, der sonst nur versteckt in dem Funkeln der Augen zum Vorschein kommt.

Ich biss mir in die Handkante damit mein Mund nicht dauernd offen stand. Ich verwarf spontan alle bisherigen Vermutungen und dachte an Spanien, Andalusien, die Alhambra… wenn das nicht für meinen Geschmack die schönste Frau überhaupt ist …..

– Hallo Nazim! Ich möchte dich ja so gerne richtig begrüssen, aber die Lehne ist dazwischen.. –

Sie lachte laut los, sprang auf, ging um das Sofa herum, stolperte über den modernen Flechtteppich und fiel mir Halt suchend direkt um den Hals. Manchmal habe ich echt wirklich so unverschämtes Glück. Vollkommen unverdient. Allerdings war meine Statik instabil. Ich musste mich rückwärts sacken lassen. Das Sofa fing uns bereitwillig auf. Ich dachte nicht im Traum daran sie irgendwie peinlich berührt loszulassen, oder was man sonst in so unglücklicher Situation macht.

Es war auch ihr keineswegs peinlich, sie lachte nur kurz und setzte sich dann auf. Ich blieb einfach liegen und schaue sie so ein wenig aus der Froschperspektive an. Diese verdammten Wimpern sind echt echt. Der leicht braune Teint auch. Weil der zwischen ihrer Hose und dem Saum des Tops genau so aussieht wie im Gesicht. Also kein Makeup. Überhaupt. Ganz anders als in der Praxis.

Sie ist klein. Jaja, ich weiss, ich bin auch kein Riese und selbst ein Zwerg, aber sie ist kleiner. Dafür hat sie mehr Kurven als ich. Mehr Waden, mehr Hintern, mehr Busen, mehr Wangen. Sie hat auch mehr Augen als ich. Sie merkt es nämlich sofort als ich sie genau beguckte. Verführerisch reckt sie die Arme etwas hoch und formt mit den flach aneinander gelegten Händen eine Spitze über ihrem Scheitel, wackelt mit dem Kopf auf dem Hals wie eine Tempeltänzerin und klimpert mit den Wimpern.

– Gefalle ich dir? – – Wie aus Tausend und eine Nacht. Ich habe aber Persien, Indien und Arabien schon wieder ausgeschlossen. Im Moment bin ich in Andalusien. Wie hast du diese Frisur hinbekommen? Die gefällt mir total. Wie du sehr wohl weisst fahre ich aber schwer auf deine Augen ab. Das hast du schon beim Zähnegucken gemerkt, nicht? –

Sie löst die zwei kleinen Schnallen an ihren Sandalen und schwupps kann sie die Beine unter sich ziehen und sehr elegant auf der Seite sitzen. Dafür aber jetzt ganz auf dem Sofa und barfuss. Sie hat so eine beschichtete schwarze Hose an, knalleng, ohne Taschen, fast wie aus Leder, aber elastisch. Die formt Beine und Hintern wie aus einem Guss. Ich setze mich auf und mache es mir auch bequemer. Ich stelle meine Pumps artig neben ihre Sandalen. Beim Hantieren muss ich mich vorbeugen und drehen und kann dabei wunderbar ihre ganze Figur betrachten. Sie hat einen Pfirsichhintern. Die MIttelnaht teilt den Po sehr sexy in der Mitte und taucht zwischen beide Hälften ein. So viel dass es nicht ordinär aussieht aber gerade so viel, dass es sich kribbelig anfühlt.

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Rotkäppchen auf Abwegen

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– Vorbemerkung (Anfang) –

Die nachfolgende „Rotkäppchen-Saga” soll eine Serie werden. Teil zwei ist bereits in Arbeit. Kommentare und Wünsche können aber noch eingearbeitet werden. Die Sprache ist in Teilen durchaus explizit. Ich lege aber auch viel Wert auf Gefühle, Emotionen und eine fantasievolle Erzählweise . Je nach persönlichem Geschmack mag es dem ein oder anderen Leser am Anfang zu lange dauern, bis es „richtig zur Sache geht.” Mir ist es wichtig, die Hauptpersonen in die Handlung einzuführen und immer mal wieder kleine kurze Nebenschauplätze einzustreuen. Ab Teil zwei wird es dann schneller schlüpfrig, aber die Erzählweise ändert sich (hoffentlich) nicht.

Die Kategorie „lesbisch” passt für mich gut, selbst wenn andere sie vielleicht eher bei, „anal” „Spielzeuge” oder sogar „fetisch/gyn” sehen. Postet gerne eure Meinung in den Kommentaren. Teil 2 beinhaltet dann definitiv einen echten lebendigen Schwanz samt dazugehörigem Träger.

Abschließend noch eine Bitte in eigener Sache.

Ich habe einen breiten Fundus an selbst geschriebenen Geschichten im „fortgeschrittenen Entwicklungsstatus”. Das Schreiben geht mir recht leicht von der Hand. Ich brauche deutlich mehr Zeit für den finalen Feinschliff samt Rechtschreibung Grammatik und Ausdruck. Dabei stelle ich mir immer die Frage, ob der Plot die Mühe wert ist. Wenn also jemand Lust und Zeit hat mich bei dieser Entscheidung zu unterstützen, dem schicke ich gerne von Zeit zu Zeit mal eine halb / dreiviertel fertige Geschichte. Es geht nur ums Lesen und Bewerten.

Und jetzt wünsche ich euch viel Spaß und Lust mit der Geschichte und freue mich auf eure f und Kommentare.

– Vorbemerkung (Ende) –

Jenny saß jetzt schon seit einer gefühlten Ewigkeit auf dem stillen Örtchen ihrer besten Freundin. In den Fingern hielt sie einen goldenen Butt-Plug. Das Material war schwer und lag angenehm in der Hand. Am Ende glitzerte smaragdgleich ein grüner Kristall und verlieh dem Sextoy eine Art magische Anziehungskraft. Was sollte Sie jetzt tun? Sie sehnte sich schon seit Langem anal verwöhnt zu werden. Sie war nicht unzufrieden mit Ihren Sex-Leben. Ihr Freund Robert war ein wunderbarer Liebhaber und wusste mit seinem Joystick wahrlich umzugehen. Aber er war nicht wirklich kreativ, was Stellungen, besondere Orte oder gar Körperöffnungen anging. Selbst Oralverkehr war für ihn schon ein No-Go. Außerdem war er der reinlichste und ordentlichste Mensch, den sie kannte. Sie hatten einmal zu Beginn ihrer Beziehung nach einem romantischen Abendessen sensationellen Sex auf dem Küchentisch. Doch anstelle danach, mit ihr bei einem Glas Prosecco auf der Couch zu lümmeln, zog er seine armlangen Gummihandschuhe an und begann die Küche aufzuräumen. Die Oberfläche des Küchentisches schrubbte und desinfizierte er eine gefühlte Stunde lang. Das Ganze hatte auch sein Gutes. Welcher Mann übernahm schon freiwillig die Haushaltstätigkeiten wie Putzen, Wischen, Abspülen und sogar Bügeln. Aber ihn nach einem Arschfick zu fragen, war ein Ding der Unmöglichkeit.

Sie hatte schon einmal versucht, sich den Stil einer Haarbürste hinten reinzuschieben. Der totale Reinfall. Sie verkrampfte völlig, musste nach gefühlten 3 cm aufgeben und konnte dann vor Schmerzen eine Woche lang nicht mehr gescheit sitzen. Seitdem hatte sie keinen weiteren Anlauf mehr unternommen. Aber die Sehnsucht war geblieben. Und jetzt das. Sie hatte drei Optionen:

1) Die Sache vergessen und den Plug an seinen Fundort zurücklegen.

2) Den Plug heimlich einstecken und mitnehmen.

3) Ihre Freundin offen auf den analen Freudenspender ansprechen.

Sie verließ das stille Örtchen. Doch bevor sie in den Flur hinaustrat, betrachtete sie sich im großen Ganzkörperspiegel an der Badezimmertür. Dann öffnete sie noch einmal die Knöpfe ihrer Jeans und ließ das Kleidungsstück nach unten sinken. Nur kurze Zeit später folgte ihr Höschen dem gleichen Weg. Sie hielt sich den goldenen Plug vor ihre rasierte Scham, um in etwa auszumachen, wie groß das Teil im Vergleich zu ihrem Unterleib war. Sie spürte, wie sie feucht wurde. Ihre freie Hand wanderte zwischen ihre Schenkel.

Sandra starrte wie gebannt auf ihr Tablet. Ihr geheimer Zauberspiegel hatte mal wieder ganze Arbeit geleistet. Als sexuell sehr freizügiger und experimentierfreudiger Mensch ohne feste Beziehung war sie es gewohnt, auch nackt jederzeit eine gute Figur zu machen. Das war der Grund gewesen, gleich nach dem Einzug in ihre neue Wohnung die Innenseite der Badezimmertür mit Spiegelfolie zu belegen. So konnte sie zum Beispiel beim Rasieren kurz aus der Dusche springen, um zu schauen, ob sie eine Stelle vergessen hatte. Eine akkurate Körper- und Intimpflege war für sie selbstverständlich und ein regelmäßiger Bestandteil ihrer morgendlichen Rituale. Sie wäre nie in die Verlegenheit gekommen zu zweifeln, ob sie mit einem Kerl in die Kiste springt, weil sie abgewetzte Unterwäsche trug oder ihr Schamhaar nicht ordentlich gestutzt war.

Eines Tages war ihr dann bayburt escort aufgefallen, dass gerade Besucher, die zum ersten Mal in ihrem Badezimmer waren, dort überdurchschnittlich viel Zeit verbrachten. Welcher Mann braucht schon zum Pinkeln länger als 5 Minuten. Aus reiner Neugier noch völlig ohne sexuellen Hintergrund installierte sie eine unscheinbare hochauflösende Kamera auf dem Regalbrett über der Tür. Hier lagerte ihr Ersatzvorrat an Klopapier, weshalb keiner so genau hinsah. Sie hatte ja geglaubt, die Leute würden Schubladen und Schränke durchsuchen, um dort Sex Toys und andere Sauereien zu finden. Immerhin machte Sandra kein Hehl aus ihrem sexuell sehr aktiven Lebensstil. Es war jedoch vor allem der Ganzkörperspiegel an ihrer Tür, dem kaum ein Gast widerstehen konnte. Dieser schien eine magische, ja fast hypnotische Anziehungskraft auf die Besucher auszustrahlen. „Ich bin der geheime Zauberspiegel, zieh dich nackt aus und ich werde dir einen Wunsch erfüllen. Wenn du dazu noch vor mir masturbierst, gibt es 3 Wünsche.” Anders konnte es sich Sandra nicht vorstellen, dass so viele Menschen nicht nur der Versuchung nicht widerstehen konnten, ihr unverhülltes Ebenbild zu betrachten, sondern dazu noch Hand an sich anlegten. Völlig egal ob Männlein oder Weiblein, ob jung oder alt, egal ob bildhübsch oder eher interessant. Dabei gab es so viel Lustiges, Kurioses, aber vor allem Erotisches und Gruseliges zu betrachten, dass sie ein ganzes Buch damit hätte füllen können. Titel: „In nuditatis veritas.” In der Nacktheit liegt die Wahrheit.

„Alles gut oder benötigst du etwa Hilfe?” Jenny zuckte zusammen und sah sich erschrocken um, als sie die Stimme ihrer Freundin aus dem Wohnzimmer hörte. Ein gestottertes „Nein, wieso?” Kam mit deutlich weniger Selbstbewusstsein als geplant über ihre Lippen. „Weil du da jetzt schon seit über 10 Minuten drin bist.” Wie gerne sie ihrer Freundin noch weiter zugesehen hätte. Doch sie musste verhindern, dass diese ihre sexuelle Energie schon verpulverte, bevor es überhaupt losging. Jenny war eigentlich kein großer Fan von Selbstbefriedigung. Das lag zum einen an ihrer erzkonservativen katholischen Erziehung. Zum anderen hatte sie einfach zu häufig zu guten Sex. Selbst so etwas Intimes wie das regelmäßige Rasieren ihrer Schamhaare war für sie viel mehr eine kosmetische als eine erotische Handlung. Ja, sie hatte Spaß daran und sie spürte, wie es dabei in ihrem Schoß warm wurde. Aber sie freute sich dann eher, dass ihr Freund bald nach Hause kam und sie es dann heftig treiben würden, als selbst weiter Hand anzulegen. Sie kam so gut wie immer zum Höhepunkt und wenn nicht, nutzte Robert seine flinken Finger und umspielte Ihre Lustperle, bis sie explodierte. Und auch wenn ihr Sandra immer wieder erzählte, welche sexuellen Höhenflüge sie bei der Masturbation mit den unterschiedlichsten Spielzeugen und Körperöffnungen erreichte, fühlte sie sich dadurch, bisher eher bedrängt als angespornt es selbst zu versuchen. Daran änderte auch der wasserdichte Edel-Vibrator, den ihr Robert bereits zu ihrem ersten gemeinsamen Weihnachten vor mittlerweile fast 5 Jahren geschenkt hatte, nichts. Dabei war die Geschichte, wie sie zu dem Teil gekommen war, genauso lustig wie peinlich, dass sie eigentlich mindestens zweimal im Jahr auf irgendwelchen Feiern mit Freunden und Bekannten nach reichlich Alkohol ausgepackt wurde.

„Was ist jetzt? Kommst du oder muss ich dich holen?” Erneut wurde Jenny aus ihren Gedanken gerissen und erschrak, als sie im Spiegel sah, dass ihr Arm noch immer zwischen ihren Schenkeln steckte. Als sie ihre Hand befreite, funkelten die nassen Finger verführerisch im Licht der Deckenstrahler. Wow. Es war jetzt keine große Überraschung, dass sie bei Erregung recht schnell geil und ziemlich feucht wurde. BDSM Fantasien spielten dabei durchaus eine Rolle. Das war nicht immer so, ganz im Gegenteil. Sie hatte nicht einmal die Fifty Shades of Grey Bücher gelesen, geschweige denn die Filme angesehen, weil sie solche Sachen bis dahin ziemlich pervers und abartig fand. Das änderte sich, als Jenny sie vor einigen Jahren unter einem Vorwand in einen Girls Only 3-fach Nachmittag, mit allen Geschichten um Anastasia Steele und den sexy Milliardär geschleift hatte. Sie hatte noch vor dem Kino aufs heftigste protestiert. Da es aber Sandras Geburtstag war und sie somit in der Tradition ihren Bestimmer-Tag hatte, kam Jenny aus der Nummer nicht mehr raus. Es wurden die ungeschnittenen FSK18 Versionen gezeigt. Anfangs noch angewidert, dann zunehmend fasziniert verfolgte sie das bunte Treiben auf der Leinwand, das ihre Körpersäfte zunehmend zum Fließen brachte. Sie musste sich sogar in der ersten Film-Pause ihres klitschnassen Slips entledigen, mit einem Notfall Tampons nachhelfen, um nicht auszulaufen. Danach hatte sie dann zu Hause die Sache mit der Haarbürste mit dem bekannten und ernüchternden Ergebnis ausprobiert. Gelegentliche Anspielungen wie, „Ich war heute ein ziemlich böses Mädchen, willst du mir nicht den Hinter bilecik escort versohlen” oder „Du könntest mich mit den Sachen auch einfach ans Bett fesseln.” , Thorsten hatte beim Einkauf im Baumarkt Klebeband und Kabelbinder in den Wagen gelegt, sorgten für Unverständnis bei ihrem Freund und liefen ins Leere. Was ihr blieb, war sich mit Geschichten auf im Internet gelegentlich in Stimmung zu bringen. Was folgte, war dann jedoch meist klassischer, wenn auch guter Sex in einer der Standard-Stellungen. So hatten sich gewisse unerfüllte Sehnsüchte im Lauf der Jahre aufgestaut. Aber dass jetzt ein simpler Analplug einen derartigen Lust-Flashback in ihr auslöste, war schon erstaunlich und schockierend zugleich.

Wahnsinn, Sandra konnte sich gar nicht satt sehen. Ihre nackte Freundin hatte die Augen verdreht und das weiße war zum Vorschein gekommen. Eine Hand an ihrer Scham, die andere mit dem Plug im Innern zur Faust geballt. Jenny flüchtete sich regelmäßig in kurze Tagträume, wenn sie mit einer Situation überfordert war. Sie war dann wie in Trance völlig weggetreten und musste im wahrsten Sinne des Wortes wachgerüttelt werden. Sie war deswegen bis heute in Behandlung und versuchte die Aussetzer durch Gesprächstherapien und autogenes Training bestmöglich in den Griff zu bekommen. Mehr als einmal hatte Sandra zu Schulzeiten ihrer gleichzeitigen Sitznachbarin den Ellenbogen in die Seite gerammt, wenn diese mal wieder dem Hier und Jetzt entflohen war.

Sie ging zum Badezimmer und betätigte mehrmals hintereinander lautstark den Türgriff wohlweislich, dass sie von außen sah, dass abgeschlossen war. „Also ich mach’ mir langsam wirklich Sorgen. Wenn du dann nicht gleich rauskommst, breche ich die Tür auf.” „Alles gut, keine Panik. Ich muss gestern was Falsches gegessen haben und habe jetzt einen ziemlich nervösen Magen. Ich bin aber gleich so weit.” Sandras improvisierte Antwort war glaubhaft, wenn man die Kamerabilder nicht kannte. Es war Teil ihrer Therapie gewesen, sich für Außenstehende plausible Erklärungen für ihre Aussetzer zurechtzulegen, um nicht als krank oder durchgeknallt abgestempelt zu werden. Es dauerte noch ein paar Minuten bis Jenny sich mit reichlich Toilettenpapier, Wasser und Seife frisch und trocken gemacht hatte und mental bereit war, das Badezimmer zu verlassen. Sie ärgerte sich, dass Ihre Handtasche samt Notfall-Täschchen mit Tampons im Wohnzimmer auf der Couch stand. Und Sandras Maxi XXL Binden waren mindestens drei Nummern zu groß und unbequem. Es musste also ohne Schutz gehen.

Die Gastgeberin war derweil ins Wohnzimmer zurückgegangen und gönnte der Traumtänzerin ein wenig Privatsphäre, indem sie das Tablet ausstellte. Sie war gespannt, welche Entscheidung Ihre Freundin treffen würde. Dabei war es fast zu einfach gewesen. So bestand immerhin noch die Gefahr, dass Jenny den Braten roch, dass hier jemand, dem Zufall gehörig auf die Sprünge geholfen hatte. Sie hatte den Plug im Innern der Ersatz-Klopapier-Rolle auf dem Spülkasten versteckt und dann dafür gesorgt, dass auf der Rolle im Halter nur noch ein paar magere Blätter übrig waren. Nach zwei Gläsern Prosecco meldete sich endlich Jennys Blase zu Wort und sie musste auf Toilette.

Die Entscheidung war gefallen. Jenny hatte all Ihren Mut zusammengenommen. „Da ist aber jemand ein unanständiges Mädchen.” Sie blieb im Türrahmen zum Wohnzimmer stehen und wedelte lasziv mit ihrem Fundstück. Auch angezogen sah sie umwerfend aus, wie sie so dastand. Groß gewachsen, schlank, mit ewig langen Beinen und einem wahnsinnigen Knackhintern. Sie hatte eine skinny Jeans und ein enganliegendes Top an, die ihre Körperformen wunderschön wiedergaben. Auf die Frage, was sie an ihrem Aussehen gerne verändern würde, waren einzig und allein ihre Titten für sie eine Nummer zu klein geraten. „Was hast du da? Spinnst du, hast du etwa in meinen Privatsachen geschnüffelt?” tat Sandra bewusst empört. „Nein so war das nicht, ich habe nur …” schienen die Worte ihrer Freundin Wirkung zu zeigen und ließen sie kleinlaut und demütig erscheinen. Ihr anfängliches Selbstvertrauen war dahin. Stotternd erklärte sie den Fundort. „Sorry, dass ich dich zu Unrecht beschuldigt habe.” ruderte Sandra zurück, obwohl sie die Wahrheit ja schon längst kannte. „Ich sollte besser aufpassen, wo ich meine Sachen hinlege. Wie kann ich das wiedergutmachen?” Es entstand eine kurze Pause und Jenny schöpfte neue Kraft. „Na ja, ich würde mir den kleinen Freund gerne mal ausleihen.” Die Antwort folgte auf den Punkt: „Ich habe eine bessere Idee, ich zeige dir, wie man ihn richtig anwendet. Das ist doch das Mindeste, was ich für eine gute Freundin tun kann. Oder?”

Sandra gab ihrer Freundin keine Zeit angemessen auf dieses ungeheuerliche Angebot zu antworten, sondern nutzte die erneute kurze Pause zum direkten Angriff. Sie stand auf und ging einen Schritt auf Ihre Kontrahentin zu. Sie stellte sich breitbeinig auf und verschränkte die Arme in der Hüfte. Jenny musterte sie, immer noch unfähig etwas zu sagen. Sie bingöl escort hatte die körperlichen Vorzüge Ihrer Gegenüber schon in der Vergangenheit des Öfteren bewundert. Sei es beim Sport, in der Umkleide oder im Adamskostüm unter der Dusche oder in der Sauna. Aber nie hatte sie dabei ein feuchtes Höschen. Das Problem hatte Sandra nicht, denn sie hatte in der Hektik der Vorbereitungen keine Zeit mehr für Unterwäsche gehabt. So kostete es sie nur einen beherzten Griff an den Saum ihres Sommerkleides, um sich im Adamskostüm zu präsentieren.

„Wow, bist du schön!”, waren Jennys erste Worte, als ihre Augen den Körper ihrer nackten Freundin von oben nach unten abtasteten. Diese war einen guten Kopf, kleiner als sie und deutlich stämmiger gebaut. Sämtliche weiblichen Rundungen waren gut gepolstert. Pralle, satte Brüste mit großen dunkelbraunen Vorhöfen machten den Anfang. Die wulstigen Nippel zeigten, dass auch sie erregt war. Die rosa Zitzen hatten sich aufgestellt wie zwei Mini-Penisse. Ein ordentliches Bäuchlein ließ erahnen, dass Sandra keine Kostverächterin war und das ein oder andere Laster hatte. Doch das Fleisch war fest und straff. Der dadurch besonders tiefe Bauchnabel war der Wahnsinn. Ideal geeignet, um daraus diverse erregende Flüssigkeiten zu schlürfen. Champagner, Erdbeereis, Wodka, Nutella oder simples Eiswasser waren nur einige der Lustbringer gewesen, die in Sandras bisheriger sexuellen Karriere den Weg in diese Höhle gefunden hatten. Weiter unten präsentierte sich ein Schoß, der jedem Sexualpartner, egal ob Männlein oder Weiblein, groß oder klein, jung oder alt, das Wasser im Mund zusammenlaufen ließ. Eingebettet in ein breites gebärfreudiges Becken, eröffnete sich dem interessierten Betrachter ein stark gewölbter Schamhügel. Der dichte pechschwarze Busch war zu einem Dreieck sauber zusammengestutzt, dessen Spitze genau dort endete, wo sich ihre Weiblichkeit teilte. Ihre wuchtigen äußeren Schamlippen gaben bei geschlossenem Schoß noch nichts von Ihrem geheimnisvollen Inhalt preis. Ein Musterbeispiel, warum diese Körperregion gemeinhin als „camel toe” / „Kamelhöcker” bezeichnet wurde. Es war, als wenn dieser ganze Körper nur auf einen einzigen Zweck ausgelegt wäre. Den Fortbestand der menschlichen Rasse nachhaltig zu sichern. Und das Beste kam erst noch als sie sich umdrehte. Zwei riesige, kugelrunde Pobacken rückten ins Blickfeld der Anal-Jungfrau. Mancher Mann würde sich im angezogenen Zustand leicht zu der Bemerkung „fetter Arsch” hinreißen lassen. Aber Sandra wusste aus eigener Erfahrung, dass bisher noch kein Schwanz der Versuchung widerstehen konnte, in diese tiefe Schlucht einzutauchen. Egal durch welchen Eingang.

„Ich muss dich leider enttäuschen, aber hier ist schon besetzt. Also müssen wir wohl oder übel bei dir weitermachen” Sandra hatte mit den Händen die zwei Hälften Ihres Allerwertesten auseinandergezogen. Die noch Bekleidete staunte nicht schlecht, als sie den roten Schmuckstein sah, der das Poloch ihrer Angebeteten schmückte. Der Blick wanderte in ihre eigene Hand. „Ich habe noch einen Dritten, der ist orange. Die anale Lustampel grün, orange, rot heißt es im Prospekt des Herstellers. Rot ist der größte, dann orange und ich dachte mir das Grün für dich zum Anfangen wohl das Beste ist.” Jenny wurde heiß und kalt zugleich, die Feuchtigkeit zwischen ihren Schenkeln hatte bereits den Jeans-Stoff ihrer Hose erreicht und einen deutlich sichtbaren dunklen Fleck gebildet. „Oh, das nenne ich aber mal Vorfreude. Willst du dich nicht endlich davon befreien.” Sandra hatte sich mittlerweile wieder umgedreht, um ihr hilfloses und mit der Situation sichtlich überfordertes Opfer anzuschauen. Es schien so, als wenn Jenny kurz überlegen musste, ob sie den Wunsch ihrer besten Freundin erfüllen sollte.

In Wahrheit hatte sie erst jetzt begriffen, dass sie den grünen Analstöpsel nicht zufällig gefunden hatte. Ein flaues Gefühl machte sich in der Magengegend breit. Aber hatte sie ernsthaft die Option jetzt noch Bedenken zu äußern, ohne ihre Freundin zu verärgern oder gar zu demütigen. Zaghaft öffnete sie die Knöpfe ihrer Hose und ließ sie zu Boden gleiten. Als sie das Top über den Kopf zog, bereute sie kurz, sich heute für die biedere Slip-BH Kombination „Frauenarztbesuch” entschieden zu haben. Sie atmete sichtlich erleichtert auf, es endlich geschafft zu haben, als die letzten Hüllen fielen. Fast ein wenig neidisch blickte Sandra auf den schlanken, jugendhaften Körper ihrer Freundin, der doch deutlich mehr das von Medien und Werbung proklamierte Frauenbild verkörperte. Der flache Bauch, der neckische Stubsnabel und die ewig langen Beine. Manchmal wünschte sie sich eine Auszeit von ihren dicken Eutern, mit denen gerade körperliche Anstrengung oder die Klamottensuche jedes mal eine Herausforderung darstellte. Doch musste es gleich eine 75b sein. So war sie froh, doch noch für sich einen Makel an ihrer Gegenüber gefunden zu haben. Untenherum präsentierte sich die blonde Hünin jungfräulich wie ein Schulmädchen. Glatt wie ein Kinderpopo versperrte nicht das kleinste Härchen den Blick auf das Wesentliche. Die schelmisch hervorlukenden Muschilippen funkelten verführerisch und ließen keinen Zweifel daran, dass der Wandel zur Frau schon vollzogen war.

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Loyalty Test Surprise Ch. 03

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Cum

Her favorite masturbation fantasy is coming true. It doesn’t seem possible. Tessa is scared, but she tries to calm herself and control her breathing. She doesn’t want to face the reality of how much she wants this to happen.

“But…but we’re just friends…” Tessa argues weakly.

“That’s exactly why we should. I can’t think of anyone I’d rather do it with than you.”

“I’ve never done anything with another girl. Have you?”

“Kind of, yeah.” Natalie shyly admits after a pause.

“How come you never told me?”

“I didn’t want you to think I was a freak. It was when I was with Mark. He wanted a threesome and he kept pestering me until I agreed. It was with a girl that he worked with. It was weird, but he wanted the two of us to kiss and do stuff to each other.”

Tessa pulls her top off and quickly removes her lacy black bra. “What kind of stuff?”

“Suck each other’s boobs, for one thing.” She goes in and suckles Tessa’s left tit a little. Tessa groans and wants more. “And finger each other.” Her hand goes between her friend’s legs and rubs her through her jeans. Tessa regrets that she didn’t wear the skirt she had on before she changed into pants that morning.

“Did you lick her pussy?”

Natalie bites her lower lip, hesitant. Tessa pinches one of her exposed nipples. “Tell me!”

“Ouch! Okay, okay. We pretty much 69ed while Mark just sat there and jerked off.”

“Was it hot?”

“I guess so,” she works to undo the button on Tessa’s jeans and slides the zipper down. “It all happened so fast that I didn’t really get to take my time and enjoy it. Ever since then, I’ve wanted to try it again…but only with you. Except,I always thought we’d be drunk when it happened.”

“I’m glad we’re not. I want to remember every second of this.”

“Me, too,” Natalie says in a husky voice, yanking at Tessa’s pants.

“Is this really going to happen?” Tessa asks, lifting her butt up so Natalie can pull her jeans down. Once her pants are off, Natalie stares at her hungrily.

“Oh, it’s happening, girl. It’s so happening.” Tessa’s panties come off next. Now that she is naked, her knees get spread wide apart. There’s no hiding. She’s feeling very vulnerable sitting there in front of her friend naked with her pussy fully on display.

‘You don’t shave,” Natalie observes giddily, licking her lips.

“No, I do…around the edges,” Tessa says defensively. She never had to justify her grooming choices down there before. She thought about shaving it off completely a few times, but she likes the feel of her furry mound when she touches herself, which is more often as of late.

Natalie stands and drops her skirt. Her moist panties come down next. Her pussy is hairless and puffy after her oral encounter with Josh’s dick. Tessa can’t help but gawk at it. It’s beautiful, just like the rest of her. Her inner lips are swollen with desire, protruding from her dainty slit invitingly. Natalie reaches down and spreads those lips to show her more. Tessa is embarrassed for staring like she is, but she can’t look away. She never realized before how much she likes pussy. Her mouth is watering.

“Okay…so, how do we do this?”

“It’s easy,” Natalie says and goes to her knees in front of her reluctant partner. She grabs her and pulls her forward on the couch so her butt is right at the edge. She eyes her target for a moment before going in. Then, just like that, her mouth is on her best friend’s pussy!

Her lips are on her lips. Her tongue is all over her clit. There are kisses, and licks, and little sucks. Tessa is frightened, What does this mean, will it change her, will it change their friendship? Despite all the questions, it feels amazing. Better than when Josh does it…better than when any guy has ever done it to her. She moans to make sure Nat knows how good it is.

“That’s it…lick me, slut…suck my pussy…suck it…” She’s usually too self-conscious to talk dirty in bed, but with Natalie, she has no inhibitions. She’s free to say whatever she feels.

Her fingers run through her friend’s curly blond hair. She likes the feeling of the way her head is moving as she’s eating her pussy. This is the most erotic moment of her life. “There you go…eat it, baby…eat that nasty pussy, bitch.”

Natalie picks up the pace, licking faster, moving down to explore her wet hole, venturing dangerously lower. Her tongue is flirting with Tessa’s asshole. This shocks her a little, but she desperately wants her to go there. No one has ever done that to her before, but it is suddenly something she wants more than anything.

Her gorgeous friend moves back up and sucks her clit. It’s difficult to be disappointed because that feels so damned good too. “Suck it…oh, yes…make me cum…you’re going to make me cum…”

It seems impossible that she could be so close to an orgasm this fast. It usually takes something like ten minutes or more when she’s fingering herself, but she is already there after less than a minute of aksaray escort Natalie’s oral favors. She can get used to this.

“You taste so good,” Natalie gasps. “I can’t get enough,” and she goes back in for more. Tessa is happy about it. She lifts her legs up and pulls her knees back to her ears, hoping that encourages her friend to go where no man has gone before.

Natalie grunts in approval of the new position and renews her passion for what she’s doing. Her tongue is everywhere all at once. Tessa wants to rub her clit to help things along, but she doesn’t want to spoil what’s happening. “There you go…don’t stop…keep going…” she groans encouragingly while putting slight pressure on the top of Natialie’s head, trying to hint at where she wants her to go. She’s too embarrassed to just come out and ask for it.

Once again, she is getting tongue fucked by her friend. It feels amazing. It makes her realize that a guy doesn’t have to be that big to give her pleasure. If Natalie can make her feel this good with her little tongue, then anything is possible. “Fuck me, baby…fuck my pussy…just like that…oh, fuck…”

“You like that, slut? You like having a girl suck your cunt for you?”

“Yes! I love it! It’s the best…you’re the best!” She means every word of it. This isn’t a performance, just the truth spilling out of her with no filters. “Go lower…” she says, then stops herself before she says too much and embarrasses herself.

“Lower?”

“Yes…lick my ass. I want you to lick my asshole for me…please….” Fuck being embarrassed!

“I thought you’d never ask.”

Maddeningly, she takes her time getting there. After a few last licks at her opening, she moves lower and teases her tongue over and around her taint. It feels incredible, as much for the anticipation as for the naughty tickle it gives her. She doesn’t know what it is going to feel like, but she somehow knows it’s going to be damn good. Tessa pulls her legs back further and waits impatiently for it.

Natalie backs off for a second. What is she doing? Tessa opens her eyes to check. She’s just looking directly at her asshole, a big smile on her face. Tessa can’t take it! “Go on, lick it! Do it! Lick my nasty little butthole, slut!” And she does just that.

Tessa’s sense of newfound empowerment is instantly eclipsed by the pure ecstasy of Natalie’s tongue swabbing back and forth and around her anus. It’s even better than she expected, even though she never expected this at all. Never had she wanted someone to do this to her before, never even thought of it, but she couldn’t imagine living without this feeling whenever she got the chance. How can something so depraved feel so fucking good?

“You like that? You like what I’m doing to you right now?”

“I love it! More. Give me more, please…I love you so much! Eat my ass, whore!”

Natalie buries her face between her cheeks and goes wild down there. Tessa can barely take it all in. Never had she felt such absolute bliss in her life. It’s almost too much. Her finger finds her clit and she rubs it vigorously as she uses her other hand to spread one of her cheeks wider for Natalie to get in deeper.

“Lick my ass, baby. You do it so good…so fucking good.” That’s when she feels the tip of Natalie’s tongue poke into her butthole. This catapults her to a whole new level of euphoria. It can’t be impossible to feel this good. “Oh, yes! That’s what I want…give it to me!”

Natalie pushes her tongue in a little deeper. She can tell it’s difficult for her, so she tries to relax her asshole as much as she can, which isn’t easy. It’s no longer just the tip, Natalie’s tongue is fully penetrating her as much as it can. Tessa has slipped a finger in back there from time to time when she was playing with herself in the shower and was super horny, but it never felt as awesome as her friend’s tongue did back there. This is a whole new world.

“I’m going to cum!” she announces urgently. She wants her mouth on her pussy when she cums, but she needs her to keep doing what she’s doing to her asshole too. Unbidden, the thought of an all-girl threesome comes into her mind. One perversion at a time she admonishes herself and tries to focus on her imminent orgasm.

It hits her like no other orgasm ever has. It’s like thunder crashing through her, starting in her pussy, and rumbling out to her ass, to her belly, straight up past her tits, and into her brain. It’s glorious. “I’m cumming!” she cries out, not caring about whether or not the neighbors can hear her screaming. They deserve to know how amazing this orgasm is!

“Ohhh, fuck…fuck, fuck, fuck, yes! Oh, God..stop, I can’t take anymore. Please…Oh, God…”

Natalie’s tongue slows and Tessa instantly regrets telling her to stop. With a parting kiss directly on her butthole, she works her way up until she’s kissing her hyper-sensitive clit. It’s too much, but Tessa is happy to endure it. She never felt the kind of love amasya escort she had in that moment for her best friend.

She didn’t stop at her clit and kept moving up over her hairy mound, across her belly, pausing at her modest tits to lick and suckle each of her nipples. Then up to her throat, where she nuzzles her and gives her delightful goosebumps all over her body. Finally, she kisses her on the lips.

Tessa gratefully kisses her back. Their tongues play one against the other. It’s easily the best kiss she’s ever had, no question about it. “My mouth was just on your pussy,” Natalie says in a raspy whisper.

“I can taste it,” Tessa responds and kisses her again.

“It was also all over you asshole,” she adds after a few moments.

“Thank you so much for that. You’re the best.” Their lips come together with greater intensity, no question about what they’re doing, no hesitation, no holding back. Their hands are all over each other. Natalie’s hips are between Tessa’s thighs This is the part where normally they would fuck, but there wasn’t a cock in the mix for that to happen. They both felt the lack of it.

“Are you ready for your turn?”

“More than you’ll ever know,” Natalie breathes, her cheeks red with expectant joy. “I’ve been wanting this for a long time. You have no idea…” Natalie looks her in the eye and in a very serious tone says: “I want you to eat my cunt, you fucking slut.”

~ ~ ~

Tessa smiles and nods. She pushes Natalie down onto the sofa and gets between her legs. She can smell her passion. It’s a familiar scent, similar to her own, but unique in a way that is all Natalie. She begins by kissing her inner thigh. She’s dying to get right to it, but she knows from her own experience being on the receiving end that isn’t the way to go.

Natalie squirms under her, lifting herself up off the sofa, urging Tessa toward her bald pussy. She’ll get there…all in good time. A new worry comes over her as she gives her friend a playful nibble. What if she’s bad at eating pussy? She’d fantasized about it before and watched so much lesbian porn that she never actually considered if she’d be any good at it. And, from the few boyfriends and hook-ups she’d had, she knew it was totally possible to suck at sucking pussy.

After the mind-blowing orgasm she’d just been gifted with, she didn’t want to let her friend down. With a deep, centering breath, she decides this is going to be the best oral sex her friend has ever known! It has to be. Even if she doesn’t quite know what she’s doing…

~ ~ ~

Tessa places her thumbs on either side of Natalie’s clean slit. She presses her thumbs apart, spreading her friend’s pussy. If she thought she was beautiful before, this only made her more beautiful in her eyes. Natalie’s clit commanded her attention. She was so hard. Her own clit was a tiny nub that is sometimes hard to find. No guy would be able to miss Natalie’s. And no girl for that matter. She is surprised Natalie never mentioned what a fantastic clit she had, but they never really talked about those kinds of details. Sex in general, sure, but never the finer points of their pussies and clits.

They had no secrets when it came to guys (well, almost no secrets), but they also never talked about masturbating or their fantasies. That has to change, Tessa decides and goes straight in for Natalie’s clit. She knows she shouldn’t, but she can’t resist. It’s right there demanding that she suck it. And so she does.

Tessa hears a gratified moan coming from Natalie, and that makes her feel good. At least she’s doing something right. She circles her tongue around that fat clitty, marveling at its size and firmness. It’s not like it’s freakishly huge or anything like some of the extreme clits she’s seen online, but it’s rather substantial. She can’t help but suck on it as if it were a tiny little cock.

“Oh, fuck, yes! Just like that!” Natalie yells out, grabbing hold of either side of Tessa’s head and humping herself against her mouth. “Suck it! Suck me, baby! There you go. That’s it…Mmmm…”

The thought of licking another girl’s pussy always seemed weird to Tessa, but now that she is doing it there’s nothing at all weird about it. It’s so much more fun than sucking cock, and she loves the reaction she’s getting out of Natalie. She can’t believe she’s actually going to make her friend cum just with her mouth. She goes down and tongue-fucks her hole for a bit, she liked when Natalie did that to her, Damn, she’s so fucking wet. She takes it as a compliment and goes back to that amazing clit of hers. When she does, Natalie lets out a low howl of pleasure that makes Tessa shiver with delight.

“Oh, God, suck it! Don’t stop! Suck my clit! Eat that cunt…eat it, bitch!” Natalie’s hips are pumping as she mercilessly fucks her friend’s face. “I’m going to cum! Oh, God, I’m cumming! Fuck me, I’m cumming! Shit, shit, shit….yes! Oh, fucking hell yeah…oh, shit…” Her hips slow to a stop antalya escort and they both try to catch their breath.

Tessa is tempted to lick her stiff clitty, but she probably shouldn’t – she knows how sensitive she gets after she cums. But she doesn’t want to move. Her face hovers just a few inches from Natalie’s pussy – she can feel the heat coming off of it and smell the fresh girl-cum. It’s more beautiful now than it was before. And she now knows exactly what it tastes like. She smacks her lips and notices her heart is beating fast.

“Can you put a finger in?” Natalie asks in a quiet voice. Tessa doesn’t think twice and gives her what she wants. “Can you do two? Yes, perfect…”

She’d fingered herself hundreds of times, so why does it feel so different putting her fingers inside of Natalie’s pussy? It feels great, no doubt about it, but just…different. She moves her fingers slightly, just barely going in and out. That’s how she likes it.

“Yes…fuck me…go ahead…do it.”

Tessa turns her hand and feels for her friend’s G-spot. She can usually find her own, but that’s easy because she can tell when she’s touching the right place. This will be tricky, but she still wants to try and find Natalie’s little spot. She runs the pads of her fingers along the roof of her pussy.. Natalie lets out a squeal of delight. Tessa zeros in. She thinks she found it.

“Right there…fuck me…you got it…fuck my cunt…oh, shit, that feels good…” Natalie babbles as if she is delirious with sexual joy. “So fucking good…I love you…I love you so much…keep going just like that.”

Tessa slowly picks up the pace, moving her fingers in and out faster. The wet, squelching sound of her fingers repeatedly penetrating her best friend is intoxicating. She breathes her in, never realizing how pleasantly fragrant a pussy…or cunt…could be. It’s her new favorite smell in all the world. Natalie fucks her in return, moving her whole body in rhythm with Tessa’s fingers. She is really into this!

“I’m going to cum again…fuck, yes…make me cum…fuck me, fuck me, fuck me hard!”

Tessa slams her fingers in and out aggressively. She knows how hard she likes it sometimes, and assumes Natalie likes it that way too. She’s hypnotized by the way her clit is bounding as she assaults her friend’s cunt. Her arm is getting tired, but she’s on a mission. She’s going to make Natalie cum again no matter what.

“That’s it, slut, take it! You like getting fucked like this, don’t you? You like getting finger fucked?”

“I love it! I love it so much! Fuck me, please, fuck my horny cunt!” Her body is rolling side to side, but Tessa struggles to maintain her speed and force. Natalie’s mounting cries let her know she is close. She knows how important it is to remain consistent – same speed, same pressure, same action – nothing changes.

“Ah, ah, ah! Oh, God…Oh, my fucking God…that’s it…right there, right there, right like that…uuunnngggghhh, shit! Fucking shit, yes…” Natalie is panting, her big breasts rising and falling rapidly. Tessa could watch that all night. What a delectable sight.

But now Tessa is feeling a needful ache in her own pussy. An ache that won’t be satisfied by fingers. “You know what you need,” she says.

It takes Natalie a moment to respond. “What’s that?” she asks breathily.

“A cock.”

“Maybe you should call Josh and see if he wants to come back and do us both,” Natalie suggests and Tessa can’t tell if she’s joking or serious.

“Fuck that loser. He doesn’t deserve either of us.”

“You’re right. Do you have any hot neighbors?”

“A middle-aged lady next door, an old couple across the hall, and a gay guy on the other side.”

“Totally gay, or kind of bi?”

“Totally gay for sure, trust me.” Tessa racks her brain. There had to be someone in the building that would be willing to fuck them. “There’s a woman upstairs with a German Shepherd.”

“A male German Shepherd?”

“I think so.” It was just a joke and she’s embarrassed for even saying it, but Natalie actually looks like she’s considering it.

“Wait, do you have a strap-on?”

“No. Why would I have a strap-on?”

“I don’t know. Maybe Josh was into getting pegged.”

“Pegged? What the fuck even is that?”

“When you fuck a guy in the butt with a strap-on. Don’t you watch porn?”

“Not that kind of porn.” She knows what she’ll be typing into her browser next time she logs on. “But I do have a dildo somewhere.”

“Go get it!”

“I’m not sure where it is,” Tessa explains, trying to think.

“Isn’t it in your nightstand right next to your bed?”

“No, I never actually used it. My sister gave it to me at her wedding shower as a joke. She said now that she was getting married she wouldn’t need it anymore. Well, the joke’s on her – last time we talked she said they hadn’t had sex in two months. Anyway, I don’t remember where I put it.”

‘Well, we need it, so think harder.”

“It must be somewhere in my closet…”

“Let’s go look!” Natalie jumps up off the sofa and hurries to the bedroom. All Tessa can do is admire her naked body as she goes. That insistent ache in her pussy prompts her to follow, eager to find that stupid dildo she thought she’d never have a use for.

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Die Mösenlappen On Tour 02

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Meine vier Bandmitglieder und ich kamen in San Francisco an und zogen sofort in unser Hotel ein. Da unsere Finanzen begrenzt waren, hatten wir uns etwas ausgesucht, was nicht gerade schick, aber auch nicht zu billig war. Taziana und Nadia, die heiraten würden, bekamen zusammen die Honeymoon Suite und wir gingen davon aus, dass wir nicht mehr viel von ihnen zu Gesicht bekommen würden, sobald sie da drin waren. Der Rest — Barbara, Stefania und ich — hatten ein Doppelbettzimmer zusammen. Es machte uns nichts aus, zusammen zu schlafen und wir sparten dadurch etwas Geld.

Am Tag nachdem wir dort angekommen waren, gingen Taziana und Nadia gleich nach dem Frühstück Brautkleider shoppen, so dass Bibi, Stef und ich auch loszogen, um uns etwas hübsches zum Anziehen für den besonderen Anlass zu suchen. Wir dachten, da wir zwei Bräute hatten und keinen richtigen „Bräutigam”, könnten wir uns zusammen als „männliche” Trauzeugen verkleiden. Wir gingen also kichernd und witzelnd durch verschiedene Boutiquen und Kostümverleihe, um die verrücktesten und ausgefallendsten Anzüge zu suchen, die wir finden konnten. Am Ende hatte Bibi es am einfachsten, da sie groß und breit genug war, um Männeranzüge ohne Probleme tragen zu können. Sie fand einen süßen pinken Smoking mit einer blassblauen Rüschenbluse, die in starkem Kontrast zu ihrem kurzen weißen Haar, den breiten Schultern, den Tätowierungen und der generell ruppigen Art stand. Stef und ich mussten jedes Mal grinsen, wenn wir sie ansahen.

Stefania hatte es schwerer. Sie ist ziemlich kurz gewachsen und etwas pummelig, so dass die meisten Größen für sie entweder zu lang oder zu eng waren. Am Ende fanden wir etwas in einem kleinen komischen Second-Hand-Laden, das aussah, als ob es für sie gemacht war: Ein heller lila Anzug, der über und über mit Strass-Steinen besetzt war, an allen Nähten und Rändern. Allerdings fanden wir kein passendes Hemd oder Bluse, so dass sie schließlich nur ein Netztop darunter trug, das sie schon dabei hatte. Sie sah umwerfend aus. Was mich betraf, so fand ich einen netten Anzug in meiner Lieblingsfarbe — orange, der etwas geschäftsmäßiger und weniger schick aussah, als ich es gerne gehabt hätte, aber ich machte ihn festlich mit einem hellen gelben Hemd und einem knallroten Schlips, die ich darunter trug.

Es hatte den ganzen Tag gedauert, bis wir unsere Outfits zusammengesucht hatten, und so war es bereits spät, als wir damit fertig wurden und uns hungrig und erschöpft in einem der vielen Diners der Stadt einfanden. Wir behielten die neu gekauften Anzüge an, einfach aus Spaß, und bekamen eine Menge seltsamer Blicke von den Leuten um uns, wo immer wir hingingen, was wir zum Schießen fanden. Insgesamt jedoch war San Francisco eine sehr offene und freundliche Stadt und schwule Menschen in seltsamen Kleidern waren üblich genug, dass es niemanden mehr auf die Palme brachte. Umso mehr waren wir vor den Kopf gestoßen, als plötzlich eine Gruppe junger Studenten das Diner betrat, zwei Mädels und zwei Jungs, die alle noch die Jacken ihres College-Football-Teams anhatten, die Mädels mit den kurzen Röcken und Tops von ihrem Cheerleading Training. Sie alle fingen offen an, sich über uns lustig zu machen, und zwar laut genug, dass wir es hören konnten.

„Oh Mann, ich hasse Schwuchteln,” sagte einer der Jungs als sie hinter uns Platz nahmen.

„Jaaaahh,” antwortete eines der Mädels in dem gelangweilten Ton der Heranwachsenden, der gleichzeitig Allwissenheit und Interesselosigkeit anzeigen sollte.

„Keine Ahnung, warum die schwul sein müssen,” lachte der andere Kerl. „Die würde sowieso kein Mann ficken, also brauchen sie sich darüber keine Gedanken machen.”

Stef rollte mit den Augen und stützte ihren Kopf auf den Arm, während sie mit ihrer Gabel den Rest ihrer Pfannkuchen piekste, aber sagte nichts weiter. Bibi hingegen wurde sichtbar aufgeregt. Ihr Gesicht lief rot an und ich konnte die Vene an ihrer Stirn sehen, was nie ein gutes Zeichen war. „Diese beschissenen Assis,” sagte sie in unserem Heimatdialekt. „Ich wette, wenn ich mit denen fertig bin, dann können nichtmal ihre Mamas mehr ihre Ärsche von ihrem Gesicht unterscheiden.”

Ich lachte und antwortete ebenfalls in unserer Sprache: „Wollen wir wetten, dass wir die Freundinnen dazu kriegen, Muschi zu bevorzugen?” fragte ich und blinzelte Stefania an.

Ein paar Minuten später standen die beiden Mädels an anderen Tisch auf und gingen zu den Toiletten, während ihre Freunde weiterhin ihre rüpelhaften Kommentare abließen. Ich nickte Barbara zu und stand zusammen mit Stef auf, und wir schlenderten ebenfalls zu den Damentoiletten. Bibi blieb zurück und bestellte sich noch einen Kaffee. Als wir eintraten, waren die beiden Mädchen bei den Waschbecken und plauderten, aber wurden sofort still als sie uns kommen sahen. Wir gingen zu einem Spiegel neben ihnen und ich bat Stef um etwas Make-Up. Sie kramte in ihrer Handtasche herum und gab mir schließlich etwas Lippenstift und Eyeliner, mit denen ich eine schmerzhaft lange Zeit verbrachte, um sie aufzutragen.

Als die Mädels uns in einer anderen Sprache sprechen hörten, wurden sie etwas neugierig. „Ihr seid wohl nicht von hier, was?” fragte eine davon und kaute ardahan escort auf etwas Kaugummi herum, während sie mich von oben bis unten musterte.

Ich lächelte zurück und antwortete mit dem besten gebrochenen Englisch, das ich aufbringen konnte: „Nein, wir von Italia.”

Stef grinste und lehnte sich gegen das Becken. „Oh wow,” sagte das andere Mädchen. „Ich bin selbst irisch-italienisch.” Sie war relativ schlank und athletisch und hatte langes, brünettes Haar, das sie zu langen welligen Locken gedreht hatte, dazu eine gebräunte Haut und ein sehr rundes, amerikanisches Gesicht mit süßen Grübchen.

„Super,” sagte Stefania auf Italienisch. „Es tut so gut, auf Landsleute zu treffen.”

Das Mädel starrte sie mit leerem und etwas verwirrten Blick an und ich stieß sie mit dem Ellenbogen in die Seite. „Die meint nur, dass ihre Vorfahren aus Italien hierher gekommen waren,” sagte ich zu Stef, ebenfalls auf Italienisch.

Sie lachte und begann dann einen lange, italienische Schmährede, die jeden sizilianischen Fischverkäufer vor Scham erröten lassen würde, während sie weiterhin freundlich zu ihr lächelte. „Oh, das heißt also du hat überhaupt keine Ahnung von unserer Kultur, unserer Sprache, unserer Geschichte, könntest Italien nicht mal auf einer Landkarte finden, selbst wenn deine Titten darauf festgenagelt wären, und die einzige Verbindung besteht darin, dass irgendein alter Schwanzlutscher vor 150 Jahren mal von dort nach Amerika gekommen war, um einen Esel in den Arsch zu ficken, was irgendwie deinen Stammbaum gegründet hat.”

Das Mädchen sah mich verwirrt an und ich lächelte. „Was sie meinen,” sagte ich auf Englisch, „es ist wundervoll, euch zu kennen lernen und wir lieben Amerika. Ist schließlich nach Italiener benannt, also wir sind eigentlich zu hause.”

Ihre Freundin sah uns verwirrt an. Sie war blond und etwa genauso groß wie das „irisch-italienische” Mädchen, ebenfalls gebräunt und schlank, aber ein bisschen muskulöser, und hatte das gleiche runde Gesicht. Die beiden sahen so aus, als wären sie etwa 18 oder 19 Jahre alt. Offensichtlich waren wir anders als alles, was ihnen je zuvor begegnete war, und so wussten sie nicht so recht, wie sie damit umgehen sollten. „Was meinst du damit?” fragte sie.

Stefania rollte mit den Augen. „Amerigo Vespucci,” sagte sie und gestikulierte mit der Hand, während sie auf Italienisch fortfuhr: „Mein Gott, du weißt echt nichts, oder? Hast du so viele Schwänze gelutscht, dass dein Gesicht mit Sperma ausgespült wurde?”

Ich grinste und versuchte, nicht laut zu lachen. „Sie sagen Amerigo Vespucci, berühmte italienischer Entdecker. Amerika nach ihm benannt.”

Die Mädels sahen einander an. „Egal,” meinte die Blonde und zuckte mit den Schultern. „Und was führt euch nach S.F.?”

„Unsere Freunde heiraten,” antwortete ich.

„Oooohh,” sagten die beiden Mädchen. „Wie cool!

Ich nickte. „Genau, es sind beides Bräute, und wir sind deswegen die Trauzeugen,” erklärte ich.

„Oh,” sagte die Blonde schließlich. „Also… zwei Frauen?”

Ich nickte wieder. „Oh ja, die sind schon ewig zusammen.”

Die dunkelhaarige „Irisch-Italienerin” machte ein Gesicht wie hundert Tage Regenwetter, als hätte sie gerade eine Zitrone verschluckt. „Iih,” sagte sie. „Warum müsst ihr das machen? Könnt ihr nicht christlich sein, wie alle anderen auch?”

Ich kratzte mich am Hinterkopf. „Was ist christlich?” fragte ich und schützte Unwissenheit vor.

„Na, ihr wisst schon,” sagte die Blonde. „Zum Beispiel, ein Mann und eine Frau, heiraten, kriegen Kinder, wie es in der Bibel steht.”

Stef lachte und ich wand mich innerlich vor Fremdscham. „Und keinen Sex vor der Ehe,” witzelte ich.

Sie sahen mich an und antworteten mit vollem Ernst: „Ja, natürlich.”

Ich lehnte mich zurück und verschränkte die Arme vor meiner Brust. „Und wie wisst ihr dann, dass ihr gut im Bett seid, wenn ihr vor der Ehe noch nie Sex gehabt habt?” fragte ich.

„Ich bin gut im Bett,” protestierte die Blonde.

„Oh, hast du schon mal jemanden zum Höhepunkt gebracht?” fragte ich verschlagen. Sie antwortete nicht, aber sah grimmig drein. „Na, wie weißt du denn dann, dass du gut im Bett bist, wenn noch niemand gekommen ist?”

Ihre Freundin unterbrach mich: „Ich hab schon Jungs zum Kommen gebracht!” sagte sie.

Ich hob meine Augenbrauen und sagte: „Oh, ganz ohne Sex?”

Sie schüttelte bekräftigend den Kopf. „Blasen ist kein Sex,” sagte sie.

Ich lachte. „Und was ist dann Sex?” fragte ich.

Sie sah ihre Freundin an und antwortete dann: „Na, du weißt schon, wenn er in meiner… Vavavas ist.”

Ich sah sie überrascht an. „Deiner was?” fragte ich.

„Meiner Vagina!” erwiderte sie etwas entnervt.

Ich lachte. „Oh, und alles andere ist kein Sex?” fragte ich. Sie nickte. „Also wenn du mir die Muschi leckst, dann ist das kein Sex? Und wir sind dann auch nicht lesbisch?” fuhr ich fort. Sie zuckte unsicher mit den Schultern.

„Warum würden wir das überhaupt tun?” fragte ihre blonde Freundin.

Ich legte meinen Kopf schief. „Vielleicht nur, um zu sehen, ob ihr wirklich so gut im Bett seid, wie artvin escort ihr es behauptet?” antwortete ich. „Oder vielleicht, weil das die einzige Chance für euch ist, von zwei älteren Italienerinnen was über guten Sex zu lernen.” Ich lachte. Sie sahen einander an als ich meine Jacke auszog und auf das Waschbecken legte, mich etwas streckte und dabei meinen Busen herausreckte, als ich langsam mit wiegenden Hüften auf das dunkelhaarige Mädel zuging. Sie beobachtete mich nur, als ich an sie herantrat und zuckte nicht einmal, als ich meinen Zeigefinger auf ihre Lippen legte. Langsam öffnete sie diese und schlang sie um meinen Finger mit einem lutschenden Schmollmund, als ich ihn frech in ihren Mund rein und rausschob. Aus dem Augenwinkel konnte ich sehen, wie ihre Freundin schockiert zusah.

Ich zog meinen Finger zurück und leckte ihn mit der Zunge ab, wobei mein Gesicht so nah an ihrem war, dass ich ihren Atem schwach auf der Haut spürte und ihre Haare riechen konnte. Ich lächelte wieder und seufzte tief auf, als ich meine Hand in meine allzu enge Hose schob, es schaffte, den feuchten Zeigefinger zwischen meine Schamlippen zu führen und ihn dort in meine nassen Mösensäfte einzutauchen, und ihn dann wieder herauszog. Ich starrte ihn vielsagend an und seufzte. „Na, du bist nicht so schlecht, du hast mich schon feucht gemacht,” flüsterte ich.

Sie grinste als Antwort und fing zögerlich wieder an, den Finger abzuschmecken, als ich ihn ihr hinhielt. Er konnte nur einen schwachen Muschigeschmack haben, aber sie lutschte ihn schließlich wieder in ihrem Mund und genoss das Gefühl. Ich konnte sehen, wie sie sich wand und nervös wurde. Es fiel ihr schwer, sich zurück zu halten, als sie merkte, wie sie sich selbst befriedigen wollte.

Neben mir hatte Stef ihre Jacke geöffnet und die Bluse aufgeknöpft. Darunter trug sie eines ihrer Korsette, welches ihrer pummeligen Figur eine noch appetitlichere Form gab. Ihre großen, runden Brüste hingen schwer über den Rand des Korsetts, und ihre dunklen Brustwarzen waren deutlich um ihre harten Nippel herum sichtbar. Sie drängte die Blonde gegen die Waschbecken und fuhr mit ihren Händen an ihrem Körper herab, liebkoste ihre junge, athletische Figur als sie erzitterte und wanderte dabei tiefer und tiefer, bis sie schließlich vor ihrem Schoß kniete. Sie schob entschlossen ihren kleinen Minirock hoch und fing sofort damit an, ihr rosa Höschen darunter zu lecken, wobei sie es einmal zwischen die Zähne einklemmte und daran zog, was vielleicht ebenfalls ihre Klitoris traf.

Ich wendete meine Aufmerksamkeit wieder meiner dunkelhaarigen Schönheit zu und lächelte. „Das ist also kein Sex?” sagte ich unschuldig.

Sie schluckte und schüttelte den Kopf. „N-nein,” sagte sie.

Ich nickte und griff unter ihren eigenen Rock, wo meine Hand über ihren Slip streichelte, welcher sich feucht anfühlte und noch feuchter wurde, als ich gegen ihren harten, kleinen Kitzler drüchte. „Und das ist auch kein Sex?” fragte ich wieder..

Sie schüttelte den Kopf und schloss die Augen, wobei sie leicht stöhnte. Ich grinste und rieb etwas stärker, wobei meine Finger seitlich unter den Slip rutschten und ihre warme, weiche Haut und die feuchten Schamlippen spürten. „Mmh, aber ich kann da nicht rein, was?” fragte ich und fuhr spielerisch mit einem Finger über den Eingang zu ihrer Muschi.

Sie japste mit halboffenem Mund und sagte schließlich: „N… nein. Ich bin noch Jungfrau.”

Ich gluckste und unterdrückte ein Lachen während ich meine Finger tiefer schob und meine feuchter Zeigefinger in ihre Poritze einfuhr, bis ich ihre enge, runzelige Rosette spürte. Neckend fuhr ich rundherum und darüber und flüsterte wieder: „Aber hier drin ist es okay, dann ist es kein Sex?” Ich sah ihr so unschuldig in die Augen, wie ich nur konnte.

Sie antwortete nicht und blieb einfach so, mit geschlossenen Augen und leicht nach hinten gelehnt gegen das Becken, bis ich schließlich meinen Finger tiefer schob und spürte, wie er in ihren engen Arsch eindrang, welcher sich heiß und fest um seinen Eindringling schloss. Ich beobachtete jeden Atemzug, jede Bewegung ihres Körpers, als ich sie erforschte. Sie gab leise Schnappgeräusche von sich und ihre festen, kleinen Brüste hoben sich. Ich beugte mich über sie und fickte ihren kleinen Arsch mit meinem Finger während ich gleichzeitig ihren Nacken küsste und mich nach oben arbeitete, bis unsere Lippen aufeinander trafen und ich ihren Lippenstift schmeckte. Sie war eine schlechte Küsserin, oder vielleicht einfach nur zu schüchtern, um ein Mädel zu küssen, aber mir war das auch egal. Ich kniete langsam an ihrem Körper hinab, bis mein Kopf auf Augenhöhe mit ihrem Schoß lag.

Ihre Muschi war schon leicht entblößt, als meine Finger sich unter ihren Slip geschoben hatten. Ich zog ihn nun komplett zur Seite und nahm mir einen Augenblick zeit, um sie zu inspizieren. Sie war rasiert, wie die jungen Mädchen normalerweise waren, und roch… seltsam. Gar nicht nach Muschi, sondern eher nach Parfüm, was mich leicht abtörnte. Ich zuckte mit den Schultern und fing an zu lecken, wobei ich noch immer mit meinem Finger in ihren heißen Arsch bohrte, was ihr zu gefallen bodrum escort schien. Sie hatte so wenig Geschmack wie sie Geruch hatte, nur einen Hauch von Seife an den Schamlippen, ihre Säfte waren klar und fade, wie Wasser. Ich begann an ihr zu lutschen und stellte sicher, dass ihr Kitzler eine angemessene Sonderbehandlung mit Zunge, Lippen und Zähnen erhielt, bis ich spürte, wie sie sich kräftig wand und dabei stöhnte. Ich hörte auf, kurz bevor sie kommen konnte, zog meinen Finger heraus und sah seitlich zu Stef. Diese arbeitete so fleißig und gewissenhaft mit der Muschi der Blonden wie sie konnte. Ich stieß sie mit dem Ellenbogen in die Seite und blinzelte, als sie mich ansah.

Wir standen beide auf und ließen die Mädels schwer atmend und sichtlich erregt zurück. Ich küsste meine Freundin und spürte ihre warmen, weichen Titten gegen meine Brust, roch den vertrauten Geruch ihres Haares und ihrer Haut. Die Mädchen sahen uns verwirrt an. Ich zuckte mit den Schultern und versuchte, nicht zu lachen. „Na,” sagte ich. „Ich wollte euch ja nicht lesbisch machen, oder eure Unschuld stehlen.”

Stef fing an zu kichern. „A-a-aber…” sagte die Irisch-Italienerin. „Aber ich… wir… was ist denn mit uns?”

Ich wandte mich an Stef, die ebenso erregt war, wie ich selbst, und genau wusste, was ich wollte. Sie öffnete meine Hose und ging auf die Knie, wobei sie sie mit hinunter zog. Einen Moment starrten die Mädels ungläubig meine dunkelroten Schamhaare an, bevor Stef ihr Gesicht darin vergrub und meine behaarte Möse hungrig und ohne zu zögern ausleckte. Ich achtete nicht mehr auf die beiden Cheerleader und konnte doch aus den Augenwinkeln sehen, wie sie beide an sich herumspielten. Plötzlich war die Dunkelhaarige neben Stef vor mir und kniete fast so tief wie meine Freundin, während sie zu mir aufsah. „Kann ich auch helfen?” fragte sie. Ich lächelte und Stef küsste sie, womit sie ihr einen ersten Geschmack von meinen Muschisäften auf ihren Lippen gab.

Meine großbusige, unterwürfige Freundin kroch hinter mich während die junge Amerikanerin ihren Platz einnahm und zögerlich mit ihren Fingern durch meinen Busch fuhr, meine Schamlippen spreizte und sie mit der Zungenspitze berührte. Sie sah mich ratlos an und versuchte halbherzig zu lecken. „Was soll ich tun?” fragte sie und hielt inne, während ich spürte, wie Stef meinen Po teilte und mit ihrer Zunge zwischen meine Pobacken fuhr.

Ich erschauderte und flüsterte nach einen Moment: „Mmmmmhhh. Was machst du denn gerne?”

Das Mädel schüttelte mit dem Kopf. „Du bist die Ältere,” sagte sie. „Du musst es mir sagen.”

Wieder hatte ich Stefanias Zunge am Arsch, dieses Mal noch tiefer, wo sie meine Rosette liebkoste. Ich stöhnte. „Uhhh, aber was, wenn dir das nicht gefällt?” fragte ich.

Sie schüttelte wieder den Kopf. „Dann zwing mich dazu. Benutz mich,” sagte sie.

Ich lächelte und packte sie an den Haaren, womit ich ihr Gesicht fest in meinen Schoß zog. „Lutsch meine Fotze,” sagte ich barsch. „Lutsch sie tief und mach sie mit deinem Maul sauber. Stell sicher, dass du alle Säfte rauskriegst und runterschluckst.”

Sie starrte mich einen Moment lang an, aber tat dann, wie ihr befohlen. Ihre Lippen schlossen sich um meine Schamlippen herum und sie fing an, diese in ihren Mund zu saugen. Das Gefühl alleine ließ meine Säfte noch kräftiger fließen als zuvor, bis ich einen Fluss aus Schleim aus mir herauslaufen spürte. Während der ganzen Zeit leckte mir Stefania weiterhin den Arsch und versuchte, so tief mit ihrer Zunge hineinzukommen, wie sie konnte.

Das Mädel zögerte anfangs noch ein wenig, aber fand bald Gefallen daran und achtete nur noch darauf, genau das zu tun, was ich ihr sagte, mich so gut es ging sauber zu lecken während sie so viel Muschischleim in den Mund zu kriegen versuchte, wie möglich. Hände auf den Knien und mit dem Mund ständig an meiner Muschi, leckend und schlürfend. Ihre blonde Freundin blieb etwas abseits und streichelte sich den Schoß, während sie von Ferne zusah. „Mmmh,” sagte ich schließlich und war schon fast am platzen. „Wie gefällt dir das? Magst du den Geschmack von dieser reifen Fotze?”

Sie sah zu mir auf und hielt einen Moment inne. „Benutz mich einfach,” sagte sie ruhig. „So als wäre ich deine Nutte, die eine Lektion verdient hat.”

Ich stöhnte wieder, als Stef mir dem Arsch mit den Fingern durchbohrte und mich langsam und vorsichtig fickte. „Ach ja? Vor deiner Freundin?” fragte ich.

Ohne die Blonde anzusehen nickte die dunkelhaarige Schönheit. Ich schnappte nach Luft und war ganz nahe am Kommen. „Mach… dein… Maul… auf,” keuchte ich und presste die Worte heraus. Sie öffnete sofort weit und sah mich erwartungsvoll nach oben an, als ich spürte, wie es herankam.

Ich spritzte, kräftig, und versuchte noch nicht einmal es zurück zu halten, wobei ich darauf achtete, dass mein leicht gelblicher Strahl aus Pisse und Mösensaft ihren Mund traf. Sie schluckte sofort, trank, und sah mich dabei beständig von unten an, um mir zu zeigen, was für eine gute, gehorsame Nutte sie sein würde. Als die Wucht nachließ, begann ich, nur noch auf sie zu pinkeln, was sie größtenteils schluckte, aber zwischen den Schlucken trafen immer einige Spritzer ihr Cheerleading-Top und liefen ihr über die Titten. Ich hörte nicht auf, bis meine Blase völlig leer war und ich sicher war, dass sie alles bekommen hatte, was ich ihr nur geben konnte. Endlich lächelte ich zu ihr hinab. „Du bist eine gute kleine Pissnutte,” sagte ich.

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